T'écoute quoi, gros?
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TRANTKAT
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Oui il est con. En tout cas il est DJ et sûrement pas philosophe.Little Lou a écrit :Bah oui, mais il est con ce mec (...) je pensais que le nihilisme regroupait ces trois thèmes, justement.Don Letts a écrit :"On a réduit le punk à ses aspects superficiels: (...) le nihilisme (...) alors qu’on devrait parler de liberté, de responsabilisation et d’individualité.”
Mais bon, d'aucuns pensent (en tout cas affirment) que Nietzsche c'est surfait, superficiel et non-avenu.
Au delà de ça, le "ON" dont parle Don Letts, c'est les gens qui ont adhéré au mouvement avant tout, donc les (prétendus) Punks eux-mêmes.
... Et là, on nage en plein Nietzschéisme. ^^
Et Avril Lavigne dans tout ça ? Mmmh ?
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hilikkus
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bon, j'ai loupé une bonne partie de ce débat, tant pis pour moi.
Little Lou> tu es l'une des 1eres personnes que je connaisse à reconnaitre la qualité supérieure de l'album POP par rapport aux autres production de U2
il est vrai que la presence de howard B a la prod n'est pas étranger à ce constat.
par contre, cet espece de "retour au rock" qu'on a pu observer il ya peu, representé par les groupes comme les strokes, hives ou autres whites stripes m'a un peu dérangé en ce sens qu'il a été considéré dans les journaux spécialisé comme une "revolution".
c'est surtout des trips hommages à la musique rock des années 70, avant l'ere du synthé et des boucles electro, et il se trouve que ça a correspondu à une attente d'un certain public, lassé d'une musique pop rock electro aseptisée et finalement assez sclérosée, et désireuse un son plus brut, plus libre, plus subversif.
un vaste melange entre le lyrisme du rock 70's, la fouge du punk 77 et le sex appeal du groove 70's.
après chacun de ses groupes a pu digerer toutes leurs influences pour proposer un son qui, s'il est fortement influencé, présente un réel effort de création. l'evolution de la zik, c'est aussi écouter de vieux trucs et les interpreter à sa sauce...
pour le dada VS punk j'ai déja eu cette conversation après avoir vu la fameuse expo a beabpurg, et je n'ai récolté que des insultes de keupons outrés.
tout ça parce que j'ai dit que le dada a reussi la ou le punk s'est lamentablement vautré:
le dada fut un mouvement artistique aussi ephemere que vivifiant, et il est mort avec classe.
le punk fut aussi un mouvement d'une creativité sans limite, mais qui, à force de ne pas vouloir mourrir, a fini se prostituer pour survivre.
Il en reste quelques amalgames foireux tels les "des gens pas lavés qui font peur avec des chiens et des piercings et qui t'insultent quand tu ne leur donnes pas d'argent" (c) Little Lou, et aussi une mode vestimentaire pour jeunes depuis le succès de Blink 182.
et puis pour nirvana, je pense que c'est autant les contexte musical (avalanche de groupes de métal grandiloquent et suffisants, pratiquant des soli de guitares dans la plus pure traditions de l'effort masturbatoire) que le talent de songwriter du sieur cobain. perso, nirvana c pas ma cup of tea, mais ils ont su sortir quelques titres etonnant de simplicité et d'efficacité, remplies d'une sensibilité crue certes, mais definitivement touchante.
yak> en meme temps les sex pistols c les premier boys band "punk". c'te blague.
34> avril lavigne c une pop-punk-gothic-junkie-mais-pas-trop. faut te mettre a la page, hein.
Little Lou> tu es l'une des 1eres personnes que je connaisse à reconnaitre la qualité supérieure de l'album POP par rapport aux autres production de U2
il est vrai que la presence de howard B a la prod n'est pas étranger à ce constat.
par contre, cet espece de "retour au rock" qu'on a pu observer il ya peu, representé par les groupes comme les strokes, hives ou autres whites stripes m'a un peu dérangé en ce sens qu'il a été considéré dans les journaux spécialisé comme une "revolution".
c'est surtout des trips hommages à la musique rock des années 70, avant l'ere du synthé et des boucles electro, et il se trouve que ça a correspondu à une attente d'un certain public, lassé d'une musique pop rock electro aseptisée et finalement assez sclérosée, et désireuse un son plus brut, plus libre, plus subversif.
