[BD] Geek & Girly reprend! - détails p.10
- Little Lou
- Freakette
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Bon alors pourquoi "Geek & Girly"?
Ça commence par Audrey Alwett, la directrice de la collection, qui envoie un mail à LPA pour lui demander de rejoindre Strawberry. Elle lui explique le concept, petit format, pas mal de pages, couleurs; et surtout, au niveau des thèmes, le mot d'ordre : "cute" et "girly"!
Je ne corresponds à aucun de ces critères, et ce que je fais, pas tellement plus; la mode, les poneys et le patinage artistique, je serai bien incapable de pondre une histoire dessus; LPA pense pareil, mais on tente notre chance quand même. Je ressors de mes tiroirs un vieux projet de shoujo abandonné (pour cause de manque de temps et de moyens) conçu à la base pour Geek Mag, un petit coup de plumeau dessus avec l'aide de LPA, et v'là-t-y pas que ça passe! On va donc faire du shoujo geek pour Soleil, holy shit!
"Geek" et "Girly", ce sont les qualités qui manquent respectivement à chacun des personnages principaux, Mathilde (la gameuse) n'est pas girly pour deux sous, et Quentin (le playboy kéké) aurait beaucoup de chemin à faire pour être geek. Du coup ce titre définit leurs dynamiques respectives, diamétralement opposées, ce vers quoi ils devraient tendre.
Enfin, dans la rythmique des mots, c'est supposé rappeler la chanson de Weird Al Jankovic, "White and nerdy", un monument absolu :
Et en ce qui concerne les personnages :
QUENTIN
Quentin est un garçon sûr de lui, plutôt beau gosse, qui aime les jolies filles et les tombe sans effort : à 17 ans, son tableau de chasse est déjà impressionnant ! C'est un ado normal, qui aime regarder les chaînes musicales, qui sait soigner son apparence et qui est plutôt populaire dans son lycée. Pourtant, alors qu'il ne connaissait rien aux jeux vidéos et ne surfait sur le Net que pour tchatter, Quentin découvre peu à peu un monde qui lui était jusque là inconnu: celui de Mathilde, le monde des geeks. Et dans ce monde, ses attitudes de playboy et ses phrases de drague toutes faites ne lui sont d'aucune utilité.
MATHILDE
Mathilde est une geek : elle ne se sépare jamais de sa console de jeux portable, son ordinateur est toute sa vie et elle ne sort pratiquement pas de chez elle. La "popularité" au lycée, les boîtes de nuit, les fêtes, très peu pour elle. Ce qui ne l'empêche pas d'avoir une bande d'amis fidèles qui partagent ses goûts et qui sont prêts à la soutenir quoi qu'elle fasse : par sa force de caractère, Mathilde est pour eux l'exemple à suivre. Mais malgré son caractère bien trempé et le fait qu'elle ne soit pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, Mathilde reste surtout une jeune fille romantique qui attend (secrètement) son prince charmant.
BAPTISTE
De prime abord, Baptiste est le prototype même de l'intello tête-à-claques : délégué de classe, froid, psychorigide, préoccupé uniquement par sa moyenne scolaire.
Pourtant il n'est pas aussi propre sur lui qu'on pourrait le penser, c'est aussi un garçon solitaire, peu sûr de lui, qui n'arrive pas d'une manière générale à "sauter le pas" dans ses relations avec les autres. Sans compter qu'il a beaucoup de choses à cacher, des secrets qui risqueraient de détruire complètement l'image qu'il met beaucoup de soin à projeter, s'ils venaient à se savoir...
Ça commence par Audrey Alwett, la directrice de la collection, qui envoie un mail à LPA pour lui demander de rejoindre Strawberry. Elle lui explique le concept, petit format, pas mal de pages, couleurs; et surtout, au niveau des thèmes, le mot d'ordre : "cute" et "girly"!
