BA [Asie] en vrac

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Anton
Don Quichotte
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Message par Anton »

Seven Swords sort la semaine prochaine en Asie et le 30 Novembre en salles en France.

Tiens, en parlant de Jackie, j'ai eu l'occasion de le rencontrer lors de sa venue à Paris, une itw vidéo bien sympa pour bientôt.
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Tsuka
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Message par Tsuka »

Cool merci pour l'info :) !

Me tarde de voir l'itw de Jackie (sauf si New Police Story me déçoit :P)

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moscao
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Message par moscao »

J'ai vu 7 swords....! Bon en cantonais sous-titre chinois, dur a suivre j'avoue...Cependant l'histoire n'est pas trop poussee a mon gout et j'ai trouve deux, trois choses trop lentes, un peu trop expeditives ou mal exploitees...

Par contre certaines scenes sont magnifiques et les combats sont assez impressionants. Certains moments d'humour et de l'action mais j'avoue que 2h30 sont passes parfois tres doucement....

Evidemment la barriere de la langue peut expliquer des choses mais ma copine comprenant tout n'a pas non plus title sur le scenar...

Une petite ambiance a la mad max parfois et une scene superbe finale de combat dans un couloir.
Si un jour la merde prend de la valeur, les pauvres naîtront sans cul...

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Rman
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Message par Rman »

en tout cas tsuka le new police story ,je l'ai trouvé bieng
(enfin si je suis pas hs^^j'ai encore lu en diagonale^^;)

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Anton
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Message par Anton »

La Promesse / Wu-Ji, de Chen KAIGE. Le nouveau blockbuster wu xia à sortir en fin d'année.

Fiche > http://www.cinemasie.com/autres/fiche/o ... fiche.html
TRAILER > http://www.warnerbros.jp/broadband/trailer/71.wvx
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SPL dont j'ai déjà causé ici, sort le mois prochain à HK. La seconde bande annonce dispo depuis quelques temps sur le net et toutes les critiques après l'avant-première internationale sont bonnes, si c'est pas plus >
Fiche > http://www.cinemasie.com/hk/fiche/oeuvre/shapolang/
TRAILER 2 > http://www.twitchfilm.net/spltrailer2.rmvb

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Anton
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Message par Anton »

Tsuka a dit un jour :
Me tarde de voir l'itw de Jackie (sauf si New Police Story me déçoi
http://www.cinemasie.com/videos/intervi ... han01.smil
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patrouchef
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Message par patrouchef »

c'est quoi un .smil ?

un fichier qui sourit ?
"Girogirogirogirogirogirogirogirogiro !!!."

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ami_kenji
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Message par ami_kenji »

moscao a écrit : Par contre certaines scenes sont magnifiques et les combats sont assez impressionants. Certains moments d'humour et de l'action mais j'avoue que 2h30 sont passes parfois tres doucement....

Evidemment la barriere de la langue peut expliquer des choses mais ma copine comprenant tout n'a pas non plus title sur le scenar....
ben le gros problème c'est quand fait seven sword est une sorte d'épisode zéro à la série... les 2h30 sont parfois difficiles à digérer (enfin c'est mon avis)...il y a bien 1h00 qui aurait pû sauter.. mais sinon il y a des scènes grandioses, un design superbe, et les armes sont... du tsui hark en gros

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Anton
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Message par Anton »

Patrou, t'as mis dans le smil...

Seven Swords : version surtour trop courte, le montage initiale faisait 4 heures (Tsui a dit qu'il y a de grandes chances que cette version débarque en DVD), d'où pleins pleins d'éléments absent, des persos traités par dessus la jambe et pleins de subtilités à peine perceptibles ou carrément gommées. Sans tenir compte du problème de rythme ds la mise en scène. Mais même en l'état y'a de bon trucs.

