TRANTKAT a écrit :En revanche, je CHIE sur Matrisque.
Yesss I knau
( en ce qui te concerne, je faisais justement rapport aux topics a rallonges ou on parle de matrisk ( sans que ca ai forcement de rapport ), je me suis mal exprimé autant pour moi )
Klam>> je parlais de references moins evidentes comme baudrillard, evans, hobbes, nietsche, campbell, gibson, beaucoup de rapport avec la culture indienne que tout le monde ne connait pas forcement par coeur, j'en passe et des kilos de meilleures ( si tu les connais, youpi pour toi ^_^ )
Et en ce qui concerne Blame, je me sui refait l'integrale avant de lire le 10 et c'est exactement ce que j'ai lu.
>je parlais de references moins evidentes comme baudrillard, evans, hobbes, nietsche, campbell, gibson
Put... n'importe quel fan de base de Matrix ayant un Google même pas custom les sort ces références (faites un tour sur les forum à chaque fois c'est la même). En paraphrasant un truc bien éculé : "on peut placer mille références et n'avoir qu'une idée, on peut placer une référence et avoir mille idées, on peut pister toutes ces références et toutes ces idées et ne pas développer de pensée; et je serais tenté de rajouter "mais on aura beau mettre tout ça en même temps et son film foirer". De toute façon un film à prétention philo des sciences qui ne cite pas Prigogine d'une façon ou d'une autre est forcément dépassé. Et puis on peut se mater un cartoon de Tex Avery et dans des abysses de réflexion également se plonger. Bref, c'est pas un argument de film réussi quoi qu'il en soit (et je ne remet pas en cause l'intellect des Wacho, là n'est pas le propos).
Ouais sauf que je trouve pas que ce soit un résumé de Blame!. Je ne reconnais pas du tout Blame! dedans; mais si j'avais lu vite fait pour déconner j'aurais dit pareil. C'est pour ça que je parle de lecture, on lis pas blame! comme un kenshin, avec façon de faire la baston et fin qu'est pas une fin; ça a beau pas être une vrai fin, elle termine le principal de l'objectif du héros. Enfin bref je suis pas du tout d'accord quoi.
Ok avec Klaim, Blame = univers simple tape Hellboy poncifs SF (j'assure avec une prétention egomaniaque de quelqun qui ne se touche pas, posséder une bonne culture de SF littéraire - la vraie quoi - vu mon grand âge canonique et le nombre d'années que je collectionne les poches et non, absolument pas d'accord), une fin morale (qu'est-ce que la morale - pas la morale de l'histoire, la Morale -, on se le demande)
"de toute façon, ça sera jamais fini"......... c'est une certaine idée de l'infini quand même, non ?
Ah ouais Klaim, pareil, j'ai sursauté (pas un article mais un "avis" plutôt) d'ailleurs. Pas qu'on ai pas le droit de pas aimer mais ça me semblait vraiment léger, les considérations sur la supposée baisse de qualité graphique faisant un peu "valeur ajoutée" artificielle parce que je vois pas en quoi il y a eu baisse à ce niveau. quant au fait de se plaindre de ne pas avoir de réponses.... ben je suis surpris de la perspective que cela suppose quant à la façon d'aborder le manga, surtout venant d'un pro. Il s'attendait peut-être à ce que Nihei change radicalement son système/dispositif narratif pour donner Ze Explicachione qui fait que notre imagination et cerveau peut se mettre en mode veille ?
Vraiment trés trés discutable cette opinion lapidaire qui me donne de suite l'envie de faire un "contre article", là, maintenant, tout de suite..., mais ça attendra ^^
Ahn lu ta réponse à laquelle j'adhère si ce n'est ds le qualificatif de Blame : pas cyberpunk, ni post-cyberpunk et non plus biopunk pour le genre, je dirais post-cyberbiopunk
Modifié en dernier par Anton le mer. 30 juin 2004, 16:43, modifié 1 fois.
Sacré coup de gueule klaim, franchement il est mastard de chez mastard mais ya pas moyen de lire cette faeuse "critique"? ça m'interesse....
Mais bon en lisant ta contre critique je veux bien soulever qqs point:
Blame ne se lit ps comme ça c'est vrai, et tout déballer dans le 10° tome aurait été un gachis monumental vu que nihei a suivi un politique d'immersion totale du lecteur en tant que spectacteur et non touriste qui ne prend pas la peine de tout découvrir par lui même. On est plongé sans filet dans un monde complex que l'on se doit de comprendre par nous même et encore, à part qqs points techniques, on peut comprendre au fur et à mesure qu'on avance dans la série. Et si on n'en a pas acès, eh bien on pet tjs extrapoler, lire un manga pareil c'est comme lire un roman, on essaie tjs d'extrapoler pour mieux saisir.
Aussi pour ce qui est de la narration, elle suit cette politique d'imm de l'immersion, à part un repère de date au débur du tome 7, on ne sait pas à quoi s'y fier ni en temps ni en lieu, ce qui en rajoute dans la surdimension déjà suggérée par l'immensité architecturale de l'univers blamien. De plus, même si on doit souvent relire quelques passage pour mieux les saisir (comme les bastons par exemples qui sont à la fois simples et complexes) notons toutefois que le cadrage accentue le dynamisme de nombreuses scènes.
Si j'ai bien lu "le contre-article" de Klaim, l'auteur de la critique compare négativement blame! à gon (que j'ai survolé mais que je n'ai pas lu, non non ne me tapez pas!)
ce qui est une connerie monumentale. Allez demander à un perso aussi taciturne que killy ou aux autres qui parlent seulement qd c nécessaire de déblatérer des conneries sur le temps qu'il fait ou d'epliquer en détail l'univers technologique blamien et constatez les dégats....
De plus on a rarement vu une telle profusion de détails au niveau des décors dont certains sont d'une complexté architecturale effarantes (surtout au niveau des perspectives) et à mon avis, les ombrages sont loin d'être des trames....
John ! C’est pas entre les yeux que je vais te buter ! Je vais te buter entre les couilles !
Et puis on peut se mater un cartoon de Tex Avery et dans des abysses de réflexion également se plonger. Bref, c'est pas un argument de film réussi quoi qu'il en soit (et je ne remet pas en cause l'intellect des Wacho, là n'est pas le propos).
tape Hellboy 
On me la sort rarement celle là