Je ne corresponds à aucun de ces critères, et ce que je fais, pas tellement plus; la mode, les poneys et le patinage artistique, je serai bien incapable de pondre une histoire dessus; LPA pense pareil, mais on tente notre chance quand même. Je ressors de mes tiroirs un vieux projet de shoujo abandonné (pour cause de manque de temps et de moyens) conçu à la base pour Geek Mag, un petit coup de plumeau dessus avec l'aide de LPA, et v'là-t-y pas que ça passe! On va donc faire du shoujo geek pour Soleil, holy shit!
"Geek" et "Girly", ce sont les qualités qui manquent respectivement à chacun des personnages principaux, Mathilde (la gameuse) n'est pas girly pour deux sous, et Quentin (le playboy kéké) aurait beaucoup de chemin à faire pour être geek. Du coup ce titre définit leurs dynamiques respectives, diamétralement opposées, ce vers quoi ils devraient tendre.
Enfin, dans la rythmique des mots, c'est supposé rappeler la chanson de Weird Al Jankovic, "White and nerdy", un monument absolu :
Et en ce qui concerne les personnages :
QUENTIN
Quentin est un garçon sûr de lui, plutôt beau gosse, qui aime les jolies filles et les tombe sans effort : à 17 ans, son tableau de chasse est déjà impressionnant ! C'est un ado normal, qui aime regarder les chaînes musicales, qui sait soigner son apparence et qui est plutôt populaire dans son lycée. Pourtant, alors qu'il ne connaissait rien aux jeux vidéos et ne surfait sur le Net que pour tchatter, Quentin découvre peu à peu un monde qui lui était jusque là inconnu: celui de Mathilde, le monde des geeks. Et dans ce monde, ses attitudes de playboy et ses phrases de drague toutes faites ne lui sont d'aucune utilité.
MATHILDE
Mathilde est une geek : elle ne se sépare jamais de sa console de jeux portable, son ordinateur est toute sa vie et elle ne sort pratiquement pas de chez elle. La "popularité" au lycée, les boîtes de nuit, les fêtes, très peu pour elle. Ce qui ne l'empêche pas d'avoir une bande d'amis fidèles qui partagent ses goûts et qui sont prêts à la soutenir quoi qu'elle fasse : par sa force de caractère, Mathilde est pour eux l'exemple à suivre. Mais malgré son caractère bien trempé et le fait qu'elle ne soit pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, Mathilde reste surtout une jeune fille romantique qui attend (secrètement) son prince charmant.
BAPTISTE
De prime abord, Baptiste est le prototype même de l'intello tête-à-claques : délégué de classe, froid, psychorigide, préoccupé uniquement par sa moyenne scolaire.
Pourtant il n'est pas aussi propre sur lui qu'on pourrait le penser, c'est aussi un garçon solitaire, peu sûr de lui, qui n'arrive pas d'une manière générale à "sauter le pas" dans ses relations avec les autres. Sans compter qu'il a beaucoup de choses à cacher, des secrets qui risqueraient de détruire complètement l'image qu'il met beaucoup de soin à projeter, s'ils venaient à se savoir...
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- parotaku
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Yankovic... mais arf... j'en étais sûr...Chibi Lou a écrit :Enfin, dans la rythmique des mots, c'est supposé rappeler la chanson de Weird Al Jankovic, "White and nerdy", un monument absolu
Ca s'annonce bien comme pitch...
KONAMI TOKYO (KCET)
____FOREVER!!____
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... et quelques vidéos de jeux...
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- lapetitearaignée
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- Sterna
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les copains de la catsuka et les critiques si il doit y en avoir sous quelques formes quelle soit.
si il s'avère que ça ne fait pas évoluer les éditions soleil, comme certains pourraient croire, faudra avoir les couilles de vous le dire, hein.
si il s'avère que ça ne fait pas évoluer les éditions soleil, comme certains pourraient croire, faudra avoir les couilles de vous le dire, hein.
Modifié en dernier par Sterna le jeu. 10 sept. 2009, 19:03, modifié 1 fois.
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- Otaking !
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une ou deux critiques qui n'engagent que moi :lapetitearaignée a écrit :Quel copain ? Quelle critique ?
