La vérité sur le rôle de l'artiste dans la société
La vérité sur le rôle de l'artiste dans la société
Le rôle de l'artiste dans la société consiste à empoisonner l'esprit des individus en leur injectant des virus mentaux via les différents canaux du cerveau tel que la vue ou l'ouïe. Le but est ainsi d'affaiblir psychiquement les individus pour les rendre plus facilement domestiquable, docile et soumis dans la réalité sociale. L'artiste participe ainsi sans même le savoir au règne des puissants, en leur facilitant la tâche de contrôle du peuple.
Le virus en lui-même est immatériel, il se produit par une organisation particulière de différents stimuli produisant sur le psychisme des conséquences irremédiables. Par exemple, l'artiste joue sur le contraste, il met des choses très belles dans des choses très sales, faisant croire à l'individu que les belles choses se trouvent dans les choses sales, l'handicapant dans la réalité. Se rendant compte inconsciemment qu'il n'arrive pas à accepter le contraire car le virus est trop profondément incrusté, il va faire des mythes produit par l'art narratif une valeur auquel il faut croire et admirer etc, et il prônera l'art pour cette raison, il prônera que l'art peut nous faire comprendre des choses profondes sur le monde, se justifiant et se mentant à soi-même ainsi de son incapacité psychique de se libérer du virus. L'illustration d'anime nous fournit un autre exemple assez extrême en perversion : montrer des personnages d'un âge mineur dans des positions sexuelles et dénudés et avec des atouts généreux pour leur âges, faisant ainsi effondrer dans le psychisme du consommateur son instinct parentale sur son son instinct sexuel, amenant à des conséquences que je vous laisse deviner.
La règle de base pour contrôler les individus est de leur dire non. Par le "non", par la négation, on maîtrise leur flamme de vivre, par l'interdit on met des barrières dans un sens afin de faire avancer les individus dans un autre sens. C'est le principe de la loi, qui contrôle par les interdits. On le voit avec le comportement parentale, les parents doivent savoir dire non à leur enfant très très souvent afin de les maîtriser.
Le domaine de la fiction est un "non" dans le sens où:
Dire oui à ce qui n'existe pas revient à dire non à ce qui existe.
La fiction et l'art narratif joue donc un rôle de négateur auprès de la population en montrant et en persuadant les individus de choses qui n'existent pas, les plongeant dans un monde imaginaire et les empêchant d'avoir prise sur la réalité qui leur paraît floue et confuse, à cause de ce nuage de fumée créé par la fiction.
Le divertissement constitue de nos jours la réalité du pauvre. Mais en plus de cela elle l'emprisonne en lui faisant envie de choses impossibles. C'est une manipulation qui consiste à faire croire que l'on puisse avoir envie de choses impossibles alors que l'envie elle-même née de la sélection naturelle et que par conséquent on ne peut avoir envie que de chose qui existe réellement. L'envie se déclenche quand notre esprit perçoit un stimulus, mais la perception de ce stimulus nécessite une pré-programmation dans notre cerveau, sans quoi nous serions indifférent face au stimulus. Cette pré-programmation ou récepteur à stimuli a été produit au cours de l'évolution donc fasse à des choses réelles. Tout ce qui peut satisfaire nos envies est donc des choses qui sont possibles, mais la fiction perverti les récepteurs à stimuli, les modifient afin que le consommateur tombe dans une recherche sans fin. Se rendant compte que ce qu'il veut est impossible, il n'a alors d'autre choix que de s'enfermer davantage dans le divertissement ou d'obéir désesperement de manière nihiliste à ce qu'on lui dire de faire, perdant toute volonté, toute avidité dans la réalité, et considérant alors que la vie n'a pas de sens, à cause de sa perversion. Il va donc consommé de l'art afin de trouver un sens à la vie et plus il le fera moins la vie aura de sens, tombant dans une boucle sans fin.
Tout ce qui existe est par définition réelle. Les émotions naissent du rapport entre l'intériorité (les récepteurs à stimuli) et l'extériorité (les stimuli), confirmant à la conscience qu'on est en bonne voie pour survivre dans le cadre d'émotion tel que la joie, ou qu'on est en danger dans cadre d'émotion comme la peur. Rechercher des émotions nouvelles n'a par définition aucun sens. Ce que l'on recherche sera toujours des objets réels qui déclenchent des émotions, cela ne veut rien dire de chercher des émotions pour des émotions. Cela revient à rechercher la recherche elle-même, amenant à une recherche sans fin et une insatisfaction permanente. L'inutilité ne sert pas à rien dans le sens où elle n'aboutit qu'au néant, elle sert à quelque chose puisque le rien, c'est justement quelque chose: elle emmène l'esprit vers le rien, vers son anéantissement.
