C'est que je ne sais pas poser de fausses questions innocentesthomas a écrit :Bravo pour les coups de coude tres discrets Tsuka!
Idem !Tsuka a écrit :Moi j'aimerai bien un recueil de tes image-boards
Et bien tu pouvais le mettre sur ce thread où j'avais abordé cette visite il y a un mois.ACME a écrit :Je ne savais pas où le mettre, un lien vers le site d'Animeland pour un article sur la visite de plusieurs studios japonais en France et notamment aux Gobelins:http://www.animeland.com/index.php?rub=articles&id=755
Quand les Japonais s'inspirent de Paris
LA LUMIÈRE revient dans la petite salle de cinéma. Des applaudissements concluent une série de projections de courts films d'animation extraordinaires d'inventivité.
Nous sommes au sous-sol de la prestigieuse école de l'image des Gobelins, sur le boulevard Saint-Marcel (XIII e ).
Une délégation d'une dizaine de studios d'animation japonais vient de découvrir les travaux de fin d'étude des élèves. L'admiration est unanime.
« Nous, les Japonais, nous savons raconter des histoires. Mais, pour l'animation, les Français sont meilleurs. J'ai vraiment envie de travailler avec eux. » Le compliment vient de Kazushige Yusa, l'un des grands noms de l'animation japonaise et inventeur d'un petit personnage appelé Tom Tom Boo, diffusé sur NHK, l'une des principales chaînes de télévision nippone. Pendant trois jours, Kazushige Yusa et une dizaine de responsables de studios d'animation sont venus observer le savoir-faire français en matière de dessins animés.
Signe qui ne trompe pas : pour leur voyage, financé par l'équivalent du ministère du Commerce extérieur, ils avaient le choix entre Hollywood et Paris. Ils ont choisi Paris avec, pour étape, les studios parisiens les plus inventifs : Mac-Guff - rue de la Cavalerie (XV e ), où sont nées les images en trois dimensions d'« Azur et Asnar », le dernier film de Michel Ocelot ; Bibo Film - rue du Faubourg-Saint-Denis (X e ) - où est en train d'être mis au point le film « Persépolis », adapté de la bande dessinée du même nom.
Dernière étape : l'école de l'image. « C'est ce que j'ai préféré », raconte Yukihiro Uehara, du ministère du commerce extérieur. « On sent que c'est un lieu où les élèves peuvent exprimer leur personnalité.
Au Japon, c'est beaucoup plus difficile », explique Kazugishe Yusa. Du manga à la française Ce matin, la visite se terminera par une série de rencontres entre studios des deux pays. Trente minutes chacune, le temps de « créer des accords de collaboration », espère Brigitte Deliry, chargée de mission à l'agence de développement Paris-Ile-de-France.
Une collaboration qui, semble-t-il, n'aura aucun mal à se mettre en place tant les influences japonaises semblent fortes auprès des jeunes prodiges de l'école des Gobelins.
Dans le hall d'accueil, une exposition est consacrée à la série « Code Lyoko », actuellement diffusée sur France 3, Canal J et dans cinquante pays. Les personnages s'inspirent des dessins animés nippons et sont pourtant bien nés boulevard Saint-Marcel. Du manga à la française qui fait fureur dans toute l'Europe... les Japonais adorent !
Tu aimerais bien qu'on te fasse la vanne, hein ?Chron a écrit :Pour le recueil d'image-board, c'est où qu'il faut signer?
