Et à propos des films ?
- cry
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Je pourrais vous rejoindrelapetitearaignée a écrit :remercie Elbakin pour les news fraiches quand même! Sans elles tu ne pourrais pas baver sur son torse de mâle ensablé XD !
Edit >> ET ON IRA LE VOIR EN FOUTANT NOS SENTIAG SUR LES SIEGES DU CINE!! BY THE HELL!!!

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Les chats sont les fils de Babylone.
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je me suis cogné quelques films en dvd, dont des incontournables que j'avais pas vu ou revu depuis un moment...
Unforgiven: un bon Eastwood (pas comme Million Roubles Baby), le coté démythification de l'ouest qui retombe sur la légende est assez grossier mais ça marche pas mal.
Good Night And Good Luck: Un film de propagande gauchissse avec un noir et blanc assez laid, mais qui est très bien dans son genre. Le sujet et le personnage de Murrows y sont pour beaucoup, mais ça fonctionne carrément. Didactique sans être chiant. Manque des style un peu. Mais ça passe.
Galaxy Quest: Vu pour la 754ème fois, avec toujours autant de bonheur, la gorge du fanboy se sert pendant de nombreuses scènes, un film qui dégouline d'amour pour son sujet (Star Trek).
Closer: Avec Clive Owen, Jude Law, Julia Roberts et Natalie Portman. Outre le fait que Clive et Natalie donnent le zizi tout dur, j'ai adoré et detesté ce film (même si au final j'ai juste adoré). Détesté parcequ'on dirait du théâtre filmé dans les situation et les dialogues (ou plutôt, un film français nul sur le couple). MAIS, mais, mais, le texte est incroyable, le sous-texte est fabuleux, les acteur sont sublimes (Clive Owen et Jude Law sont à la fois pathétiques, flamboyant, dégueulasses), la réal est d'une élégance de fou furieux (on s'éloigne donc du film français nul assez nettement.). On aura assez rarement filmé de manière aussi juste la relation entre les hommes (ces trous de balle pathétiques qui veulent assoir leur statut sur une vérité) et les femmes (manipulatrices avec les autres mais avant tout avec elles-même, l'illustration de la mauvaise foi sartrienne quoi, tout aussi pathétiques en fait que leur camarades).
Merci Kebichu de me l'avoir conseillé!
Snatch: Inintéressant. Du vent, du rien, un de ces films qui se regarde être un film.
Kiss Kiss Bang Bang: Excellence et trépignement d'aise sur son siège, un de ces films qui se regarde être un film mais qui en rigole très fort. Mal foutu, pas très bien réalisé, et pourtant si sublime. J'aime Shane Black comme j'aime ma maman.
Unforgiven: un bon Eastwood (pas comme Million Roubles Baby), le coté démythification de l'ouest qui retombe sur la légende est assez grossier mais ça marche pas mal.
Good Night And Good Luck: Un film de propagande gauchissse avec un noir et blanc assez laid, mais qui est très bien dans son genre. Le sujet et le personnage de Murrows y sont pour beaucoup, mais ça fonctionne carrément. Didactique sans être chiant. Manque des style un peu. Mais ça passe.
Galaxy Quest: Vu pour la 754ème fois, avec toujours autant de bonheur, la gorge du fanboy se sert pendant de nombreuses scènes, un film qui dégouline d'amour pour son sujet (Star Trek).
Closer: Avec Clive Owen, Jude Law, Julia Roberts et Natalie Portman. Outre le fait que Clive et Natalie donnent le zizi tout dur, j'ai adoré et detesté ce film (même si au final j'ai juste adoré). Détesté parcequ'on dirait du théâtre filmé dans les situation et les dialogues (ou plutôt, un film français nul sur le couple). MAIS, mais, mais, le texte est incroyable, le sous-texte est fabuleux, les acteur sont sublimes (Clive Owen et Jude Law sont à la fois pathétiques, flamboyant, dégueulasses), la réal est d'une élégance de fou furieux (on s'éloigne donc du film français nul assez nettement.). On aura assez rarement filmé de manière aussi juste la relation entre les hommes (ces trous de balle pathétiques qui veulent assoir leur statut sur une vérité) et les femmes (manipulatrices avec les autres mais avant tout avec elles-même, l'illustration de la mauvaise foi sartrienne quoi, tout aussi pathétiques en fait que leur camarades).