La consolidation de cet acte vicieux qu'est l'art se produit via le concept d'esthétique, d'harmonie. Celui-ci a pour but de rendre l'organisation des stimuli plus fluides, qu'un stimulus en appelle immédiatement à un autre, faisant de tout stimulus un déclencheur de stimulus et ainsi de suite jusqu'à atteindre une grande boucle sans fin dans le cerveau de l'individu qu'il ne peut parvenir à percevoir consciemment à cause de sa longueur, ne voyant plus la répétition évidente dans les fictions qu'ils voient. Il ne perçoit alors même plus les stimuli qui l'avaient satisfait au début, puisque leur rôle à été détourné: il n'ont plus le rôle de déclencher du plaisir mais de renvoyer la conscience à un autre stimulus et ainsi de suite, empêchant l'individu de se questionner. Son cerveau devient alors la zone d'un gigantesque cercle vicieux, trop grand pour être perçu, une tautologie, un argument circulaire gigantesque, le faisant patauger dans sa substance cérébrale et l'y enfermant toute sa vie.
Le virus en lui-même est immatériel, il se produit par une organisation particulière de différents stimuli produisant sur le psychisme des conséquences irremédiables. Par exemple, l'artiste joue sur le contraste, il met des choses très belles dans des choses très sales, faisant croire à l'individu que les belles choses se trouvent dans les choses sales, l'handicapant dans la réalité. Se rendant compte inconsciemment qu'il n'arrive pas à accepter le contraire car le virus est trop profondément incrusté, il va faire des mythes produit par l'art narratif une valeur auquel il faut croire et admirer etc, et il prônera l'art pour cette raison, il prônera que l'art peut nous faire comprendre des choses profondes sur le monde, se justifiant et se mentant à soi-même ainsi de son incapacité psychique de se libérer du virus. L'illustration d'anime nous fournit un autre exemple assez extrême en perversion : montrer des personnages d'un âge mineur dans des positions sexuelles et dénudés et avec des atouts généreux pour leur âges, faisant ainsi effondrer dans le psychisme du consommateur son instinct parentale sur son son instinct sexuel, amenant à des conséquences que je vous laisse deviner.
La règle de base pour contrôler les individus est de leur dire non. Par le "non", par la négation, on maîtrise leur flamme de vivre, par l'interdit on met des barrières dans un sens afin de faire avancer les individus dans un autre sens. C'est le principe de la loi, qui contrôle par les interdits. On le voit avec le comportement parentale, les parents doivent savoir dire non à leur enfant très très souvent afin de les maîtriser.
Le domaine de la fiction est un "non" dans le sens où:
Dire oui à ce qui n'existe pas revient à dire non à ce qui existe.
La fiction et l'art narratif joue donc un rôle de négateur auprès de la population en montrant et en persuadant les individus de choses qui n'existent pas, les plongeant dans un monde imaginaire et les empêchant d'avoir prise sur la réalité qui leur paraît floue et confuse, à cause de ce nuage de fumée créé par la fiction.
Le divertissement constitue de nos jours la réalité du pauvre. Mais en plus de cela elle l'emprisonne en lui faisant envie de choses impossibles. C'est une manipulation qui consiste à faire croire que l'on puisse avoir envie de choses impossibles alors que l'envie elle-même née de la sélection naturelle et que par conséquent on ne peut avoir envie que de chose qui existe réellement. L'envie se déclenche quand notre esprit perçoit un stimulus, mais la perception de ce stimulus nécessite une pré-programmation dans notre cerveau, sans quoi nous serions indifférent face au stimulus. Cette pré-programmation ou récepteur à stimuli a été produit au cours de l'évolution donc fasse à des choses réelles. Tout ce qui peut satisfaire nos envies est donc des choses qui sont possibles, mais la fiction perverti les récepteurs à stimuli, les modifient afin que le consommateur tombe dans une recherche sans fin. Se rendant compte que ce qu'il veut est impossible, il n'a alors d'autre choix que de s'enfermer davantage dans le divertissement ou d'obéir désesperement de manière nihiliste à ce qu'on lui dire de faire, perdant toute volonté, toute avidité dans la réalité, et considérant alors que la vie n'a pas de sens, à cause de sa perversion. Il va donc consommé de l'art afin de trouver un sens à la vie et plus il le fera moins la vie aura de sens, tombant dans une boucle sans fin.
Tout ce qui existe est par définition réelle. Les émotions naissent du rapport entre l'intériorité (les récepteurs à stimuli) et l'extériorité (les stimuli), confirmant à la conscience qu'on est en bonne voie pour survivre dans le cadre d'émotion tel que la joie, ou qu'on est en danger dans cadre d'émotion comme la peur. Rechercher des émotions nouvelles n'a par définition aucun sens. Ce que l'on recherche sera toujours des objets réels qui déclenchent des émotions, cela ne veut rien dire de chercher des émotions pour des émotions. Cela revient à rechercher la recherche elle-même, amenant à une recherche sans fin et une insatisfaction permanente. L'inutilité ne sert pas à rien dans le sens où elle n'aboutit qu'au néant, elle sert à quelque chose puisque le rien, c'est justement quelque chose: elle emmène l'esprit vers le rien, vers son anéantissement.
