SANS TITRE [titre provisoire]-> INTERDIT -18 ans.
bah je dis pas que j'etais malheureux, mais peinard. mon propos c'est que meme quand on n'est pas passé par des etapes glauquissimes, genre les rangés les pas rebels, ben on peut aussi comprendre...
Ma remarque sur le systeme, c'est à cause de l'adj docile qu'on nous colle à la maniere d'un animal domestique, aucune envie de faire du miserabillisme, meme si, oué... j'ai un peu fauté...j'etait pas un faux rebelle, je manipulais le systeme mais j'etais malheureux au fond.. ouiiiinnnnn
par contre je pense qu'il n'y a pas que le dossier sexe, meme s'il a une grosse place dans la serie... arggg, on va encore me taxer de centriste...
Ma remarque sur le systeme, c'est à cause de l'adj docile qu'on nous colle à la maniere d'un animal domestique, aucune envie de faire du miserabillisme, meme si, oué... j'ai un peu fauté...j'etait pas un faux rebelle, je manipulais le systeme mais j'etais malheureux au fond.. ouiiiinnnnn
par contre je pense qu'il n'y a pas que le dossier sexe, meme s'il a une grosse place dans la serie... arggg, on va encore me taxer de centriste...
Modifié en dernier par yak le mar. 08 mars 2005, 12:55, modifié 1 fois.
GOD FINGER!!!!
- berseker
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Merci Rafchan u_u
Je suis en train de réfléchir à un "point Villetaneuse", un peu dans le principe du "point Godwin". Je suis persuadé qu'il y a moyen d'en tirer quelque chose.
Je suis en train de réfléchir à un "point Villetaneuse", un peu dans le principe du "point Godwin". Je suis persuadé qu'il y a moyen d'en tirer quelque chose.
Hervé Joncour posa sa cigarette sur le bord de la table avant de dire
-Et il est où, exactement, ce Japon?
Baldabiou leva sa canne de Jonc en l'air et la pointa par-delà les toits de Saint-Auguste.
-Par là, toujours tout droit.
Dit-il.
-Jusquà la fin du monde.
-Et il est où, exactement, ce Japon?
Baldabiou leva sa canne de Jonc en l'air et la pointa par-delà les toits de Saint-Auguste.
-Par là, toujours tout droit.
Dit-il.
-Jusquà la fin du monde.
- berseker
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Yak > Paske Villetaneuse c'est la misère.
C'est comme la butte rouge, c'est le gettho.
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Hervé Joncour posa sa cigarette sur le bord de la table avant de dire
-Et il est où, exactement, ce Japon?
Baldabiou leva sa canne de Jonc en l'air et la pointa par-delà les toits de Saint-Auguste.
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Dit-il.
-Jusquà la fin du monde.
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C'est intéressant tout ça... Je ne comprend pas tout ce que vous dites, mais bon.
Non pas que je ne comprenne pas les phrases que vous faites, mais le sens qu'elles ont, en fait...
Surtout en ce qui concenrne la "sincérité" ou le "manque de points de repère"... puisque c'est de ça que je parle.
Je parle d'un "moi" qui avait une grosse difficulté à se sentir "concerné", qui trouvait tout ce qu'on lui proposait "trop étroit"... (c'est toujours le cas, d'ailleurs... ^__^; ) dans un monde où l'on impose beaucoup de rêgles comme étant absolues, incontournables. Quelqu'un qui ne se voit pas "dans la vie", pour qui les tentatives d'approche de ses contemporains sont plus le fruit d'une recherche, d'une tentative de ressentir ce qu'il "devrait" ressentir envers "les autres"... selon les schémas de pensée sociaux dominants.
... evidement, c'est voué à l'échec.
Comme une baleine cherchant à tâtons un trou de souris pour sortir d'une pièce plongée dans une obscurité effrayante...
(Suffirait-il d'ouvrir les yeux pour que la lumière soit? (trop facile à dire... ( encore faut-il avoir appris à voir... ( puis à regarder...))))
Quelqu'un qui a envie d'intensité, de passion mais qui ne trouve pas chaussure à son pied, qui se retrouve cloisonné... de par ses propres limites, peurs, angoisses... de celles du monde dans lequel nous vivons...
Une frustration avec laquelle il ne trouve pas d'arrangement.
Un désir de vivre dans un monde qu'il n'imagine que différend de celui dans lequel nous n'avons qu'une vie.
(La peur de Vivre n'est elle pas plus forte, finalement, que celle de mourir...)
