Mon pauvre,J'ai vu des gens qui dessinent trop bien qui se sont faire virer parcequ'ils étaient nul en histoire de l'art et culture g et d'autre qui savent pas dessiner mais qui sont dans les premiers car c'est des petits élèves bien appliqués qui révisent leur cour.
Et l'anglais aide pas mal aussi et en plus ça détend.
j'ai toujours été nul en classe, voir échec scolaire, tellement ça me saoulais, mais l'histoire de l'art ça coutait rien de réviser comme un éleve appliqué
et gagner 3 points qui te font remonter de 5 places, qui peuvent te sauver.Mais en première année je suis descendu à 40kg et un peu taré (il y avait une anorexique dans la classe qui était trop forte alors je me suis dit qu'en faisant pareil ça allait marcher
)(je rigole c'est pas à cause de ça, mais l'école y était pour beaucoup)en tout cas ça a marché, j'étais dans les 20 premiers et grâce au dessin animé et à la bd où j'étais le big boss. mais un peu comme tout le monde, je passais mon temps à calculer toutes mes notes dans la crainte de faire partit des 25 nuls qui se feront virer et qui ont perdu une fortune et 2 années de leur vie, (c'est pas perdu mais ça fou la mort quand même). Et en plus je me suis fait plein d'ennemis car je faisais tout au dernier moment, la nuit avant le jour j (de toute façon j'avais trop faim je pouvais pas dormir)et j'avais une meilleure note que ceux qui commençaient leur boulot une semaine à l'avance.Et en deuxième année où j'étais décidé de partir sur de bonnes bases dans la sérinité...BAM infographie brutale, alors que j'avais même pas touché à paint. Et comme ces profs étaient des gros geek et qu'ils pouvaient pas comprendre qu'on comprenne pas un logiciel et qu'il est difficile pour un camarade d'aider un adversaire (ben oui, un adversaire à terre= une place de libre, donc plus de chance d'aller en année supérieur, et en plus ils sont trop occupés à avoir la meilleur note), alors j'ai remaigri et je rendais quasiment plus rien (de travail, pas de vomi), et j'étais le dernier de la liste, après un dernier effort désepéré au troisième trimestre, j'ai décidé de partir en Afghanistan pour trouver une mort glorieuse défoncé par une lance rocket de taliban. Mais comme je suis revenu vivant et qu'en plus ils m'ont gardé pour la troisieme année, grâce à de trop nombreux élèves qui ont baissé les bras, la vie a continué et me voilà avec le diplome.
C'est un peu caricatural, mais c'est la dure loi d'Emile Cohl, et monsieur Perrier est gentil. Je te souhaite bonne chance pour ton parcours, j'ai hate de savoir la suite.
je vais continuer la discutions en Mp 
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