Seven Swords n'est pas un épisode zéro à la série, juste le pemier d'une séries de films adaptant le roman originale. La version série TV va être diffusée en Chine sous peu. Et comme je suis grand seigneur et égocentrique et que la foule en délire me la réclame la bave aux lèvres, ma critique sur cinemasie qui s'insère ds un contexte un brin polémique sur le film ( http://www.cinemasie.com/autres/fiche/o ... iques.html et http://www.cinemasie.com/autres/fiche/o ... iques.html )
En l’état, Seven Swords n’est pas le meilleur film de TSUI Hark, mais il est loin d’être le plus mauvais. Malgré ses faiblesses, parfois « structurelles » comme le score inégal de KAWAÏ et à d’autres « conjoncturelles » comme le manque de caractérisation des personnages, le film de HARK propose assez de qualités visuelles, chorégraphiques et de densité métaphorique pour mériter au moins deux coups d’œil plutôt qu’un.

Attendu comme un chef d’œuvre programmé et plus gros budget jamais manipulé par TSUI Hark (plus de 18 millions de dollars US), Seven Swords aura été le film de tous les fantasmes en cette fin d’année. Une lourde responsabilité pour une œuvre censée convenir aussi bien aux fans les plus durs du réalisateur, qu’aux déçus de ses dernières productions, sans compter ses détracteurs récurrents tout en n’oubliant surtout pas le grand public, grosse production et mondialisation oblige. Présenté parfois à tort comme le « véritable retour de TSUI à HK », cette production pan asiatique (HK/Chine/Corée) s’inscrit bien plus dans le processus de structuration de l’industrie cinématographique continentale chinoise que dans celui d’un hypothétique retour de HK au premier plan, quelle que soit le sens que l’on mette dans le mot « retour ». Après la vague des « néo wu xia pian » qui fit les beaux jours de la Filmworkshop au début des 90’s, la nouvelle donne historique issue du retour de HK à la Chine, la multiplication des co-productions HK/continent et l’émergence de ce même marché continental, ont eu comme conséquence culturelle sensible une « mandarisation » de la production. Exit le cantonais donc et sa gouaille souvent outrancière, les nouveaux wu xia se font désormais dans un mandarin qui sonne plus solennel, se positionnant avec des prétentions artistiques plus sophistiquées ainsi que des prétentions financières plus élevées. Avec Seven Swords TSUI Hark ne tente donc pas un retour au - ou du - cinéma HK. Ce n’est plus un WONG Kar-Wai qu’il a en ligne de mire, mais bel et bien ZANG Yimou et dans une moindre mesure Ang LEE. Comme une grande partie du cinéma de HARK, Seven Swords est par essence polémique, frontalement, avec insolence. Ce n’est donc pas faire œuvre de « surinterprétation » que de considérer le nouveau film du réalisateur dans une perspective de confrontation. Ce n’est d’autant pas « surinterpréter » que très tôt dans le projet les déclarations des producteurs ou du cast fondaient en partie la démarche de HARK dans cette optique, Donnie YEN devant même s’y reprendre à plusieurs reprises dans les médias chinois pour ménager la chèvre et le choux après des déclarations « ambiguës » sur la question.

Film épidermique dans ce contexte, Seven Swords tente donc également de redéfinir un genre en état d’inflation « glamouresque » et d’hypertrophie visuelle. Aux bluettes sentimentales de Ang LEE le film de TSUI oppose trois triangles amoureux qui se chevauchent, où le langage de la chair domine, faisant du personnage de Donnie YEN à la croisée de ces trois triangles, une incarnation de la notion de virilité. Le réalisateur hongkongais ne s’était d’ailleurs pas caché de vouloir faire de la star martiale, avec ce film, une icône érotique. Une séquence mémorable de Seven Swords affirme ainsi sans détour cette intention, où l’on voit l’institutrice du village martial le regard levé, fascinée, se saisir de la garde de l’épée de Donnie YEN pour la sortir de son fourreau. Deux plans qui installent définitivement les armes des personnages comme prolongements directes de leurs personnalités tout en ramenant un « des fonds de commerce » du wu xia à sa plus simple expression cinématographique, un plan et trois idées : arme, amour, sexe. Quant à la notion d’héroïsme, à l’opposé de la vision toute soumise à la raison d’Etat livrée par YIMOU dans Hero, HARK s’attache à nous décrire la résistance à l’Etat d’une communauté de rebelles aidée par des chevaliers rebelles (et on n'évoque même pas l'analogie historique évidente des rapports Révolution Culturelle/kung-fu...). Ici, « techniquement » parlant et contrairement aux sept samouraïs du film éponyme de KUROSAWA auquel Seven Swords ne doit finalement pas grand-chose, les hors-la-loi ce sont les héros, et les paysans (personnages de Charlie YOUNG et de LU Yi) n’ont pas à se cacher pour prétendre au statut de chevalier (ou de héros) comme le faisait MIFUNE : ils le deviennent.

