SANS TITRE [titre provisoire]-> INTERDIT -18 ans.

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JeP
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Message par JeP »

... :)
TAMATAMATAMATAMA

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TRANTKAT
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Message par TRANTKAT »

Héhé... bon, je ne me suis toujours pas remis à écrire la suite...

Donc je vous livre le truc au compte-goutte pour le moment.

Merci pour vos compliments, je suis content d'atteindre mon unique but: sussiter des émotions.

Alors je profite d'une connection pour vous livrer la suite.

Bises.

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TRANTKAT
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Message par TRANTKAT »

Episode 7.




Neuilly sur Seine, c’est quelque chose pour qui vit en HLM de Banlieue, à la fois fascinant et écoeurant. Des rues propres, calmes, avec des arbres, du mobilier urbain historique, des immeubles Hausmaniens, des hôtels particuliers, des Merco, des Behèmes, des Jag, même des Ferrari et des Bentley, et l’attraction principale: des keufs partout.
Monsieur le maire s’appelle Nicolas SARKOZY.

On avait croisé le chemin de Pierre lors d’un concert du groupe de rap “Assassin” au “Plan” à Ris-Orangis. Pierre est un fils de bourge, en dehors du fait que la dénomination “parvenu” fût plus adéquate. Ses parents vivent à Neuilly, et ils sont propriétaires d’une résidence secondaire à “Le Coudray Montceaux” en bord de Seine.
Pierre n’est pas à l’aise dans son milieu, c’est un rebelle: il écoute du Hip Hop et du Métal, boit beaucoup d’alcool, fume du shit. Une rebellion de circonstance: il est le vilain petit canard boîteux de sa famille.
Il est en échec scolaire et s’est retrouvé dans une filière professionnelle au lieu de passer en seconde. Son père a honte de lui. Son père lui parle avec condescendance. Son père soupire souvent en pensant à son fils.

Il était venu à notre rencontre au Plan, après avoir abordé plusieurs autres groupes de gus, parce qu’il cherchait à acheter du teush. De base, on s’est dit que c’était un pigeon à plumer. Quand je dis “on”, je parle des gars avec lesquels je continue de traîner, dont Stef, notre dealer attitré.

Et ce soir, nous sommes à Neuilly, de fil en aiguille, nous avons sympathisé avec Pierre (dont le vrai prénom est Pierre-Thomas, mais qui préfère se faire appeler Pierre-tout-court, et que nous finirons par appeler PéTé), et après deux soirées barbecue dans la maison de ses parents en bord de Seine, le voilà qui nous introduit auprès des amis de son milieu, pour une soirée chez une copine. “Y’aura pas mal de filles!” nous avait-il dit avec un large sourire. De la petite bourge qui sent bon, cherchant à s’encanailler, il n’en fallait pas plus à des lascars de notre espèce pour prendre le RER, chargés d’une savonnette de shit en guise de monnaie d’échange.
J’aurais bien aimé emmener Julia, pour la sortir. Mes elle n’a que quinze ans. De toute façon, ses parents ne savent pas pour nous.

Il n’est pas loin de 22 heures, déjà une heure qu’on regarde leur petit manège, ils sont craintifs, malgré les exhortations à la convivialité de Pierre. Ils picolent, surtout, et c’est vrai qu’il y a de la meuf, de sacrés petits lots même. Evidement, elles regardent déjà les mecs de leur “rang” de haut, alors nous... On n’existe pas. Petite leçon de philosophie de crevard: Quand une meuf te tourne le dos, profites-en pour matter son cul!

L’appartement n’est pas gigantesque, à peine 80 mêtres carrés. Nous sommes un peu déçus. Salon, Séjour/ Salle-à-manger, meublés vieux, et roccoco. Commodes, tables et guéridon à boiseries travaillées, supportant vases de fleurs séchées sur napperons au crochet et vaisselle sur présentoir en acier inoxidable. Photos de famille encadrées, chaises à coussins pied-de poule, tapis perse ou indien ou que sais-je encore. C’est moche, c’est sombre, ça donne des envies d’incendie mais ça doit valoir du blé, sûrement.
Les pièces sont toutes communicantes par un système de portes à double-battant vitrées. Sauf pour les chambres, qui sont au nombre de deux: Papa-Maman d’un coté, crucifix au dessus du lit-cathédrale orné de son couvre-lit en velours pourpre, et Fifille de l’autre coté du couloir, ambiance bébé qui a grandi: les peluches côtoient les posters de Guns’n’Roses sur le papier-peint rose. Les chiottes sont dans la salle-de-bains arborant moquette murale qui côtoie le carrelage en céramique d’époque. Avoir de l’argent est une chose qui ne paye pas le bon goût.

