Et la 3D c'est pire.
Maintenant, il faut passer dans 3 softs pour modéliser.
storyboard et narration.
- Elodie
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Tu te sens obligé de bricoler car il te manque des features ou est-ce pour le feeling personnel (préférer le papier, par exemple)Balak a écrit :c'est marrant de voir qu'on en est toujours reduit a faire du bricolage. meme avec des logiciels dédiés comme toonboom storyboard. l'interet de la suite toonboom c'est d'optimiser le board, l'animatique, l'anim, le montage, en restant dans un seul et même logiciel.
mais personne ne le fait et on se retrouve toujours avec des scan de vignette au bout du compte, en sautant d'un logiciel a l'autre, de premiere a photoshop, etc....
lolle
- mitch
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Il y a aussi le fait de bosser avec d'autres personnes qui ne bossent pas comme toi en plus des manques et trucs pas pratiques dans les différents softs que tu utilises qui fait que tu gagnes du temps à en perdre en passant par un autre soft pour telle ou telle tâche.
De devoir faire cohabiter plusieurs workflows c'est quand même assez souvent une douleur dans le cul.
De devoir faire cohabiter plusieurs workflows c'est quand même assez souvent une douleur dans le cul.
If... she... weighs... the same as a duck,... she's made of wood.
- Elodie
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Tiens, j'ai souvent eu à faire à des prod type "œillères" où les animateurs n'avaient pas vraiment le choix de la méthode / soft à utiliser : c'était "ça" et point. Maintenant, c'était plutôt pour de l'anim, moins pour de la pré-prod où peut-être que les libertés sont un peu plus permises que dans les prod où il faut souvent respecter une certaine méthode de travail.
J'imagine que pour la "main d'oeuvre", ça doit être gonflant de devoir s'adapter aux caprices d'un producteur ou d'un réalisateur pas vraiment réaliste (houhou, jeu de mot...), plutôt que de se baser sur l'expérience de ceux qui sont sur le terrain. Même si après, tout le monde n'a pas la même expérience et la façon de travailler...
Pour revenir au storyboard, je suis quand même vraiment curieuse de savoir ce qui vous manque dans un ToonBoom, un TVPaint ou un Storyplanner. (bah oui, on arrête pas le progrès, c'est avec les besoins des utilisateurs qu'on s'améliore ^^).
Héhéhé, ça c'est sûr, surtout quand on voit certaines prod qui utilisent des workflow complètement tordus pour finalement obtenir un résultat simpliste (comme on en voit souvent).mitch a écrit :De devoir faire cohabiter plusieurs workflows c'est quand même assez souvent une douleur dans le cul.
J'imagine que pour la "main d'oeuvre", ça doit être gonflant de devoir s'adapter aux caprices d'un producteur ou d'un réalisateur pas vraiment réaliste (houhou, jeu de mot...), plutôt que de se baser sur l'expérience de ceux qui sont sur le terrain. Même si après, tout le monde n'a pas la même expérience et la façon de travailler...
Pour revenir au storyboard, je suis quand même vraiment curieuse de savoir ce qui vous manque dans un ToonBoom, un TVPaint ou un Storyplanner. (bah oui, on arrête pas le progrès, c'est avec les besoins des utilisateurs qu'on s'améliore ^^).
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Hmmm, développer une IA qui à force de voir ta manière de travailler, te conseillerait de faire une pause, d'aller t'aérer, de boire un peu de café. On pourrait même la connecter à un fauteuil électrique massant qui devinerait les moments de stress et se mettrait automatiquement à te masser pour te zénifier et optimiser ton travail.
Y'a un filon à exploiter, thx Kosal
(et pour 1 euro de plus, il masse aussi tes petons !)
Y'a un filon à exploiter, thx Kosal
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L'idéal ça serait des logiciels qu'on peut arranger comme un atelier (de menuiserie par exemple): y importer les outils de l'atelier d'à côté, mettre trois étaus sur l'établi, changer les mors... Le problème c'est que les logiciels ont des fonctions complexes difficilement découpables, et on se retrouve quand même pris dans une manière de faire. Impossible par exemple d'importer les infos d'épaisseur de peinture d'artrage (et peut-être aussi de painter?) dans un autre logiciel de dessin.