Si Seven Swords peut se voir « en opposition », dans ses détournements et prises de position, le film de HARK fonctionne aussi parfois par autoréférence : on ne peut ainsi s’empêcher de voir dans le personnage de l’esclave coréenne Green Pearl une réminiscence de la prostitué de The Blade, tout comme le personnage du bad guy incarné par SUN Honglei se présente au début comme une déclinaison de celui joué par XIONG Xin-Xin dans le même The Blade. Visuellement aussi, dans la chorégraphie des combats, Seven Swords paye son écot au chef d’œuvre de HARK : sans en atteindre le paroxysme et le jusqu’au-boutisme, l’approche visuelle des chorégraphies ne se départie pas de son sens du hors champ si dynamique et immersif. Mais la comparaison sur ce terrain reste ici forcément à l’avantage de The Blade, même si les chorégraphies de LIU Chia-Liang se veulent plus sophistiquées – et elles le sont – l’intensité n’est pas la même. De la même façon, thématiquement, les deux films ont en commun de mettre au centre du récit l’objet de leurs titres, mais dans une perspective différente : la lame brisée de The Blade est plutôt historique (la filiation, l’héritage, la continuité) tandis que celles de Seven Swords sont individualisées. Dans le premier cas l’arme est métaphoriquement chargée du poids du passé tandis que dans le second elle se fait l’écho de personnalités en gestation : Charlie YOUNG et son épée à « double sens » dont on ne sait par quel bout la prendre comme elle ne sait elle-même comment se positionner dans le groupe, son jeune collègue paysan – incarné par LU Yi - plus enthousiaste et fougueux qui hérite lui d'une épée à grande force d'inertie dont les élans destructeurs incontrôlés s'apparentent à la fougue de son possesseur, Donnie YEN et son épée sexuée comme prolongement frontalement phallique, Leon LAI avec un personnage « auto castré » qui ne veut pas s'impliquer héritant de l'arme des "chochotes" (défensive uniquement, ne s'engage pas, et donc pas de problème s'il a un jeu d'acteur peu concerné), le personnage mutique à la rage contenue joué par TAI Li-Yu (« gros sourcil ») maniant des armes de jets tuant à distance comme lui se tient à distance des autres, etc... On retrouve donc vraiment une réelle alchimie ainsi qu’une grille de lecture pertinente pour suivre la dynamique de groupe des héros, mais plutôt diffuse en raison du montage écourté qui semble s’être « assis » sur la caractérisation des personnages, et donc leur identification à leurs armes. Mais même si dans ce montage cinéma les situations paraissent s’enchaîner trop souvent de façon absconse, si les sous intrigues ne trouvent pas toujours de résolution, si des révélations sur le passé d’untel tombent comme un cheveux sur la soupe quand elles n’ont pas tout simplement été sabré, le tout garde encore assez de force pour donner envie d’en savoir plus.