On a atterri dans la cuisine, on coupe, on vend, on effritte, on roule.
On profite du frigo, aussi. Nan, promis Pierre, on n’abuse pas! Tu parles, on a déjà chargé les sacs, bouffon.
La fille des parents chez qui nous sommes est plutôt pas terrible: une petite brune un peu ronde avec des petits seins pointus et de grosses chevilles, mais elle s’est faite toute belle. Elle a mis sa mini-jupe en daim couleur naturelle, son petit pull décolleté en V bleu marine, des collants Dim noirs opaques et ses petits escarpins noirs en simili-cuir. En reine de la soirée, elle virevolte, fais des gestes amples et inutiles sans doute dûs à une grande quantité d’alcool ingérée. Elle n’arrète pas de rire, pour la même raison. Elle va et vient, parle à tout le monde, même à nous! Elle n’arrète pas de débiter des conneries que je n’entrave qu’à moitié en me touchant le bras et l’épaule... Cette fille est com-plê-te-ment hystéro.

Ne voilà-t-il pas qu’elle déboule dans la cuisine et s’esclaffe dans la porte du frigo: plus rien à boire? Deux bouteilles de champagne et trois bouteilles de vin blanc sont dans nos sacs. Elle nous demande, alors que ces yeux roulent dans ses orbites, si quelqu’un veut bien venir avec elle chercher quelque chose chez “l’arabe”... Devant notre dynamisme, elle m’attrappe par le bras et me tire: “Allez viens, toi!”

Elle dévale l’escalier sur trois étages en rigolant à gorge déployée, et m’attend dans la pénombre, devant la porte cochère en me regardant descendre les marches, mains dans les poches.
Je me rend compte que je ne suis plus très frais non plus, c’est traître de picoler et de bédave en restant assis.

Elle est à coté de l’interrupteur. Lorsque je tire sur la poignée de la porte, celle-ci ne s’ouvre pas, et elle attrape ma main sans que j’ai même le temps de me retourner, puis son autre main aggrippe mon épaule et en un mouvement brusque, elle se plaque sur moi. Mon cerveau est buggé un instant... Nous sommes en train de nous rouler une pelle. Elle a de la force, je la sens toute contractée lorsqu’elle me fait pivoter sur moi-même pour se flanquer violement contre le bois de la porte qui résonne sourdement sous l’impact de nos corps. Elle est aussi tendue qu’Alexia lorsqu’elle fait des crises d’épilepsie en cours et qu’il faut la maintenir au sol. Enfin, presque. Même sa langue est très musclée, elle s’agite dans tous les sens, la mienne me fait l’effet d’une huître en comparaison. Sa bouche est goulue et les mouvements de sa tête saccadés, ses poings serrent mon sweat de toute leur force, et elle me maintient contre elle alors qu’elle remonte sa jambe le long de ma cuisse. Je suis pris dans un étau!
Pas le temps de souffler, une impression désagréable m’envahit, il faut que je me dégage... Pas moyen de reculer, j’avance.
Mes muscles se bandent, et je prend le dessus en l’ecrasant contre la porte, je prend sa tête entre mes mains et j’enfonce ma langue vigoureusement au fond de sa gorge. En quelques instants, je la sens se détendre, lâcher prise, nos bouches se séparent, elle est satisfaite. Son regard suinte de concupiscence, le mien est dur et je sens que ça lui plaît.

Elle appuie sur l’interrupteur et sans me lâcher du regard ouvre la porte en exagérant la rotondité de chacun de ses mouvements. Elle me succède, fait trois pas dans la rue avant de m’attendre en regardant droit devant elle, menton relevé, fesses cambrées, bras tendu pour attraper ma main, et reprendre fièrement sa marche sans se retourner une fois chose faite.
Je dois dire que je suis circonspect. Je me rend compte en chemin qu’elle m’a fendu la lèvre... et emmêlé mes longs cheveux de métalleux.
Nous arrivons dans l’épicerie, de celles qui restent ouvertes tard la nuit, comme il n’en reste que très peu dans ma banlieue: les stations-service, plus sécurisées pour les gens qui y travaillent, grâce à leurs caméras centralisées chez les flics, leurs rideaux de fer et leurs double-vitrage-hygiaphone-antichoc, y ont repris le même office.
Un maghrébin quinquagénaire, rond et réellement souriant, vêtu du traditionnel tablier-orné-d’un-bic d’épinal nous accueille dans sa boutique. Je suis distrait, c’est elle qui fait les courses. Elle regarde le rayon des alcools, puis me demande ce qu’elle doit prendre. Elle est pas vraie cette fille! C’est SA fête, SES amis, et je dois faire le macho? C’est moi qui sait ce qu’il FAUT boire? Je rêve.
Je prend un air de circonstance: absorbé, sourcils froncés et scrutte les produits proposés. C’est là que ça me saute aux yeux: les prix!
C’est donc ça les quartiers riches, tout y est 4 fois plus cher qu’au Shopi de mon quartier de pauvres. A quoi bon être riche, si c’est pour consommer 4 fois moins?
Elle profite de ma concentration pour se rapprocher de moi, me coller et me caresser les fesses, avec un petit air excité: Il pourrait nous voir, “l’arabe”, quelle délicieuse sensation de braver l’interdit!
Je la trouve pathétique et énervante, mais ça commence justement à m’exciter vraiment.
Elle va l’avoir son 4 heures, je vais la bousculer, la retourner, la cabosser! Je suis troublé par l’excitation que l’idée de la punir me procure. Plus que l’idée, que j’exploite dans mes fantasmes depuis toujours, c’est la possibilité de réalisation qui s’offre à moi qui me trouble... Sursaut de culpabilité?
J’m’en fout de c’te meuf, j’la connaît même pas d’façon!