un vaste melange entre le lyrisme du rock 70's, la fouge du punk 77 et le sex appeal du groove 70's.
après chacun de ses groupes a pu digerer toutes leurs influences pour proposer un son qui, s'il est fortement influencé, présente un réel effort de création. l'evolution de la zik, c'est aussi écouter de vieux trucs et les interpreter à sa sauce...
pour le dada VS punk j'ai déja eu cette conversation après avoir vu la fameuse expo a beabpurg, et je n'ai récolté que des insultes de keupons outrés.
tout ça parce que j'ai dit que le dada a reussi la ou le punk s'est lamentablement vautré:
le dada fut un mouvement artistique aussi ephemere que vivifiant, et il est mort avec classe.
le punk fut aussi un mouvement d'une creativité sans limite, mais qui, à force de ne pas vouloir mourrir, a fini se prostituer pour survivre.
Il en reste quelques amalgames foireux tels les "des gens pas lavés qui font peur avec des chiens et des piercings et qui t'insultent quand tu ne leur donnes pas d'argent" (c) Little Lou, et aussi une mode vestimentaire pour jeunes depuis le succès de Blink 182.
et puis pour nirvana, je pense que c'est autant les contexte musical (avalanche de groupes de métal grandiloquent et suffisants, pratiquant des soli de guitares dans la plus pure traditions de l'effort masturbatoire) que le talent de songwriter du sieur cobain. perso, nirvana c pas ma cup of tea, mais ils ont su sortir quelques titres etonnant de simplicité et d'efficacité, remplies d'une sensibilité crue certes, mais definitivement touchante.
yak> en meme temps les sex pistols c les premier boys band "punk". c'te blague.
34> avril lavigne c une pop-punk-gothic-junkie-mais-pas-trop. faut te mettre a la page, hein.
get drunk, get stupid
get fucked up, get wicked
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TRANTKAT
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hilikkus
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le nihilisme de friedrich, hmmm...
de Nietzche je n'ai lu que "und so war zarathustra" avec ses théories sur le "übermensch" et ce ya fort longtemps. je n'ai pas fait le lien avec le nihilisme à l'epoque, je devrais ptet le relire
et puis avril, meme si elle s'habille comme un sac, elle est quand meme plus attirante que nietzche.
et puis comme on est tous esclave de ses desirs...
hum
pardon
de Nietzche je n'ai lu que "und so war zarathustra" avec ses théories sur le "übermensch" et ce ya fort longtemps. je n'ai pas fait le lien avec le nihilisme à l'epoque, je devrais ptet le relire
et puis avril, meme si elle s'habille comme un sac, elle est quand meme plus attirante que nietzche.
et puis comme on est tous esclave de ses desirs...
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en avril ne te découvre pas d'un fil.
.
CELAYNE DAYON
.
...
. ..le CbgB c'est son dada
.....
.
..pour acceuillir comme il se doit la merveilleusement déjantée trashi-pop-psychédélico-punkette-electro-bebopTiens, d'ailleurs il re-ferme d'ici un mois ou deux, le CBGB-OMFUG.
Pour déménager à Las Vegas, il se dit
.
CELAYNE DAYON
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.... ..le CbgB c'est son dada
.
.....
/////****>> Pokéman Ga, c'est diabolique ça transforme les enfants!<<****/////
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pasteqman
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Nietzsche est un petit marrant, mais je ne suis pas sûr d'avoir compris.
Dans Zarathoustra, on dirait qu'il se la joue classique. C'est à dire qu'il parle d'un idéal, comme celui de l'honnête homme du XVII° en remplaçant le concept d'honnêteté par celui de surhomme. En réalité, je ne suis pas certain d'avoir compris le livre. L'homme est une corde entre le singe et le surhomme.... mais que doit-il faire ? Tendre vers ce surhomme ? Se lamenter de se pathétique petitesse ? Cligner de l'oeil et chier sur Zara ?...
Bref. Le bouquin développe une jolie poésie, mais sinon, dans d'autres bouquins, le philosophe semble se la jouer Brice de Nietzsche. Le parfait petit Guy Carlier Enfin, je pense que le fou n'avait aucune commune mesure avec ces punks rigolos dont on parle, puisque sa dialectique était très lointaine du "je vous nique tous". La prétention du bonhomme est tout de même extrêmement remarquable.
