SANS TITRE [titre provisoire]-> INTERDIT -18 ans.

Vous pouvez y parler de tout
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Rakugaki
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Message par Rakugaki »

Intéressant. Bien que certains passages me rappelant bien des choses de ma vie... enfin bref.

Est-ce autobiographique ?

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Kyal
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Message par Kyal »

Kyal a écrit :Ah oui je voulais ajouter que mon interet pour tes textes ne provient pas de sa similitude avec ma vie (vu que ce n'est pas le cas)
(oui je me quote moi même)

En fait en y repensant je me dis que ce n'est pas tout à fait exact, ton texte m'a rappelé pas mal de choses de ma vie, mais à chaque fois un peu différentes (normal comme dit Jep)), et surtout pour la plus grande partie, je les ai vécu assez différement . C'est d'ailleurs en cela que j' ai trouvé interessant ton texte, percevoir un peu d'une autre facon de penser, une autre maniere de vivre les choses...Bien enttendu, cela sans aucun jugement,

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bistroboy
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Message par bistroboy »

troublant
,comme plusieurs ici, je me suis un peu retrouver dans ce ptit gars,autant au niveau du cul,que l'image que je me faisais de moi meme a cette meme periode et dont on ne peut apprement se separer,une sorte de shinji ikari^^,mais en plus sympa;un mec juste different des autres,pas pire, pas mieux......
c'est dommage puisque c'est une auto fiction de pas etre aller plus loin dans le rapport de l'ado et du dessin......mais la je pinnaille un peu trop^^

merci encore

more

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yak
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Message par yak »

bang !!... moi, mes profs de seconde, ils se sont reunis pour faire un association.... un peu plus tard je les retrouvait dans ma boite aux lettres pour les municipales... Votez MNR !

tout ça pour dire que que parfois ça a du cool de ne pas vivre dans cet
aimant à vioc qu'est la Provence...

en tout cas c'est interressant de raconter tout ça... moi je m'y reconnais un peu dans le coté je m'emmerde... mais de mon cotéi, ça devenais tellement rasant que je me suis mis à lire mes bouquins de cours....

++ sur les filles de la classe, ça c'est le truc incontournable par lequel tout le monde est passé j'ai l'impression, qu'on se raconte que 10 piges plus tard quand on a la chance eventuellement de se retrouver entre potos (Je crois que delerm a aussi sa version, mais en moins hard, he he ^_^!)
GOD FINGER!!!!

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booby
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Message par booby »

une histoire de "reconnaissance" qui passe par le "regard" d'autrui pour "exister"... je trouve ça plutôt passionnant...je m'y reconnais pour beaucoup dans la description de ton perso (sinon 'tain ca fait beaucoup 8 branlettes par jour 8O)
Je sais pas trop quoi rajouter de plus, mais j'aimerais bien savoir jusqu'où ça va aller...

[sinon y a aussi le manuel du Puceau de Riad Sattouf qui parle des trucs de filles, mais disons que c'est plus la période collège.]

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Klaim
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Message par Klaim »

sinon 'tain ca fait beaucoup 8 branlettes par jour
Mais non.

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TRANTKAT
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Message par TRANTKAT »

Bon, bah je suis bien content que ça trouve son public.

Et même très content, en fait! ^_^

Merci à tous!

Un spéchole thanks à Catox pour ton “magique”, ça m’a fait très plaisir!

Pollusque> pourquoi “Bizarre”? ^^

Kyal> Je comprend bien ce que tu veux dire au début... mais... pas ton deuzième post! ^___^

Velo Vert / JeP / Raku > Alors... le terme “auto-fiction” est très récent dans l’édition fraaaançaaaaise.
Il s’agit au départ d’une autobiographie. Sauf qu’elle n’est pas censée raconter le parcours de quelqu’un de façon exhaustive, c’est là qu’entre en compte le coté “fiction”.

On scénarise sa vie. On en prend des morceaux, suivant ce qu’on cherche à dire, et on les met en scène, on triche, on fait des associations d’idées, on dramatise, on théatralise, on novellise... on va vers le Roman.