Pas étonnant dès lors qu’une bonne partie des personnages, au premier rang desquels la moitié des personnages principaux, se retrouve réduit à un simple rôle de figuration, à des personnalités à peine esquissées ou figées. En choisissant de focaliser sur le triangle amoureux « bad guy/Donnie/esclave coréenne » parce que ce dernier est le moins dispensable pour l’intrigue (implique directement le méchant et... met en avant un argument de vente pour le marché coréen... ?) au détriment des deux autres triangles en résonances (la fascination pour Donnie de l’institutrice incarnée par ZHANG Jing-Chu fait ici pièce rapportée et ne trouve même pas de résolution), le montage cinéma fait montre d’une linéarité qui plombe le rythme d’un bon tiers du film, le tout encadré par un flash back bien balourd en terme de mise en scène : une séquence – la capture de Chu Zhaonan et de l’esclave par les hommes de Fire Wind – à n’en pas douter plus longue (des scènes de combat non retenues sont visibles dans certains reportages promo) et originellement insérée dans le cours du récit... Et de la même façon qu’une bonne partie du passage « mystique » au Mont Tian a fait les frais des impératifs d’exploitation salle (dont le caméo de TSUI Hark en paysan montagnard), nous privant ainsi de background dans la mise en place des sept héros, l’ensemble du film brille autant par ses fulgurances que par ses absences. Comme si un plan sur deux avait fais les frais du montage, ce qui n’est finalement pas si loin de la réalité quand le scénariste CHEUNG Chi-Sing déclare (Beijing News de juin 2005) que le premier montage livré par Angie LAM faisait quatre heure. Reste que malgré cela Seven Swords offre tout de même son lot de personnages intéressants, au premier rang desquels le bad guy qui derrière son cabotinage apparent révèlera une personnalité écorchée pas loin d’inspirer une certaine pitié et plutôt éloigné d'une simple personnification du concept moral du mal (comme le Sauron du SDA par exemple), plus proche d'un pauvre hère tout en frustration incapable de nouer des relations autrement que par la soumission et la possession (1), un leader finalement tout juste bon à rassembler une meute autour de lui en lieu et place de frères d'armes. Côté gentils", outre un Donnie YEN magnétique, on retiendra avant tout le personnage de Charlie YOUNG, tout en incertitude et fragilité apparente, qui suscite une sympathie immédiate, le rapport avec son épée étant en l’occurrence un des mieux exploité...

Au final si Seven Swords est loin d’être exempts de scories, au premier rang desquelles un score inégal (thèmes héroïques sous utilisés, curieuse absence du « killer thème » héroïque qui accompagnait la bande annonce chinoise, présence de thèmes « gnangnan »), et de baisse de régime (un tiers du film à l’action bien tassée, un tiers d’une grande linéarité, un dernier tiers re-tassé), le tout reste assez distrayant, ludique et bourré d’intentions pour susciter l’adhésion. Encore plus une fois débarrassé d’attentes forcément présentes quand il s’agit du « nouveau film de... ». Seven Swords ne révolutionnera pas le genre, sur ce plan là TSUI Hark n’est pas encore sorti de The Blade, mais offre une alternative viable qui ne demande qu’à être étoffée (selon TSUI Hark d’après le site sina.com partenaire du film en Chine, un cut de 4h a de bonnes chances de voir le jour en DVD). On passera donc par pertes et profits les plans avec les « zenfants » (et leur thème musical), les déséquilibres de mise en scène et les blancs du scénario, les qualités restent plus nombreuses.

(1) La caractérisation qu'en fait HARK telle que rapportée par le dossier de presse en anglais (voir l'onglet news de la fiche version anglaise) est sans équivoque : “Fire-wind is like a ruthless businessman; everything he does is for the purpose of survival, even if it means hurting innocent people. He does not have a high regard of himself, he doesn’t enjoy doing the things he does, but society requires him to become the cold-blooded figure he is in order to survive, so he’s simply following the rules of the game set by the system.”
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Tsuka
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Message par Tsuka »

Merci pour l'itw video, je vais chopper ça :-]

Snif pour Seven Swords ... me tarde quand même de le voir.

