Un parfum de Cowboy Bebop...
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Tsuka
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Ah oui mais là il a été prouvé par A+B que Mr Peeters a tout copié sur les mangas 
Plus sérieusement le libraire m'a dit que Lupus était bien mieux que Koma, donc j'ai hâte ... je devrai plus souvent zieuter les rayons indépendants & co ... je suis sans-doute tombé sur Koma car c'est chez les Humanos ^^; (j'aurai du ecouter mon ami plus tôt ... surtout que j'ai mis un certain temps avant de comprendre qu'il s'agissait du même auteur qu'il vénère).
Plus sérieusement le libraire m'a dit que Lupus était bien mieux que Koma, donc j'ai hâte ... je devrai plus souvent zieuter les rayons indépendants & co ... je suis sans-doute tombé sur Koma car c'est chez les Humanos ^^; (j'aurai du ecouter mon ami plus tôt ... surtout que j'ai mis un certain temps avant de comprendre qu'il s'agissait du même auteur qu'il vénère).
Je ne sais pas si Peeters s'est déjà exprimé publiquement sur l'animation japonaise (quoi qu'il en soit, le rapprochement de "Lupus" avec "Cowboy Bebop" me semble pertinent, du moins pour le postulat de départ), mais je me rappelle une interview dans Libé, où il admettait avoir été influencé par le manga - de manière assez naturelle, question de génération -, notamment pour les grands yeux dont il affublait sa compagne dans "Pillules bleues".
Pour ce qui est de "Koma", c'est une série intéressante, mais je déplore toutefois sa narration trop dilatée. A mon avis, Peeters n'est pas à l'aise dans le format 48 pages, et c'est dommage, car le récit perd de sa force, là où ce même rythme réussit parfaitement à "Lupus". Moralité: on ne doit pas raconter une histoire de la même manière selon son format de publication.
Pour ce qui est de "Koma", c'est une série intéressante, mais je déplore toutefois sa narration trop dilatée. A mon avis, Peeters n'est pas à l'aise dans le format 48 pages, et c'est dommage, car le récit perd de sa force, là où ce même rythme réussit parfaitement à "Lupus". Moralité: on ne doit pas raconter une histoire de la même manière selon son format de publication.
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Captain Jack
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Ce qui est très agréable chez Atrabile ou encore du coté de l'Assoc c'est que les auteurs n'ont semble-t-il pas trop à ce préocuper du nombre de pages, l'histoire et la façon dont ils ont envie de proposer leur histoire déterminant cela.
Un album des éditions Atrabile que j'ai beaucoup aimé parmi tant d'autre Presque Sarajevo de Pierre WAZEM. Dans ses livres le voyage à une place très importante. On le voit dans sa 1ère BD éditée en 1998 Le Livre vert Vietnam réalisée d’après un voyage qu’il a effectué quelques années auparavant. Par contre dans Presque Sarajevo c’est le désir de faire une BD sur la ville de Sarajevo qui va l’amener à s’y rendre. Pour se rendre compte par lui-même de ce qu’est vraiment cette ville mais également pour comprendre ce qu’il n’a toujours pas compris dans le conflit dont elle a été l’une des victimes. Ce qui est amusant dans cet album, c’est qu’il est accompagné d’une petite partie de l’équipe d’Atrabile dont notre cher Frederik PEETERS et on peut les suivre, de case en case, au gré de leur voyage. Presque Sarajevo retrace donc son voyage dans cette ville, ses observations, ses errances, ses doutes et son incompréhension face au conflit. L’album se construit sur tout cela avec légèreté, un certain humour et une certaine poésie également. Pierre WAZEM a une vision du voyage proche de celle de son compatriote Nicolas BOUVIER ou il reprend à sa façon cette manière de se laisser emporter par le voyage lui-même « Je recule, j’avance, je tourne en rond et je pense que c’est aussi être ‘‘en état de voyage’’ que de se perdre comme ça ... de ne jamais savoir où on se trouve »