Tout ça dans le but de donner plus d’intensité et de rythme à ce qu’on veut raconter... histoire que ce ne soit pas qu’un receuil d’anecdotes.

Donc oui. Les évenements décrits ici ne sont pas réels puisque mis en scène, et d’autant moins car ce sont des morceaux choisis et composés selon une idée de trame générale qui mène vers quelque chose.
Comme une fiction.

Pas comme la vie.

En fait, de base ces choses, je les ai vécues de façon subjectives, évidément, et que je les raconte telles quelles ou de manière romancées ne changera rien à la subjectivité de ma retranscription de ses évènements...
C’est ce que je trouve intéressant avec la notion d’honnèteté de l’auto-fiction: certains évènements sont mélangés quand ils abordent selon moi le même thème, certains ont été placé dans le désordres... certaines personnes dont je parle ou parlerai sont des avatars ou des “mix” de différentes personnes...

En gros, c’est davantage ma vision de LA vie que MA vie...

BistroBoille > Du coup, j’en arrive à dire que c’est un choix de ma part de ne pas parler davantage du rôle du dessin dans ma vie sur ce récit.
Tout comme je n’y parle pas de mon meileur ami. Ce récit est orienté: je n’y parle (comme je le disais en préambule) que de la noirceur et de l’extrême beauté. J’y parle de ma vie sociale, de ma vie extérieure... de tout ce qui me poussait à passer la majeure partie de mon temps enfermé à dessiner justement.
Tout ce qui m’a amené à me retrancher sur ma création et à exploiter ces déceptions, ces craintes, ces colères...

C’est en quelque sorte la génèse du dessin et de mes envies de faire des histoires, pour vivre à travers elles autre chose que le quotidien.

Voilà.
Je crois que j’ai répondu à vos questions pour cette fois.

Merci à vous d’apprécier ce... truc! ^___^

Mais c’est loin d’être fini... je pense que je risque de perdre des lecteurs au fur et à mesure, parce qu’on rentre bientôt de plain pied dans le vif du sujet.

Voici donc l’épisode 4.

Biz! *3*

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TRANTKAT
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Message par TRANTKAT »

Episode 4.




Mon père s’appelle Serge. Et je l’appelle Serge.

Mon père s’est fait plaquer par ma mère alors que j’avais 4 ans. “Adolescent irresponsable et attardé”, tel fut le verdict. Je ne le vois que de loin en loin surtout depuis que 300 kilomêtres nous séparent.

Serge, pour ses 40 ans a loué une grande baraque dans la campagne cauchoise afin d’y faire venir des amis, de faire du bruit et de la musique sans déranger autre chose que les vaches. Serge aurait pu devenir musicien professionel, à l’instar de certains de ses amis.
Serge vit désormais avec Nathalie, de 8 ans sa cadette, dynamique, voire hystéro, Nathalie me parle, plus que Serge, elle s’investit beaucoup dans le rôle de “marâtre” comme elle aime à plaisanter. Elle me parle beaucoup du Sida et des MST, de la prévention, et tout le toutim. Ma main porte-t-elle des maladies vénériennes?
Nathalie est très volubile, très sociable: la plupart des amis de Serge sont avant tout les siens.
Serge est grand et maigre, nous nous ressemblons beaucoup, même dans certaines attitudes corporelles, comme notre façon de nous tenir assis, ou de fumer. Ce qui est étonant, c’est que nous ne nous fréquentons pas. D’où cela peut-il bien venir?
Nathalie, l’année dernière a accouché de jumeaux: Alice et Antoine. Mes demi-frère et soeur. Mon père m’avait passé un coup de fil lorsqu’ils avaient décidé d’aboutir la grossesse de Nathalie, un coup de fil étrange durant lequel mon père, amoureux, me demandait une sorte de permission de refaire sa vie, de fonder un nouveau foyer, il était géné, je le sentais coupable... J’ai dit d’accord.
Serge, je l’ai connu entre mes 4 et mes 15 ans avec 6 femmes différentes. Jamais seul, incapable de vivre seul. Il passe de l’une à l’autre, hop. Pour ma part, ma préférée, avait été Nanou, juste avant Nathalie, de 13 ans la cadette de Serge, étudiante en Anglais, qui m’avait initié aux Monthy Pythons. Elle était blonde et très jolie, avec une peau diaphane, et un décolleté laiteux constellé de tâches de rousseur. Une grande soeur, qui ne se rendait pas compte que ses câlins n’étaient pas, pour moi, si innocents.