Je pose les bouteilles sur la table de la cuisine, mes potes me font des clins d’oeil lourdingues, elle reprend son batifolage, alors que sur le trajet, profitant du fait que je portais les sacs, elle a mis sa tête sur mon épaule, sa main dans la poche arrière de mon jean et m’a parlé de trucs... Cahin-caha, nos démarches si différentes, tellement pas au diapason faisaient rebondir sa tête qu’elle s’obstinait à maintenir dans cette position.
Je l’ai perdue de vue. Des gens viennent se servir à boire, je sors de la cuisine.
Par l’entrebaillement de la porte de la chambre de ses parents, elle me fait signe de la rejoindre.

La lumière est éteinte, elle donne un tour de clé. Je reste debout comme un con, elle s’asseoit sur le lit qui s’incurve, l’épouse, s’enfonce inexorablement, un lit très mou. Je bande.
Je suis debout devant elle, elle me regarde, mes mains attrapent son pull, et elle m’aide à l’enlever, et me regarde. Derrière elle, au mur, des icônes religieux. Elle me regarde absorbée, en génuflexion, tendue vers moi, comme son sauveur... Truchement d'images: Jésus, Axl Red, confusion. Je me sens imposteur, je la méprise de me prêter tant de force sans me connaître, juste parce que mon image la rappelle à d'autres.

Elle retire son soutien-gorge, on dirait une poitrine prépubère. J’enlève à mon tour mon sweat, et je m’agenouille. Je n’ai pas envie de l’embrasser. Je passe mes mains sur ses cuisses, de chaque coté, sous sa jupe que je remonte. Elle soulève ses fesses pour m’aider, elle halète, se penche vers moi, sans doute pour m’embrasser. Pas question, je recule et la tire par les mollets.
Ses pieds au sol, son bassin dans le vide, elle s’allonge à moitié sur le dos, appuyée sur ses coudes. Je pose une main sur son ventre chaud et remonte vers elle. De ma deuxième main, j’appuie sur son sternum pour lui donner un simple baiser, sans quelle puisse m’en prendre davantage. Collant et culotte aux chevilles, en un clin d’oeil, elle inspire et gémit un peu. Je caresse l’envers de ses cuisses lourdes se confondant avec ses fesses et louvoie tranquillement vers son sexe: nul besoin de forcer, elle est grande ouverte: il faut juste le temps que ses muscles s’en rendent compte.

C’est très fort le goût d’une fille. Elle est brune, ses poils sont crépus et je débute ce soir ma grande carrière de cunilinguiste. Elle est trempée, elle commence à tellement s’agiter que je dois lui infliger une clé de bras pour la stabiliser... Elle m’écrase la tête entre ses cuisses, cette fille est définitivement un étau! Pour la détendre, je lui masse les reins et le ventre en la mordillant par moment. Lorsqu’elle jouit, au bout de quelques mnutes, elle se baillonne elle-même d’un coussin bordé de crochet qui trônait sur le lit. Des petits cris aigûs étouffés, des soubressauts qui s’éteignent doucement repris dans un dernier gémissement comme ceux qu’on peut avoir en se soulageant d’un trop plein d’urine trop longtemps contenu. J’ai fait jouir une fille.