La consolidation de cet acte vicieux qu'est l'art se produit via le concept d'esthétique, d'harmonie. Celui-ci a pour but de rendre l'organisation des stimuli plus fluides, qu'un stimulus en appelle immédiatement à un autre, faisant de tout stimulus un déclencheur de stimulus et ainsi de suite jusqu'à atteindre une grande boucle sans fin dans le cerveau de l'individu qu'il ne peut parvenir à percevoir consciemment à cause de sa longueur, ne voyant plus la répétition évidente dans les fictions qu'ils voient. Il ne perçoit alors même plus les stimuli qui l'avaient satisfait au début, puisque leur rôle à été détourné: il n'ont plus le rôle de déclencher du plaisir mais de renvoyer la conscience à un autre stimulus et ainsi de suite, empêchant l'individu de se questionner. Son cerveau devient alors la zone d'un gigantesque cercle vicieux, trop grand pour être perçu, une tautologie, un argument circulaire gigantesque, le faisant patauger dans sa substance cérébrale et l'y enfermant toute sa vie.
Au fond, tu sais que j'ai raison c'est pour cela que tu m'insultes.
La dissumulation de l'impossible dans le possible est une manipulation mentale pour fuir la réalité à cause de nos échecs, transmettant l'information à notre cerveau que ce qu'on désire est inaccessible. C'est pour cela qu'on se divertie quand on a un coup de blues, c'est le principe même de l'acte de se remonter le moral. L'art est une persistance dans le défaitisme. C'est le même fonctionnement dans la religion avec le concept de paradis.
La dissumulation de l'impossible dans le possible est une manipulation mentale pour fuir la réalité à cause de nos échecs, transmettant l'information à notre cerveau que ce qu'on désire est inaccessible. C'est pour cela qu'on se divertie quand on a un coup de blues, c'est le principe même de l'acte de se remonter le moral. L'art est une persistance dans le défaitisme. C'est le même fonctionnement dans la religion avec le concept de paradis.
- Den X
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Avec ses discours il me fait penser à un gourou qui se cherche des fidèles.
Comment va s'appeler sa secte ? le 4ième Friedreich ? ^_^'
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Viendez me voir animer en live sur Twitch: https://www.twitch.tv/den_xvii/
- patrouchef
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certes, si tu veux...Le divertissement constitue de nos jours la réalité du pauvre. Mais en plus de cela elle l'emprisonne en lui faisant envie de choses impossibles. C'est une manipulation qui consiste à faire croire que l'on puisse avoir envie de choses impossibles alors que l'envie elle-même née de la sélection naturelle et que par conséquent on ne peut avoir envie que de chose qui existe réellement. L'envie se déclenche quand notre esprit perçoit un stimulus, mais la perception de ce stimulus nécessite une pré-programmation dans notre cerveau, sans quoi nous serions indifférent face au stimulus. Cette pré-programmation ou récepteur à stimuli a été produit au cours de l'évolution donc fasse à des choses réelles. Tout ce qui peut satisfaire nos envies est donc des choses qui sont possibles, mais la fiction perverti les récepteurs à stimuli, les modifient afin que le consommateur tombe dans une recherche sans fin. Se rendant compte que ce qu'il veut est impossible, il n'a alors d'autre choix que de s'enfermer davantage dans le divertissement ou d'obéir désesperement de manière nihiliste à ce qu'on lui dire de faire, perdant toute volonté, toute avidité dans la réalité, et considérant alors que la vie n'a pas de sens, à cause de sa perversion. Il va donc consommé de l'art afin de trouver un sens à la vie et plus il le fera moins la vie aura de sens, tombant dans une boucle sans fin.
mais tout ça n'est pas nouveau...il en est ainsi depuis l'aube de l'humanité..
..alors pourquoi nous faire un steak à chaque fois mm?
je te conseille de consommer du bescherelle.Il va donc consommé de l'art
Ce n'est plus trés à jour cette conception de l'art...et depuis un moment..La consolidation de cet acte vicieux qu'est l'art se produit via le concept d'esthétique, d'harmonie.
.
/////****>> Pokéman Ga, c'est diabolique ça transforme les enfants!<<****/////
Pourquoi ce qui est nouveau serait-il toujours forcément plus intéressant ?hidro.j a écrit :certes, si tu veux...
mais tout ça n'est pas nouveau...il en est ainsi depuis l'aube de l'humanité..
..alors pourquoi nous faire un steak à chaque fois mm?
Il est enrichissant de se pencher sur le passé, sur les bases de l'humanité afin de ne pas oublier sur quoi on a les pieds
PS: bon okay, j'y suis peut-être aller un peu fort cette fois-ci, mais vos réactions m'amusent
Oui, car le vrai désigne l'absence du faux. Le vrai n'existe pas, c'est le faux qui existe : le faux est un objet qui se met entre nous et la réalité, une fois que le faux n'est plus là, nous disons que c'est vrai, et il n'y a alors plus aucun obstacle, nous pouvons accéder directement à la réalité. Le vrai n'existe pas en lui-même, c'est un mot qu'on prononce quand on remarque qu'il n'y a rien de faux. L'un est, le faux, l'autre n'est pas, le vrai. Comme le Yin et Yang, le vide et le plein, etc.