La fête bat son plein, les vaches ne s’en plaignent pas. Je picole et essaye de faire bonne figure devant tous ces quadras que je ne connais ni d’ève ni d’adam et qui me font du “le fils de Serge” par-ci, “le fils de Serge” par-là. Je bois. Du Gin, Tonic le Gin, beaucoup trop j’en bois. Je danse avec des copines de la femme de mon père, je fais des blagues avec les potes de mon père. Je vois tous ces gens qui se sourient, ont l’air de s’apprécier, de s’aimer peut-être? Et je pense à ma vie sociale. Ce goût de néant. Je regarde mon père, séduisant, malgré tout les défaut que je lui connais par l’entremise de ma mère. Certaines de ses amies son belles. Certaines ont couché avec lui, autrefois. Je pense à ma vie sexuelle. Toute entière dévouée à Onan.
Et il y a Patricia. Patricia que Serge a connue, mais éconduite. Patricia que Serge a baisée mais à qui il n’a jamais menti, jamais fait aucune promesse. Patricia qui dit qu’elle le sait, mais qui ne peut pas s’empêcher de le regarder en coin, avec cette lueur bizarre dans les yeux, cette rancoeur doublée d’abandon. Nathalie et Patricia se sourient, mais les mâchoires grincent. Patricia commence à être éméchée, et me fait du rentre dedans à la rigolade, en clamant haut et fort que puisqu’elle ne peut avoir le père, elle prendra le fils... Nathalie n’en peut plus et des amis interviennet pour calmer le jeu.
Je suis bourré comme un coing. Je sors, je me penche au dessus du petit ruisseau dans la cour, à 30 mêtres de la maison. Il est plein de têtards. Je vomis.

J’ouvre les yeux sur mon pére, au dessus de moi qui me demande si ça va, si je n’ai pas froid, comme ça, allongé dans l’herbe. Non non, ça va.

Une main me touche le torse, puis passe sous mon T-shirt. Elle est chaude sur mon ventre nu. Je perçois une respiration, et une chaleur corporelle, sur ma droite. Je suis toujours allongé dans l’herbe, je commence à avoir froid. Dans ma normandie natale, l’air est très humide et la rosée se forme très tôt dans la nuit. Ma conscience revient petit à petit, je n’ai pas encore ouvert les yeux. La main me caresse le ventre et semble se diriger vers mon pubis, fébrile. Mon corps tout entier est glacé, en fait, je m’en rend compte. Glacé et mouillé, sauf sur ma droite, quelqu’un est étendu à coté de moi, une tête sur mon épaule, une respiration malaisée, un peu saccadée, le nez bouché? un coup de froid peut-être. Cette main a vraiment décidé d’aller dans mon froc, je ne rêve pas! Et je bande déjà?! Pas même eu le temps d’ouvrir les yeux... ça fonctionne tout seul, c’est magique.
Patricia? Oui.
J’ouvre les yeux avec difficulté, je vois ses cheveux, à la lumière de la lune, tout est bleuté et auréolé d’humidité irrisée. Elle relève la tête sans que je puisse discerner son expression, j’ai la nuque tirée en avant, menton cotre torse pour la regarder, et alors que je sens ses ongles puis ses doigts s’enrouler autour du bout de mon gland, elle projette sa tête contre la mienne pour m’embrasser à pleine bouche. Nos dents s’entrechoquent, j’ai un léger recul et elle s’affale sur moi, en passant sa cuisse sur mon ventre. En lâchant ma queue, ses ongles griffent mon gland, avant que sa main ne se cale derrière mon oreille. Je reconnais l’odeur de ma bite, qui a imprégné la peau de sa paume.
Patricia a une petite quarantaine d’années. Les cernes sous ses yeux trahissent une trop fréquente consommation d’alcool et elle se maquille trop. Non pas qu’elle ressemble à une pute, mais elle veut dissimuler quelque chose, ostensiblement. Châtain, taille moyenne, rien chez cette femme ne m’a tapé dans l’oeil en dehors de sa très grosse poitrine. Serge n’aime pas les grosses poitrines.
Elle se dégage un peu de mon visage pour me souffler à l’oreille “viens”. Sa bouche et la mienne sont imbibées d’alcools mélangés. Elle me tire pour m’aider à ma relever. J’ai un léger haut-le-coeur.

