Et à propos des films ?
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JackPot
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Oui mais c'est LONNNNNG...maje a écrit :Diantre c'est à voir Barry Lindon,
entre les cadres et la lumière, ça va y gère le pépère.
La scène aux chandelles justement avec les jeux de regards etc...
Et puis la zic.
J'ai été jusqu'au bout de 2001 sans problème, mais là entre la redondance de la musique et de la mise en scène (les dézooms monstrueux, pitiéééé), ça finissait par être assez lourd...
Sinon les lumières, ouais, magnifiques. Et tout ça 100% éclairage naturel. Respect.
Shining j'ai bien aimé aussi, Nickolson est hyper flippant
"I said I was here to drink milk and kick ass. And I just finished my milk"
RRRrrrr !
JackPot a écrit :Barry Lindon c'est LONNNNNG...
J'ai été jusqu'au bout de 2001 sans problème, mais là entre la redondance de la musique et de la mise en scène (les dézooms monstrueux, pitiéééé), ça finissait par être assez lourd...
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D N.A. M
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C'est pas faux...berseker a écrit :Little Lou, ca me fait plaisir de voir que quelqu'un suit mes conseils, meme si c'est dommage que tu aies des gouts de merde.
Cela dit il en faut pour tous les goûts, de la hum-hum... Tiens, voilà bien longtemps que je n'ai pas trollé sur le topic 'Lost', ouam'
Donc, oui, Tati, ça n'est pas universel, malheureusement. C'est quelqu'un qui prenait le temps de construire une situation. Aujourd'hui, ça peut ne plus avoir la même force, parce que ces situations ressortent désormais du standard comique, ce fonds commun auxquel on n'a généralement plus besoin que de faire vaguement allusion. C'est sûr, ça permet d'enchaîner les gags, du coup...
Tati n'est d'ailleurs pas non plus l'auteur de ces canons comiques. J'ai vu qu'on parlait de Chaplin, j'aurais plutôt évoqué Buster Keaton. Mais Tati a repris ces canons, avec ceux du mime, il les a adaptés à une cinématographie moderne (enfin, moderne des années 50-60). Il a joué avec la profondeur de champ (la scène du hall de Trafic), avec le hors-cadre, avec le faux-hors-cadre (le mur qui sépare les deux appartements-vitrines de Playtime, mais qui n'apparaît pas au spectateur). Il a travaillé avec un soin assez maniaque autant la mise en images que la mise en sons de ses gags. On peut difficilement lui retirer.
Reste aussi que son comique est très naïf. Ca peut ne pas plaire, quand on a eu depuis de la grosse comédie référentielle à la ZAZ ou de la pochade concon à la Wayans bros.
Je me dis que c'est juste autre chose, une autre école. Et je me régale.
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patrouchef
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Sur le site StarWars.com, on peut trouver un très intéressant comparatif images à l'appui des différences entre l'épisode 4 de 19977 et de son édition ultime en DVD en 2004.
http://starwars.com/episode-iv/release/ ... index.html
122 comparaisons + commentaires.
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Mon site : www.karafactory.com
Et sur DVDrama, ils disent que la rééditions en DVD des films sans les retouches, c'est de l'arnaque, vaut mieux garder ses VHS!Kara a écrit :Sur le site StarWars.com, on peut trouver un très intéressant comparatif images à l'appui des différences entre l'épisode 4 de 19977 et de son édition ultime en DVD en 2004.
http://starwars.com/episode-iv/release/ ... index.html
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Tout employé tend à atteindre son niveau d'incompétence.
( Principe de Peter)
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Bin en gros sur DVDRAMA ils disent que l'image est pas géniale et en plus en letterbox, même pas 16/9ème.
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Jel
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Une bonne grosse claque donnée avec des main de maçon.
Trois histoires. Trois âges. Trois hommes. Le grand-père, le père et le fils. L'un est un officier, l'autre un sportif de premier plan et le dernier un maître dans l'art de la taxidermie. L'un court après le sexe, l'autre après le succès et le troisième après l'immortalité...
Film tout sauf aimable, Taxidermie va beaucoup plus loin que le premier film de son auteur, Hic (histoire quasi-muette d'une bourgade où les hommes, vieux pour la plupart, commencent à crever successivement et à un rythme inhabituel), avec une absence de limites assez stimulante (que ce soit au niveau des influences ou au niveau de ce qui est montré). C’est trash, drôle, charnel et désespéré.
A travers ces 3 histoires a priori distinctes, mais qui en fait résonnent les unes dans les autres, György Pálfi filme, en fait, les trois époques d’un même cauchemar, dans une sorte de cycle de la vie boursouflé. En effet, si les vies des 3 personnages sont irriguées par les mêmes obsessions fondatrices (fascination morbide du sexe et de la mort), il est aussi question des relations fils-père, ou comment la 3e génération refuse en général les acquis fondés par la première et amenés au firmament par la deuxième (la réussite! tu seras une star mon fils!).
Réflexion féroce et étonnament drôle (l'humour surgit toujours à des moments inattendus mais toujours opportuns dans le film) sur le corps et le monde, ce film est aussi plastiquement très beau. Il mêle les styles, les formes, les influences cinématographiques. Ne seraient-ce que ces travellings circulaires verticaux qui figurent le temps qui passe!
La fin est géniale à tous les niveaux: synthèse de tout ce qui précède, ouverture sur le futur et foutage de gueule du le monde de l'art et du monde en général, on rit beaucoup, mais jaune.
Voilà, donc courez-y si vous pouvez, il risque de ne bientôt plus être à l'affiche. Révélation de l'année pour moi.
PS: je n'ai pas voulu déflorer l'intrigue ni les surprises qui jalonnent tout le film, sachez cependant que les 3 protagonistes ont chacun des physiques et des rapports au corps particuliers
Mais si vous voulez en savoir plus:
***Spoiler
le grand-père se masturbe frénétiquement à n'importe quelle occasion, le fils est un obèse champion olympique de bouffe (peut bouffer 20kg en moins de 20 minutes), le petit-fils est un anorexique frustré taxidermiste. /Spoiler***
Le réalisateur est une sorte de Takashi Miike hongrois, avec une image et une intrigue plus soignées et moins de yakusas.
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pasteqman
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Je vois ça.
J'avais jeté le film au bout de 15 minutes, mais, par chance, j'en avais... "commandé" une autre version. Finalement, ce n'est pas si mauvais. C'est même agréable.
Le réalisateur est celui des Die Hard, je crois. Et même si je ne suis pas vraiment un inconditionnel, j'avoue qu'il maîtrise son sujet question réalisation. Ce n'est pas magique mais c'est agréable. En plus, je pense que le garçon avait un gros budget pour ce film, mais qu'il n'en a pas abusé et n'a non plus été dépassé par la folie des grandeurs en bourrant son film d'effets spéciaux qui rendent son vieillissement ridicule (comme une mémé avec de gigantesques prothèses mammaires). J'arrive à la fin du film et je dois dire que ça me fait un peu d'effet (vous vous rendez compte ? J'interromps la vision d'un film pour vous en livrer la critique. Faut-il que je vous aime, vous, alors !). Donc, je vais me taper la filmo de Mac Tiernan. Faut-il que je me déteste, alors !