A propos de la représentation des geeks, si tenté que j'en ai une qui soit tangible :
Quand je vois des trucs comme Nerdz ou autres, ça me fait pas forcément rire tout le temps, mais il me semble que les délires régressifs de Davy Mourier et les antithèses de "djeun's" (enfin les apparences surjouées du genre j'entend) de ses compères m'apparaissent correspondre un peu plus à la réalité que les types "fashion geek" et autres manichéismes stupides (la timide à lunettes addict de l'ordi, le bogosse piercé "normal" et le cérébral prototype qui cache ses tendances psychopathes derrière ses airs d'intello etc..).
Je suis sûr de pas être le seul à avoir le même trouble nerveux à la vue de tout ça.
Maintenant, vous dissimuler derrière du "shoujo" est bien pratique :
On va dire que c'est que pour les filles et qu'alors tout jugement critique est passible de sexisme.
Et puis certes ok ça s'adresse aux ptits jeunes, et en bons créateurs de branle narrative adolescente, on va pas se casser le cul à chercher plus loin que les grosses ficelles archi visitées de séries pour ados (et quand je parle des grosses ficelles, là je parle presque de bases débutantes de fanzine - je fais pas de racisme anti série ado, il y en a certaines - comme Veronica Mars par ex - qui me paraissent un poil plus fines dans le genre).
C'est chez Soleil, on va pas vous reprocher un quelconque formatage, c'est la ligne éditorial de ce genre de collection, et le traitement graphique est assez honnête. Il est probable que vous vous fassiez quelques thunes.
Et ca va bien que vous ayez tous vos ptits potes qui vous trouvent gentiment admirables dans le coin, car ça émanerait de n'importe qui d'autre extérieur au forum, il se ferait cracher au visage tellement le projet parait un poil limité.
Mais certainement que les "pistes" et mots clefs données par la miss directrice de collection "cute and geek" aient pu vous inspirer, et j'irais jamais vous reprocher de creer pour gagner votre pain là dessus.
Voilà, j'avais déjà lu certaines de vos interventions à toi et à Little Lou, c'est trop drôle les gens qui prennent leurs grands airs de lettré à la prose infaillible pour dénigrer les types narratifs, le ciné ou la bd jugés à "bobos", (les "connards" qui se "roulent dans la fange boboesque" etc...), et qui en parralèle sont limitées pour pondre un truc crédible, qui là se "vautrent" dans des formes d'"expressions" primales ou débutantes.
Voilà, je suis assez sévère, mais tout ça me déplait, j'avais juste envie de le dire.
Modifié en dernier par gillou le jeu. 10 sept. 2009, 21:20, modifié 1 fois.
- Balak
- Famous me I'm fucked!
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- Localisation : je sais pas si techniquement on peut appeler ça du couscous quand même
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le gars a moustache au dessus a raison.
je vais pas commencer a me fatiguer a écrire "comment tu peux chier sur un scénario d'un truc que tu n'as pas vu blablablah" vu que fatalement, ce sont des amies, des gens qui ont en plus le logo catsuka tatoué sur la fesses gauche, alors t'imagines le parti pris... tu vas être seul contre tous, comme néo dans la matrisque.
putain, c'est bien la peine de faire tes sorties retentissantes du forum pour revenir deux jours plus tard biler comme un troll de jardin d'enfant.
je vais pas commencer a me fatiguer a écrire "comment tu peux chier sur un scénario d'un truc que tu n'as pas vu blablablah" vu que fatalement, ce sont des amies, des gens qui ont en plus le logo catsuka tatoué sur la fesses gauche, alors t'imagines le parti pris... tu vas être seul contre tous, comme néo dans la matrisque.
putain, c'est bien la peine de faire tes sorties retentissantes du forum pour revenir deux jours plus tard biler comme un troll de jardin d'enfant.
You're going to burn in a very special level of hell. A level they reserve for child molesters and people who talk at the theater.
— Shepherd Book
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