Nous rions comme deux cons tout en cheminant. Elle me tire par la main, nous titubons tous les deux.
Les vaches devaient nous trouver grotesques, sinon pathétiques.
Nous passons par derrière vers le corps de ferme aménagé en chambres d’hôte, elle sort une clef de son sac avec difficulté...
Le temps n’a aucune importance lorsqu’on est bourré, je profite de l’air frais, et de la légère odeur acide du purin, quelque part sous le vent.
Elle me pousse à l’intérieur, pas le temps de retrouver mon équilibre qu’elle me pousse à nouveau et je bute contre le lit, avant de m’y éffondrer sur le flanc, à moitié sonné. Ni une ni deux, riant toujours, elle se jette sur moi comme une môme. Ses rires sont entrecoupés de petits sons nasaux que je perçois très nettement désormais que je commence à dégriser.

À califourchon sur moi, elle se faufile brutalement sous mon pull, les fesses en l’air, frétillantes. Je sens sa respiration chaude sur mon torse et sa langue, comme une grosse limace brûlante, laissant de la salive sur son passage, aussitôt glacée par son souffle nerveux. Elle déboutonne d’un geste sec mon jean, après m’avoir de nouveau griffé en s’aggrippant à la boutonnière comme une damnée. Elle me fait des gros baiser sonores sur le ventre, tout en descendant vers mon vit, ma poitrine va exploser, mes tempes sont en feu. Un choc thermique! Sa bouche paraît glacée, tant ma queue doit être bouillante, gorgée de sang en fusion, ce moment dure une éternité dans mon crâne.

Commencent le va-et vient, les bruits de succion, d’appel d’air, elle reprend sa respiration bruyament, car elle a effectivement le nez bouché, je sens son bas ventre sur ma cuisse gauche, il palpite, non, il vibre. Je ne sais que faire, je sens monter un peu trop vite le plaisir, et je panique à l’idée de ne pas tenir, j’essaye d’attrapper ses seins, plaqués sur mes cuisses, pas moyen! Mon cerveau ne répond plus, ma volonté s’efface, le plaisir est en train de gagner, le salaud! Attend, attend un peu quoi, merde!

Elle s’arrète de me pomper et me regarde, je la trouve parfaitement obscène et ça me plaît. J’attrappe un de ses bras pour la tirer à moi, elle m’escalade. Je soulève son pull, et elle ferme les yeux pour l’ôter. Ses seins sont vraiment très gros, et très mous. Je me redresse pour attrapper l’agraffe du soutif, au passage je me prend sur le crâne son coude qu’elle sortait d’une manche, elle rit. Mes mains tremblent et je n’arrive à rien contre ce maudit soutien-gorge. Laisse. Elle s’en occupe. Tu veux les bouffer, mes seins? Oui !
Je passe mes mains dessus, délicatement. Non, hein! pas de chatouilles... Le bout de mes doigts ressent les moindres variations de sa peau, pleine ou distendue, fissure, grain de beauté, vergéture. Ses aréoles sont très larges et roses, ses mamelons durs mais ne dardent pas. Je me régale, je les palpe, les empoigne, les caresse, les embrasse, les aspire, ma langue y fait des figures de patineur sur glace. Elle me repousse doucement pour se relever: “J’ai mal aux genous comme ça”. Elle retire son pantalon, ses collants, sa culotte, sa chatte est tout ce qu’il y a de plus naturelle, fournie et noire. Elle se dandine sous mon nez, les mains sur les hanches. Je ne sais pas quoi faire.
Dans mes rêveries pornographiques, ce genre de passage d’hésitation n’existaient pas.
J’embrasse son ventre, l’odeur de son sexe me tourne la tête. Je lève le nez pour la regarder. Elle a un sourire très calme, presque maternel. Elle s’agenouille au pied du lit et commence à me branler. Mon chibre qui battait la mesure reprend de plus belle, et un chaleur étouffante me remonte dans la gorge.