Quelqu'un qui ne trouve pas sa place, et ce de par l'interaction de ce qu'il ne comprend pas dans les comportements d'autrui, du fait qu'il ne s'aime pas lui-même et tourne en rond dans ses reflexions à rejetter ce qu'il pense être une agression permanente de la part du "systême" extérieur à lui (puisque non-compris, non-intégré) et à malgré tout vouloir s'y inclure, y trouver l'endroit où il se trouverait une place, où il pourrait s'y reposer... un désir de prendre place dans ce qu'il refuse.
Un paradoxe. Un mal-être.
Dans la façon dont je veux écrire et décrire ce parcours, la forme la plus juste à mon sens est de rester "au coeur" du mal-être, avec tout ce que ça peut charrier de "flou artistique", d'interrogations et de frustration... Rester dans un processus logique d'expression crue, sans normalisation du discours, sans en chercher les causes...
Je ne cherche pas à disculper, à excuser, à globaliser ou encore à expliquer rationnellement.
Ni à sauver ni à condamner... juste montrer.
Montrer ce que je voyais, en fait... et le montrer TEL que je le voyais: sans éclaircissement, sans explication, brut. Mettre le lecteur à "ma" place.
Sans le "rassurer", quitte à le perdre, quitte à ce qu'il soit troublé ou écoeuré. Sans solution prémachée, sans but autre que de sortir de là.
Avec tout ce que ça peut engendrer de fausses pistes, d'erreurs de raisonnement, de solutions de fuite... de trouille et de falsifications du ressenti, de mensonges à soi-même.
Les explications que je donne sur le comportement de ce "moi" ne sont pas autre chose qu'une partie de ce processus... pas de "réalité", juste une "vérité" qui est la mienne, toute subjective.
L'intérêt de cette subjectivité est justement de lui donner une cohérence qui peut paraître absolue à la lecture... alors qu'elle n'a rien d'absolu, rien qui ne soit une rêgle ou une leçon.
Juste une expérience.
Comme je le disais à Béber précédement, c'est une quête de sens.
Une quête de soi d'un inadapté social... qui ne sait pas se vivre sans voir le monde comme une agression à sa sensibilité, et sans s'en détacher non plus.
Une quête... sans but défini... sans autre envie que d'être autrechose que ce qu'on est.
Un fantasme de construction d'un soi autre, qui revient à une autodestruction.
Paradoxe, une fois encore.
Tout ça se jouera sur la longueur.
Bien sûr que ce récit est rempli de zones d'ombre... c'est exactement ce que vit le personnage.
En parler "avec du recul" serait une façon de tricher... ce serait arrogant et normatif. Ce serait une façon de nier que "je" vivais dans un monde où même les gens étaient relégués à des objets inertes, à des sujets d'interrogation, d'incompréhension.
Ce serait faire disparaître le coeur du récit: le mur.
Quant au fait que tout ça tourne autour de la quiquette, c'est parce qu'au delà de toute cette inaptitude sociale, c'est la seule énergie qui m'a toujours poussé au contact.
C'est la force vitale qui m'intimait de prendre part au monde. Cette pulsion à laquelle on peut tout "réduire" (même si pour moi, elle n'a rien de réducteur) et qui fût, pour moi, le fil d'Arianne me guidant dans la connaissance des gens, par nécessité, puis par désir...
Ce qui m'a fait traverser le mur pour enfin faire partie du monde, y trouver corps et accepter l'altérité... sa diversité, sa violence, le bien être que j'éprouve désormais à me fondre en "l'autre" qui, du coup, donne à ma propre existence autant de facettes qu'il y a de gens que j'aime.
C'est mon "moi animal" qui m'a poussé à devenir humain. Et je l'en remercie. ^__^
Et c'est (je le sais avec le recul) ceux qui ont formatté et accepté les idées de notre soi-disant "non-animalité", de notre "statut spirituel" hors de la Nature que je conchie désormais pour m'avoir empêché de devenir moi-même si longtemps...
Même si, paradoxalement (une fois de plus) c'est de ce fait que j'ai trouvé sens à ma vie...
Je ne sais pas si je suis très clair.
Le problème est justement de vouloir expliquer, simplifier quelque chose qui, à mon sens, ne peut l'être...
Les résumés, c'est nul, quoi. Caca, Birk birk, toussa toussa...
Hum.
Voilà.
La suite... pas tout de suite. Désolé.
Pas le temps dans l'immédiat.
Non pas que je ne comprenne pas les phrases que vous faites, mais le sens qu'elles ont, en fait...
Surtout en ce qui concenrne la "sincérité" ou le "manque de points de repère"... puisque c'est de ça que je parle.