Un album des éditions Atrabile que j'ai beaucoup aimé parmi tant d'autre Presque Sarajevo de Pierre WAZEM. Dans ses livres le voyage à une place très importante. On le voit dans sa 1ère BD éditée en 1998 Le Livre vert Vietnam réalisée d’après un voyage qu’il a effectué quelques années auparavant. Par contre dans Presque Sarajevo c’est le désir de faire une BD sur la ville de Sarajevo qui va l’amener à s’y rendre. Pour se rendre compte par lui-même de ce qu’est vraiment cette ville mais également pour comprendre ce qu’il n’a toujours pas compris dans le conflit dont elle a été l’une des victimes. Ce qui est amusant dans cet album, c’est qu’il est accompagné d’une petite partie de l’équipe d’Atrabile dont notre cher Frederik PEETERS et on peut les suivre, de case en case, au gré de leur voyage. Presque Sarajevo retrace donc son voyage dans cette ville, ses observations, ses errances, ses doutes et son incompréhension face au conflit. L’album se construit sur tout cela avec légèreté, un certain humour et une certaine poésie également. Pierre WAZEM a une vision du voyage proche de celle de son compatriote Nicolas BOUVIER ou il reprend à sa façon cette manière de se laisser emporter par le voyage lui-même « Je recule, j’avance, je tourne en rond et je pense que c’est aussi être ‘‘en état de voyage’’ que de se perdre comme ça ... de ne jamais savoir où on se trouve »
Je dois avouer, à ma grande honte, que je n'ai pas lu ce bouquin de Wazem... Il faudra que je répare cet oubli à l'occasion. Merci à toi.
Je pense que la pagination libre permet aux auteurs une plus grande liberté dans le traitement de leurs sujets. J'ai tendance à croire que le format du 48 pages cartonné couleur - même s'il a livré de nombreux chefs-d'oeuvre - bride la bande dessinée franco-belge. As-tu eu l'occasion de lire "Plate-bandes", le récent essai de Jean-Christophe Menu, membre fondateur et cheville ouvrière de l'Association? Certaines de ses analyses méritent discussion mais il a les idées claires à ce sujet.
Je pense que la pagination libre permet aux auteurs une plus grande liberté dans le traitement de leurs sujets. J'ai tendance à croire que le format du 48 pages cartonné couleur - même s'il a livré de nombreux chefs-d'oeuvre - bride la bande dessinée franco-belge. As-tu eu l'occasion de lire "Plate-bandes", le récent essai de Jean-Christophe Menu, membre fondateur et cheville ouvrière de l'Association? Certaines de ses analyses méritent discussion mais il a les idées claires à ce sujet.
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Captain Jack
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jbastide
je l'ai seulement parcouru en librairie en pensant que ce devait être assez sympa. Du moins de connaître son avis, quel qu'il soit sur le paysage actuel de la BD.As-tu eu l'occasion de lire "Plate-bandes", le récent essai de Jean-Christophe Menu, membre fondateur et cheville ouvrière de l'Association? Certaines de ses analyses méritent discussion mais il a les idées claires à ce sujet.
C'est un panorama lucide sur les 15 dernières années de l'édition de bande dessinée en France. Court, précis, une lecture utile à tous ceux qui s'intéressent de près ou de loin au sujet. Menu revient sur les débuts de l'association - la volonté de rompre avec le 48 pages, la série, les héros récurrents - et la situation actuelle, qui voit la récupération des acquis (voire des auteurs) de l'édition alternative par les grands groupes de l'édition, avec en point d'orgue la reprise du label Futuropolis par Soleil, dont je parlais plus haut.
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Pradaldi
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Bon ça bouge plus beaucoup ici mais tant pis. 
Tout d'abord merci à Balak de signaler cette parenté... qui très franchement m'était complètement passée par dessus la tête et qui me semble est surtout vraie dans les premiers tomes.
Sur son blog de "work in progress", Aâma, Peeters prouve qu'il à de très nombreuses influences (certaines très pop culture) alors que Lupus ai subit (bénéficié !) de l'influence de Cowboy Bebop... c'est très plausible.
Le blog en question :
http://projet-aama.blogspot.com/
Tout d'abord merci à Balak de signaler cette parenté... qui très franchement m'était complètement passée par dessus la tête et qui me semble est surtout vraie dans les premiers tomes.
Sur son blog de "work in progress", Aâma, Peeters prouve qu'il à de très nombreuses influences (certaines très pop culture) alors que Lupus ai subit (bénéficié !) de l'influence de Cowboy Bebop... c'est très plausible.
Le blog en question :
http://projet-aama.blogspot.com/