Elle me regarde maintenant d’un oeil repus et reconnaissant, elle arbore un grand sourire détendu et admiratif, à moins que ce ne fût le contraire. Seul problème: ma queue est en feu, et je suis un peu frustré. Elle glisse, se répend et s’asseoit par terre, me serre dans ses bras tendrement, tout en verifiant l’absence d’éventuels dégats sur le couvre-lit de Papa-Maman. Très délicat. Elle ronronne au creu de moi. Ma colère monte devant un tel égoïsme: “Et moi? Donnes-moi un peu de plaisir!” Elle relève la tête et narquoise: “Un peu seulement?”
Je me relève en la repoussant doucement, mes genous sont endoloris. Je me déboutonne et lui présente mon sexe. Une bouffée de chaleur me parcourt, je suis saisi de ma propre audace. Elle esquisse un mouvement de recul, puis un sourire, sans quitter ma teub des yeux.
Mes jambes se raidissent et flageollent un peu, sa main monte vers mon vit, l’effleure délicatement, hésitante, avant que je ne ressente la pression progressive de ses doigts qui s’enhardissent au contact de ma chair turgescente.
Elle me branle... mal: mon prépuce me brûle un peu, si je lui demande plus, le fera-t’elle? Mieux vaut-il être mal branlé ou se faire jeter en exigeant une pipe?
“Fais-le avec ta bouche... steuplé”
Nouvelle hésitation, ses sourcils indiquent une légère appréhension. Son visage s’approche de mon gland, elle tient mon zob du bout des doigts, comme on le fait d’une tasse de thé dans les bonnes familles d’outre-manche. Les yeux clos pour ne pas loucher sans doute, les narines frétillantes, que j’imagine mobilisées par le musc chaud que dégage l’objet qu’elles approchent, mademoiselle entre-ouvre la bouche et pose ses lèvres, “pour voir”. Sa tête hésite et recule un peu, distordant de façon imperceptible sa lèvre inférieure qui adhère à ma muqueuse l’espace d’une micro-seconde. Je n’en peux plus, elle se fout de moi ! Simultanément, elle ouvre la bouche plus grand et je dirige ma main vers sa tête. Mon gland pénètre sa bouche une seconde avant que je ne pose ma main sur le sommet de son crâne. Elle me suçote et m’aspire, je me cambre en arrière, une vague énorme me remonte dans l’échine pour foncer droit contre mon lobe frontal, mes abdominaux se tordent, mes épaules frémissent, mon cul a des sueurs froides et mes cuisses sont atteintes de la maladie de Parkinson... Une fois de plus ce n’est pas ce que me fait la fille qui va me faire venir, mais l’idée qu’elle me le fait: Je m’imagine remplir sa bouche de sperme, et j’éjacule à la volée.

Cette fois je suis resté dans mon plaisir, et je jouis bien.
C’est bon.

Lorsque je m’intéresse de nouveau à ma partenaire, elle est occupée à débarasser ses cheveux de ma semence gluante. Sur son visage, une petite moue. Elle aussi est seule dans sa tête à ce moment. Je la regarde, ses gestes maniérés, ses doigts qui font autant de petites ballerines minaudant, confrontées à une mission aussi impossible que celle qui consisterait à ramasser un ver de terre sans faire la grimace...

Je remonte mon froc, et lui propose de l’aider dans la salle-de-bains.
Je suis armé d’un gant de toilette et patiement, délicatement, je m’occupe à réparer mes dégâts. Elle ne me parle plus. Elle se force à me sourire dans la glace.
Lorsque nous retournons avec les autres, elle tente le rabibochage-câlin, dans le canapé. Mais je suis déjà parti. Fais donc comme si je n’étais plus là, comme si je n’avais pas existé. Le premier RER est dans 3 heures.

J’ai trompé Julia avec une fille dont je ne saurai jamais le nom.

Catox
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Message par Catox »

j'suis un peu troublé dans mon partagement.
j'arrive pas bien à savoir si c'est le côté naturel de ton écriture qui fait qu'on oublie avec toi tout se qui se passe autour de toi, comme l'existance de Julia (en gros, si j'ai bien compris), ou bien si c'est au contraire le fait qu'on ne voit que ce qui se passe dans ta tête qui fait qu'on ne voit rien d'autre.

en tout cas, on est vachement bien entrainé vers le froid que jette la dernière phrase

ha oui :
... , un lit très mou. Je bande.
j'adore ^__^
Kataouh tataouh

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Sterna
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Message par Sterna »

toujour en osmose

la fille qui drague en soirée, le temp d une soirée alala........
http://sterna-portfolio.blogspot.com/

GO SKILL SHOP espece de LOW !

koneko

Message par koneko »

encore \o/ encore \o/ (bon j'vais arreter de dire ca comme ca on va croire que ca me fait j...)

hum fort sympathique ces histoires, tres interressant pour la gente feminine (comme moi) nan serieux j'adore :D a histoires differentes (et sexe different) ca me rappelle la facon dont j'ai vecu des tas de trucs :) on s'identifie beaucoup dedans avec ta facon d'ecrire (bon je suis loin d'etre cultivée donc j'ai pas bcp de points de comparaison, mais c'est l'intention qui compte :))

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yak
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Message par yak »

hey! y aura un director's cut ?
GOD FINGER!!!!