Je parle d'un "moi" qui avait une grosse difficulté à se sentir "concerné", qui trouvait tout ce qu'on lui proposait "trop étroit"... (c'est toujours le cas, d'ailleurs... ^__^; ) dans un monde où l'on impose beaucoup de rêgles comme étant absolues, incontournables. Quelqu'un qui ne se voit pas "dans la vie", pour qui les tentatives d'approche de ses contemporains sont plus le fruit d'une recherche, d'une tentative de ressentir ce qu'il "devrait" ressentir envers "les autres"... selon les schémas de pensée sociaux dominants.
... evidement, c'est voué à l'échec.
Comme une baleine cherchant à tâtons un trou de souris pour sortir d'une pièce plongée dans une obscurité effrayante...
(Suffirait-il d'ouvrir les yeux pour que la lumière soit? (trop facile à dire... ( encore faut-il avoir appris à voir... ( puis à regarder...))))
Quelqu'un qui a envie d'intensité, de passion mais qui ne trouve pas chaussure à son pied, qui se retrouve cloisonné... de par ses propres limites, peurs, angoisses... de celles du monde dans lequel nous vivons...
Une frustration avec laquelle il ne trouve pas d'arrangement.
Un désir de vivre dans un monde qu'il n'imagine que différend de celui dans lequel nous n'avons qu'une vie.
(La peur de Vivre n'est elle pas plus forte, finalement, que celle de mourir...)
Quelqu'un qui ne trouve pas sa place, et ce de par l'interaction de ce qu'il ne comprend pas dans les comportements d'autrui, du fait qu'il ne s'aime pas lui-même et tourne en rond dans ses reflexions à rejetter ce qu'il pense être une agression permanente de la part du "systême" extérieur à lui (puisque non-compris, non-intégré) et à malgré tout vouloir s'y inclure, y trouver l'endroit où il se trouverait une place, où il pourrait s'y reposer... un désir de prendre place dans ce qu'il refuse.
Un paradoxe. Un mal-être.
Dans la façon dont je veux écrire et décrire ce parcours, la forme la plus juste à mon sens est de rester "au coeur" du mal-être, avec tout ce que ça peut charrier de "flou artistique", d'interrogations et de frustration... Rester dans un processus logique d'expression crue, sans normalisation du discours, sans en chercher les causes...
Je ne cherche pas à disculper, à excuser, à globaliser ou encore à expliquer rationnellement.
Ni à sauver ni à condamner... juste montrer.
Montrer ce que je voyais, en fait... et le montrer TEL que je le voyais: sans éclaircissement, sans explication, brut. Mettre le lecteur à "ma" place.
Sans le "rassurer", quitte à le perdre, quitte à ce qu'il soit troublé ou écoeuré. Sans solution prémachée, sans but autre que de sortir de là.
Avec tout ce que ça peut engendrer de fausses pistes, d'erreurs de raisonnement, de solutions de fuite... de trouille et de falsifications du ressenti, de mensonges à soi-même.
Les explications que je donne sur le comportement de ce "moi" ne sont pas autre chose qu'une partie de ce processus... pas de "réalité", juste une "vérité" qui est la mienne, toute subjective.
L'intérêt de cette subjectivité est justement de lui donner une cohérence qui peut paraître absolue à la lecture... alors qu'elle n'a rien d'absolu, rien qui ne soit une rêgle ou une leçon.
Juste une expérience.
Comme je le disais à Béber précédement, c'est une quête de sens.
Une quête de soi d'un inadapté social... qui ne sait pas se vivre sans voir le monde comme une agression à sa sensibilité, et sans s'en détacher non plus.
Une quête... sans but défini... sans autre envie que d'être autrechose que ce qu'on est.
Un fantasme de construction d'un soi autre, qui revient à une autodestruction.
Paradoxe, une fois encore.
Tout ça se jouera sur la longueur.
Bien sûr que ce récit est rempli de zones d'ombre... c'est exactement ce que vit le personnage.
En parler "avec du recul" serait une façon de tricher... ce serait arrogant et normatif. Ce serait une façon de nier que "je" vivais dans un monde où même les gens étaient relégués à des objets inertes, à des sujets d'interrogation, d'incompréhension.
Ce serait faire disparaître le coeur du récit: le mur.
Quant au fait que tout ça tourne autour de la quiquette, c'est parce qu'au delà de toute cette inaptitude sociale, c'est la seule énergie qui m'a toujours poussé au contact.
C'est la force vitale qui m'intimait de prendre part au monde. Cette pulsion à laquelle on peut tout "réduire" (même si pour moi, elle n'a rien de réducteur) et qui fût, pour moi, le fil d'Arianne me guidant dans la connaissance des gens, par nécessité, puis par désir...