Elle attrappe ses seins, et les pose autour de mon sexe qui commence à être endolori, je n’avais jamais bandé si fort. Elle masse ma queue entre ses seins, et c’est surtout le fait de voir ses mains manipuler ses enormes loches molles qui m’excite, car ma queue, elle, ne ressent pas grand chose que sa pression interne. Fasciné, j’éjacule. Entre ses seins, les jets de sperme partent en tout sens, à des distance jusque-là encore inimaginables pour moi.
Patricia lâche tout: seins, bite et recule en grimaçant lorsqu’elle reçoit un spaghetti sur le visage, puis un deuxième, qu’elle s’empresse d’essuyer, du revers de la main, en laissant échapper un “connard!”

Tout s’est passé si vite: l’éjaculat, la réaction de Patricia... que je n’ai pas joui, je n’en ai pas profité, et je me retrouve face à une femme qui me fusille du regard en ramassant son pull.
“Tu es vraiment décevant...

Allez, casse-toi d’là!”

Je n’ai jamais revu Patricia.

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Sterna
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Message par Sterna »

teing es un fantasme ou la realité....

en tous cas on est en plein Arlequin :D
toujour ossi agréable a lire !!
http://sterna-portfolio.blogspot.com/

GO SKILL SHOP espece de LOW !

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XAV
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Message par XAV »

connard ... tellement classique ^^ !!

de toute façon la premiere fois c'est toujours la merde ...


ENCOOOOOOOOOOOORE °O° !!!

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pollux
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Message par pollux »

TRANTKAT a écrit : Pollusque> pourquoi “Bizarre”? ^^
parceque justement, c est TA vie. C est extrement bizarre d y penetre, comme ca, par le biais d une page sur un forum. d apprendre des choses sur toi, ta vie et tes fantasmes adolescent.
c est bizarre, parcequ effectivement, on se sent un peu concerne a la lecture de cette page, parceque c est super bien ecrit.
mais il faut quand meme bizarre, surtout quand on met en parallele avec certains dessins de ton site [tes camarades de lycee].
il faut avoir [pardon pour l expression peu elegante] de "super mega grosses couilles" pour evoquer ce genre de choses comme ca, PAF ...

en tout cas merci, c est vraiment super.
mais ca m a fait une grosse boule quand je l ai lu a 3h du mat avec ma copine en train de dormir juste a cote ... je me faisait le sentiment d un voyeur ...
c'est moi Pollux, toujours cabot mais pas chien de luxe ... ... ... ... *((((((''o

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Gwen
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Message par Gwen »

j'ai beau chercher je vois toujours pas le rapport avec les prolétaires.
http://www.lightmare-studio.com
"Ce que l'on te repproche, cultives-le. C'est toi."
Jean Cocteau

Catox
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Message par Catox »

*coup de blues*

connard ou bien connasse, en fin de compte ?
je peux pas m'empécher de penser que ça ne peut être que l'un ou l'autre... et que ça a quelque chose d'assez déprimant.
Kataouh tataouh

adorya
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Message par adorya »

Ca ressemble à du Houllebeck :D

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pollux
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Message par pollux »

adorya a écrit :Ca ressemble à du Houllebeck :D
je suis aps peruade qu il apprecie la comparaison.
mais je peux me tromper
c'est moi Pollux, toujours cabot mais pas chien de luxe ... ... ... ... *((((((''o

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