Patrou > un fichier smil lance la lecture d'un ou plusieurs fichiers Real (streaming en général) et peut aussi permettre de parametrer l'aspect du player.

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Tsuka
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Message par Tsuka »

Je viens de regarder l'itw de Jackie Chan, ce fut un agréable moment :)
Au début j'avais peur qu'il soit un peu trop formaté dans ses réponses, mais il s'est vite décontracté, et il est toujours aussi amusant ... vraiment rigolo quand il raconte son expérience avec les effets speciaux par ex :P et puis c'est toujours sympa de voir qqun d'assez franc et assumé, notamment quand il parle en tant que businessman, ou quand il parle des Rush Hour comme des navets, tout en pointant le talent des américains pour packager ce genre de choses ...
Ca change des interviews de Jet Li par ex, que j'avais pu voir il y a quelques temps chez Cauet & co, y'avait comme un espèce de fossé dans la communication ...

Sinon un projet de film réalisé par Zhang Yimou avec Jackie en perso principal, c'est sacrément intriguant ...

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Anton
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Message par Anton »

En parlant de Jackie, j'avais oublié deux trucs :

1 - il tourne en ce moment en compagnie de Sammo Hung et Yuen Biao (le trio historique) une comédie kung-fu.

2 - Il y a un big projet de DA en production pour le cinoche avec Jackie en tête d'affiche. C'est taïwanais, c'est co-produit par Chan, ça coute plus de 25 myons de dollars US de budget, on y retrouvera sa tête et sa voix à Jackie, c'est un truc de kung-fu, c'est Edward Yang (réa taïwanais connu des festivals pour sa filmo live) qui réalise. Sortie en 2007 et ça s'appelle The Wind.
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Anton
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Message par Anton »

copié/collé de la news cinemasie ( http://www.cinemasie.com/fr/depeches.html#865 ) >
Le site wu-jing.org signale que Fearless, prochain film avec Jet LI, bénéficie désormais de son site officiel avec une partie en anglais et un premier teaser. Rappelons qu'une brochette d'acteurs martiaux est dans le coup, notamment Michelle YEOH et Collin CHOU, tandis que la partie chorégraphique est assurée par l'inévitable YUEN Wo-Ping alors que c'est Ronnie YU qui dirige la manoeuvre.
teaser > http://www.fearlessthemovie.com/video/index_hi.html
site > http://www.fearlessthemovie.com/
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Anton
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Message par Anton »

http://www.cinemasie.com/fr/depeches.html#868

The Warrior, sortie mi Décembre, film Chinois.
Trailer > mms://nv.sina.com.cn/ent/2005/11/03651336.wmv

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Podcast Cinemasie

Message par Anton »

Auto-promo. Je remonte ce thread histoire de signaler l'arrivée du premier Podcast CinemAsie. Bon ça s'est fait via le net, donc techniquement c'est pas l'optimum mais ça reste plutôt écoutable je trouve. Donc c'est le premier hein, on espère améliorer certines choses pour la suite et proposer quelques surprises à l'occasion...

Bon on fait ça avant tout pour se faire plaisir et jouer aux "animateurs radio". Accessoirement c'est un moyen convivial (pour ns et les éventuels auditeurs) de prolonger notre activité sur le site. On essaye de faire attention à ce qu'on dit mais des fois y'a des ratés. Donc pour ma pomme lorsque je qualifie Perfect Blue de thriller d'anticipation (rayer la mention inutile) et d'Aurelien lorsqu'il dit que HK n'a pas connu de comédie musicale depuis 60 ans... Il a un peu augmenté le nombre d'années...

Le sommaire et les liens pour écouter >
Un nouveau flux d'information fait son apparition sur le site : le Cinemasie Podcast.

Fichier audio que l'on peut écouter directement depuis le site ou transférer sur son lecteur mp3 préféré, un Podcast est une émission à laquelle on peut également s'abonner afin que chaque nouvel épisode soit automatiquement téléchargé, accompagné de son sommaire. On se reportera à la page d'aide pour de plus amples informations.