Ce qui m'a fait traverser le mur pour enfin faire partie du monde, y trouver corps et accepter l'altérité... sa diversité, sa violence, le bien être que j'éprouve désormais à me fondre en "l'autre" qui, du coup, donne à ma propre existence autant de facettes qu'il y a de gens que j'aime.
C'est mon "moi animal" qui m'a poussé à devenir humain. Et je l'en remercie. ^__^
Et c'est (je le sais avec le recul) ceux qui ont formatté et accepté les idées de notre soi-disant "non-animalité", de notre "statut spirituel" hors de la Nature que je conchie désormais pour m'avoir empêché de devenir moi-même si longtemps...
Même si, paradoxalement (une fois de plus) c'est de ce fait que j'ai trouvé sens à ma vie...
Je ne sais pas si je suis très clair.
Le problème est justement de vouloir expliquer, simplifier quelque chose qui, à mon sens, ne peut l'être...
Les résumés, c'est nul, quoi. Caca, Birk birk, toussa toussa...
Hum.
Voilà.
La suite... pas tout de suite. Désolé.
Pas le temps dans l'immédiat.
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- Otaking !
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- Enregistré le : mer. 16 avr. 2003, 13:22
- Localisation : Pertuis
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Moi j'ai l'impression de te comprendre. Je sais pas à quel point, mais au moins un peu.
Je sais pas si la comparaison sera désuette ou pas, mais ça me fait penser à une bonne partie de mes années lycée et au canabis. Si je devais écrire un texte avec la même démarche que toi sur ces années, ce serait certainement autour du cana qu'il faudrait que je tourne. Non pas que j'ai été un gros consommateur, loin de là. Mais la majeure partie de ma vie sociale (les potes, les soirées) a tourné autour comme la terre tourne autour du soleil... ça a un peu été le moteur de mon moteur intellectuel. Difficile de vraiment parler d'autre chose sans y revenir bien vite...
voilà. en gros.
Alors ben, bon courrage pour la suite quand t'auras le temps Trantkat ^__^
Je sais pas si la comparaison sera désuette ou pas, mais ça me fait penser à une bonne partie de mes années lycée et au canabis. Si je devais écrire un texte avec la même démarche que toi sur ces années, ce serait certainement autour du cana qu'il faudrait que je tourne. Non pas que j'ai été un gros consommateur, loin de là. Mais la majeure partie de ma vie sociale (les potes, les soirées) a tourné autour comme la terre tourne autour du soleil... ça a un peu été le moteur de mon moteur intellectuel. Difficile de vraiment parler d'autre chose sans y revenir bien vite...
voilà. en gros.
Alors ben, bon courrage pour la suite quand t'auras le temps Trantkat ^__^
Kataouh tataouh
- koneko
- n00bivore
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- Enregistré le : sam. 05 mars 2005, 12:12
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Moi je m'y reconnais dans tout ca (moi aussi ca a été le sexe, le contact, les emotions des hormones qui sont la seule passion chimique qui raccroche et force le contact etc blabla inserer analyse de texte ici) beaucoup de decalage avec les gens (d'autant plus que les gens ne le voyait pas, de par ma nature trublionne, serviable, toujours presente... alors qu'au fond j'etais distante, cassée, ecorchée vive, seule en couleur dans un monde en noir et blanc...) bon tout le monde s'en fout mais ca fait du bien, c'pour ca que j'adore tout c'que t'as ecrit la
- quelle belle soirée
- Fuck me I'm chanmax !!!
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- Enregistré le : dim. 13 avr. 2003, 16:52
- Localisation : paris
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carrement ...et pas comme chez ces enculés du plessy .......héhéC'est comme la butte rouge, c'est le gettho.
enfin bon je me comprend
bon je veu pas flooder ....le sujet ets tres interessant ...mais mon immaturité et mon probleme de syntaxe fais que j ai bocou de mal a rester concentrer et a bien comprendre ce qu il y a marqué ...moi il faut qu on me le dise en vrai et qu on m explique .....héhé
trantkat tu sais deja ce que je pense de ca ( a tu recu mon mp a ce sujet .....enfin bon bref ) ......sinon je ne me reconnais pas dans tout ca contrairement a pas mal de monde .......vu que j ai aps eu la meme vie que lui ....ce qui est tres logique ......et que je n avais pas concience de ce qu etais la vie et les rapports humain ........
j en ai pris conscience de tout ca y a a peu pres 3 ans ........et je flippe severe ........héhé
en tout cas bonne iniative ..........et reagardons cette bellle comedie humaine ......
"putain google c le meillleur site internet !!! "
la pute a barth
barth dit :
meme un mec comme moi en apprends tt les jours
ca me sidere
la pute a barth
barth dit :
meme un mec comme moi en apprends tt les jours
ca me sidere