Merci Kebichu de me l'avoir conseillé!
Snatch: Inintéressant. Du vent, du rien, un de ces films qui se regarde être un film.
Kiss Kiss Bang Bang: Excellence et trépignement d'aise sur son siège, un de ces films qui se regarde être un film mais qui en rigole très fort. Mal foutu, pas très bien réalisé, et pourtant si sublime. J'aime Shane Black comme j'aime ma maman.
You're going to burn in a very special level of hell. A level they reserve for child molesters and people who talk at the theater.
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- Chron
- Synchrone or not synchrone ?
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Tu devrais essayer, ça donne des résultats marrants parfois.Doudz a écrit :e vais pas me forcer a écrire avec le cul.
Sinon, de mon côté, récemment, je me suis fait presque toute la filmo de Park Chan Wook, le réalisateur de Old Boy.
Alors, JSA, le truc qui l'a fait connaître et qui a explosé le box-office coréen. C'est bien foutu, ça sent le gros blockbuster, ça oscille entre le thriller militaire tendu et la comédie bon enfant. LEE Yeong-ae est très jolie, et SONG Kang-ho offre une prestation bien plus solide (et plus à son avantage) que le débile de The Host. Pour un occidental qui est insensible à la division de la Corée, c'est sûr, ça parle moins, et l'humour ne fait pas mouche tout le temps, mais ça reste bien foutu pour un film de commande.
Sympathy for Mr Vengeance : Ou la logique implacable de la vengeance entre deux persos broyés par la société. Du coup, ça sent moins le film de commande, de très bonnes idées, tout en restant assez sobre. Dommage que le réalisateur se sente obligé d'être lourdement explicatif avec une voix off à la fin du film... Heureusement que c'est pas long...
Old Boy : Le film le plus flamboyant du réalisateur. Mon préféré également. Aussi poussé esthétiquement que scénaristiquement, il y a des scènes que je me lasse pas de revoir, des musiques surpuissantes, une intrigue machiavélique, c'est trop la classe, tout simplement.
Lady Vengeance : Beaucoup plus calme, intéressant pour son côté "fin de trilogie" avec des références aux films précédents, mais on sent que le réalisateur a dit à peu près tout ce qu'il avait à dire sur le sujet et le traitement devient plus classique ici, pour ne pas dire qu'il s'essouffle presque. La fin (notamment en version director's cut, tout en noir et blanc) montre que ça le démange d'aller vers les trucs arty, avant-garde ou Nouvelle vague. Ca frise le ridicule à la toute fin...
Je suis un Cyborg : Le réal touche à un autre registre et on sent que ça lui fait un bien fou. À la fois décalé dans son univers et ses persos, il nous montre une jeune fille persuadée d'être un Cyborg qui est internée dans un asile. Chaque fou à sa logique interne, mais que l'on suit de l'intérieur et que l'on comprend. C'est très rafraichissant avec des vrais moments de poésie déjanté en alternance avec des moments plus amers et plus sombres.
Cut : Court-métrage de l'omnibus "3 extrêmes". Le plus réussi des 3 segments, entre un "Nouvelle Cuisine" de Fruit Chan qui se barre en sucettes à la fin et un Miike ridiculement lent, "Cut" offre une bonne satyre bien grinçante quand un réalisateur se fait prendre en otage par un de ses anciens figurants et qu'il doit choisir entre tuer lui-même un enfant ou sauver les doigts de sa femme pianiste.
Au final, c'est quand même bien classe ce qu'il fait ce monsieur, même s'il en est bien conscient et qu'il s'aime bien. C'est étonnant de voir aussi la fidélité qu'il a envers son équipe et ses comédiens, on retrouve très facilement les mêmes têtes d'un film à l'autre.
Donc Old Boy reste le grand gagnant au final, même si "je suis un Cyborg" est une surprise bien sympa.
@+
Chron
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