Les intérêts sont multiples : le premier est évidemment que vous n'avez plus besoin d'être connecté à internet voire même d'avoir un ordinateur pour vous informer. Le fichier est écoutable hors ligne une fois téléchargé, ou même dans le métro une fois transféré sur votre lecteur mp3 favori. Le cinéma asiatique ne se regarde plus, il s'écoute aussi. Et afin de ne pas simplement recopier l'information déjà présente sur le site, nous essayons d'aborder des sujets très difficiles à restranscrire par écrit, comme les débats. Le format audio permet ainsi d'être beaucoup plus vivant.

Pour écouter le premier enregistrement, direction la page principale du site, et cliquez sur le logo Cinemasie Podcast.

http://www.cinemasie.com/fr/

A noter que les résultats des CinemAsie Awards 2006 sont déjà donnés dans cette première émission...
PRESENTATION / SOMMAIRE :
PodCast
Qu’est-ce qu’un podcast ?
Un podcast est un enregistrement comparable à une émission de radio, sous la forme d’un fichier audio que l’on peut écouter aussi bien sur son ordinateur que sur un baladeur mp3. Un podcast peut être écouté ou téléchargé directement par le lien présent (http://www.cinemasie.com/audios/podcasts/podcast_1.mp3) ou peut aussi faire l’objet d’un abonnement à la manière des éditos et dépêches du site. De nombreux logiciels tels iTunes et Amarok permettent de s'abonner en entrant une simple adresse (http://www.cinemasie.com/listes/news/sy ... odcast.php). Vous recevrez alors automatique les nouveaux podcasts ainsi que leur sommaire.

A quoi ça sert?
Le podcast possède plusieurs avantages. Le premier est évidemment que vous n'avez plus besoin d'être connecté à internet voire même d'avoir un ordinateur pour vous informer. Le fichier est écoutable hors ligne une fois téléchargé, ou même dans le métro une fois transféré sur votre lecteur MP3 favori. Le cinéma asiatique ne se regarde plus, il s'écoute aussi. Et afin de ne pas simplement recopier l'information déjà présente sur le site, nous essayons d'aborder des sujets très difficiles à restranscrire par écrit, comme les débats. Le format audio permet ainsi d'être beaucoup plus vivant.

Au sommaire du premier podcast
Introduction et sommaire
Rapide présentation du concept, des sujets et des intervenants de ce premier podcast.

Sorties en salles
Avis rapides sur les prochaines sorties dans les salles françaises.

The Host
Gilles et Aurélien reviennent sur les qualités du dernier film de Bong Joon-ho, qui a fait plus de 13 millions d’entrées en Corée. (Sortie le 22 novembre 2006.)

Perhaps Love
François et Aurélien ont apprécié la comédie musicale de Peter Chan, mais pas toujours pour les mêmes raisons. (Sortie le 22 novembre 2006.)

Paprika
Anton revient sur le dernier film d’animation de Kon Satoshi. (Sortie le 6 décembre 2006.)

Débats
2046 : l’avant et l’après
François et Aurélien reviennent sur la controverse autour du dernier film de Wong Kar-wai et partagent leurs avis respectifs sur l’œuvre du cinéaste hongkongais et son avenir.

CinemAsie Awards 2006 : les résultats
François annonce les résultats de ces premiers CinemAsie Awards et les commente avec Gilles, Anton et Aurélien.

Conclusion
Avec un petit extrait musical surprise à la fin!

C'est comment?
A vous de nous le dire! Le premier enregistrement s'est fait non sans mal, à la fois sur le fond et la forme, beaucoup de choses sont à améliorer. N'hésitez pas à être critique et à nous aider à rendre ce nouveau fil d'information plus pertinent. Un post sur le forum est disponible pour accueillir vos remarques plus ou moins assassines.
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