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velo vert
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Message par velo vert »

c'est quoi director's cut ? une super attaque dans un rpg ?


D I R E C T O R ' S CUT KAYAAAAAAAAAA !
hum, non.


je ne sais vraiment pas ce que c'est hein, repondez...

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Klaim
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Message par Klaim »

TRANTKAT> Marrant, dans ce genre de situation j'ai tendance a casser volontairement le coup héhéhé
Je suis vil :twisted:
(Il y a des exceptions)


Velo Vert> Scenes coupée au montage...

Mamushi

Message par Mamushi »

Un director's cut, c'est comme son nom l'indique un montage "fait par le réalisateur", en principe plus représentatif du message qu'il a voulu faire passer. Par opposition au montage final, après passage des producteurs.

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XAV
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Message par XAV »

pour etre tres honnete , je suis un petit peu déçu par ce nouvel episode ... je trouve le style general un peu moins incisif, plus banal .
en fait je crois que ce que j'aime dans tes récit c le coté " parcours initiatique " (shonen rules !) que j'ai un peu de mal a retrouver ici malgré le cuni .on a l'impression que toi/ton héros est vachement plus à l'aise, qu'il maitrise presque le truc .
le truc aussi qui me manque vachement ici c'est le coté "portré social" qui tient pour moi plus ici du descriptif technique que de la profondeur d'un individu .on a toujours l'enchainement personnage> son milieu social> sa personnalité > sa sexualité (systeme qui me parait super interessant) , mais ici la fille parait totallement . alors c certainement le but, mais quand tu commences a parler du fait qu'elle veuille se tapper un mec different de son milieu, tu n'approfondis pas , alors que ca aurait pu etre une piste vachement interessante pour approfondir et mieux comprendre la meuf. pareil pour toi/ton héros pour le coté punition , je trouve l'idée que ce mec ce tappe cette meuf comme une pure vengeance sociale super forte , mais là encore ca me parait trop vite exquissé ...

bon , ce n'es que mon avis hein , mais bon , vu que 'jadore tout ce qu'on a eu jusque là , j'ai bien envie de continuer a aimer autant , alors je te fais aprtager mon avis perso ^__^ .

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coltide
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Message par coltide »

XAV > pour avoir endossé l'habit de la bourgeoise qui s'encanaille avec un gars du ghetto (ouais, finalement je me reconnais vachement dans tes derniers textes, 34 :lol: ), je peux dire que là encore, c'est pas quelque chose qui est vraiment calculé à la base. Tu te rends compte après coup que si le gars t'a excitée, c'est sans doute dû au côté "bad boy". Mais sur le moment, à moins d'en faire un principe, tu te dis pas "je suis la bourgeoise et je vais m'encanailler", et du coup je vois pas trop comment 34 pourrait approfondir sur quelque chose qui était sûrement pas conscient pour la meuf elle même à ce moment ;) C'est juste mon avis et je le partage, mais ça m'étonnerait pas que ce soit pas très compréhensible :lol:
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kres
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Message par kres »

en tout cas le partage de l'experience reste definitivement le moyen de demystifier les constructions fanstasmatiques de nos cerveaux alambiqués ...

la drogue aussi est un sujet qui, je pense, merite d'être traité de cette façon car c'est finalement le manque d'information et de partage du vécu à son sujet qui fait qu'on assiste a de nombreux dérapages ...

abalétabou
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Balak
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Message par Balak »

XAV a écrit :on a l'impression que toi/ton héros est vachement plus à l'aise, qu'il maitrise presque le truc .
.
Hou toi t'es du genre a avoir laché Video Girl Ai quand Yota devient un bogosse.




ouille.... c'est quoi cette remarque d'otakou des années 90...
You're going to burn in a very special level of hell. A level they reserve for child molesters and people who talk at the theater.
— Shepherd Book

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den
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Message par den »

Hou toi t'es du genre a avoir laché Video Girl Ai quand Yota devient un bogosse.
dans le tome 3 ou 4 nan ? quand il a viré ses mangas et qu'il a sa cicatrice sur la joue ?


...90's otake powa
"la vie est plate comme mon ex, courte comme mon sexe, triste comme mes textes"_le klub des loosers

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