eh ben voilà, t'as tout compris : c'etait une adaptation de transformers et pas de godzilla. Et godzilla, il va pas dans l'hyper espace parce que gozilla, il est pas dans star wars.Kara a écrit :Je trouve juste la scène finale un peu étriquée dans Transformers. OK, une guérilla urbaine c'est une bonne idée mais bon, à part quelques bagnoles qui volent et des vitres brisées (j'exagère à peine), y'à pas grand chose au niveau destruction pure. On est très loin d'un Godzilla d'Emmerich à ce niveau là... On se cantonne à quelques rues et un où deux boulevards...
Et à propos des films ?
Modifié en dernier par yak le jeu. 02 août 2007, 14:56, modifié 2 fois.
GOD FINGER!!!!
Il n'y à plus que le cinéma asiatique pour mettre sur un écran pareilles folies. Eux au moins quand ils pètent un plomb, ils ne le font pas à moitié !
Mon site : www.karafactory.com
Kara, un "petit" film neo-zelandais dont le production design devrait te plaire:
http://www.perfectcreaturedvd.com/
Le scenar ne fait pas d'etincelles ça se laisse regarder sans déplaisir mais le grand interet reside dans l'ambiance RetroFuturoVictorienne plutot bien foutue.
http://www.perfectcreaturedvd.com/
Le scenar ne fait pas d'etincelles ça se laisse regarder sans déplaisir mais le grand interet reside dans l'ambiance RetroFuturoVictorienne plutot bien foutue.
Tiens... C'est sufisament rare de voir un rendu qui ne tend pas vers l'ultra réalisme dans un long métrage 3D ricain pour etre signalé! Bel effort et belle réussite a mon gout. En revanche le concept a vraiment pas l'air top et les designs des créatures microscopiques sont assez moches... Dommage.Fikey a écrit :premier trailer de "Horton hears a Who" ,le prochain film de Bluesky
http://www.movie-list.com/trailers.php? ... nhearsawho
Star light = angel
Sans prendre part à un quelconque débat autour de la dernière production des Studios Pixar, je désire simplement évoquer un détail qui m'a rendu le film extrêmement touchant. Détail qui, selon les producteurs de Ratatouille, ne serait rien de plus qu'une simple coïncidence.
Wikipédia a écrit :Bernard Loiseau (13 janvier 1951 - 24 février 2003) était l'un des plus grands chefs cuisiniers et restaurateurs français. Trois étoiles au Guide Michelin et 19/20 au Gault-Millau. Il était l’ambassadeur et le plus ardent défenseur de la grande cuisine française, le plus populaire dans le monde entier des années 1980 et années 1990 grâce à son talent de cuisinier et à son charisme ultra médiatisé.
[…], suite à une rétrogradation de 19/20 à 17/20 dans le célèbre guide Gault-Millau et à des critiques peu élogieuses et humiliantes de la part de ces juges en 2003, devant la sévérité des critiques qui lui reprochent de s'endormir sur ses lauriers et sur sa célébrité au détriment de sa réelle créativité à renouveler sans cesse, il se suicide sans explications officielles le 24 février 2003, à l'âge de 52 ans, dans son appartement personnel de son hôtel de Saulieu, laissant un grand étonnement et un certain mystère sur les causes de son départ anticipé.
Le Figaro a écrit :Avec la disparition de Gusteau, rétrogradé par un critique redoutable, on pense forcément à Bernard Loiseau. « Quand Jan et le producteur Brad Lewis étaient en repérage, ils avaient rencontré Bernard Loiseau à La Côte d'Or, sept mois avant son suicide. Et il leur avait parlé de la pression, du stress qu'il ressentait tout comme de sa fougueuse passion d'artiste pour son métier. Mais le fait que Gusteau perde une étoile faisait déjà partie du récit, bien avant cette tragédie. »
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Ah bon ? Ca t'émeut la disparition d'un cuisinier ? Moi aussi j'y ai pensé, mais très personnelement, Bernard Loiseau, j'en ai rien à foutre (enfin, pas mon univers. La disparition prochaine de Miyazaki me fera sans doute plus d'effet).
J'avais pas vraiment aimé Bad Boys, Armaggeddon, arf, The Rock, hmmm, The Island, bêrk. Par contre, Transformers, c'était vraiment nickel. Héroïne adorable, mini Russel Crowe crédible, humour qui fait mouche, rythme perfect, action totalement lisible, sauf celle du début, très volontairement frustrante (et c'est une bonne idée).
NI-CKEL !
J'avais pas vraiment aimé Bad Boys, Armaggeddon, arf, The Rock, hmmm, The Island, bêrk. Par contre, Transformers, c'était vraiment nickel. Héroïne adorable, mini Russel Crowe crédible, humour qui fait mouche, rythme perfect, action totalement lisible, sauf celle du début, très volontairement frustrante (et c'est une bonne idée).
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