Il a dit beaucoup de bêtises ( de mon level de jugement ), mais le comparer à un faux-punk de merde, quand même...
Par contre, Cioran, voilà un vrai nihiliste. Et un beau con à mon avis.
Dans Zarathoustra, on dirait qu'il se la joue classique. C'est à dire qu'il parle d'un idéal, comme celui de l'honnête homme du XVII° en remplaçant le concept d'honnêteté par celui de surhomme. En réalité, je ne suis pas certain d'avoir compris le livre. L'homme est une corde entre le singe et le surhomme.... mais que doit-il faire ? Tendre vers ce surhomme ? Se lamenter de se pathétique petitesse ? Cligner de l'oeil et chier sur Zara ?...
Bref. Le bouquin développe une jolie poésie, mais sinon, dans d'autres bouquins, le philosophe semble se la jouer Brice de Nietzsche. Le parfait petit Guy Carlier Enfin, je pense que le fou n'avait aucune commune mesure avec ces punks rigolos dont on parle, puisque sa dialectique était très lointaine du "je vous nique tous". La prétention du bonhomme est tout de même extrêmement remarquable.
Il a dit beaucoup de bêtises ( de mon level de jugement ), mais le comparer à un faux-punk de merde, quand même...
Par contre, Cioran, voilà un vrai nihiliste. Et un beau con à mon avis.
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pasteqman
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OUAIS ! FRANCHEMENT ! PUTAIN ! ILS ONT OSE ME METTRE 4 ! ( je répondais sans lire ni les textes ni les questions... je sais, c'est con )
Par contre, mis à part tout le reste qui est bon à jeter, je posais de vraies questions sur APZ puisque, je le précise, je n'ai rien compris... le plus sympathique était encore d'y répondre, non ?
De toute manière, un type qui s'appelle Rotten ne peut être que mauvais.
Par contre, ça
http://youtube.com/watch?v=lSptPm1C1nM
C'est...
... le bien absolu.-
Little Lou
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AAAAaaaaargh, nooooon, pas les BJM!! Tiens, en voilà des chansons "retour aux seventies" suscitées et si plates qu'elles m'en tirent des larmes. Toi qui admires la prétention de Nietzche, celle de Newcombe pète tous les plafonds! Tout au long de "DiG!", tout le monde n'arrête pas de dire qu'il est un génie, qu'il est le "nouveau" Bob Dylan... Tain la gloire, d'être une refonte avec un plug-in grosse tête d'un vieux truc... Et ça a malheureusement gagné les Dandy Warhols qui de petit groupe bien sympathique, sexy et pas prise de tête s'est vu "réécrire" l'histoire du rock sur Odditorium, album qui tient finalement plus de la bouillie "odd"itive qu'autre chose.
hilikkus> Ouééééé coupain de POP! Mais ce qui me dérange vraiment, c'est que jusqu'à aujourd'hui U2 semble "traumatisé" par POP. Ils s'étaient engagés dans la fameuse tournée titanesque du POPmart avant même d'avoir bouclé l'album, et ils considèrent l'avoir bâclé pour le rendre à la dernière minute (et puis cet album est celui qui a le moins marché, hop une baffe de plus). Pourtant c'est bien ce qui le rend si intéressant et unique, c'est ce côté rough, pas fini, ces aspérités qu'on peut retrouver dans toutes les chansons et qui donnent finalement sa cohérence à l'album... Et voilà-t-y pas qu'ils annoncent leur "retour aux sources" avec All That You Can't Leave Behind, qui avait quelques trucs qui marchaient bien, mais qui somme toute manquaient d'intérêt véritable parce que justement trop lisses, trop travaillés. Puis sort le Best Of 1990-2000 avec, non pas des chansons originales de POP, mais des remixes affreux, rechantés par Bono et qui perdent toute la force des chansons d'origine, un Gone qui n'est pas braillé comme il se doit, un Discothèque plat comme une limande, shit,ils ont même massacré Staring at the Sun... Heureusement qu'ils ont épargné Please, c'est déjà ça.
Enfin, sort "How To Dismantle An Atomic Bomb", et là je n'y crois plus. L'album entier glisse et coule, rien à retenir, ou alors des chansons franchement gerbantes comme si on avalait d'énormes quantités d'eau tiède et de sirop. S'ils pouvaient se reprendre une bonne beigne dans la face et revenir à l'esprit d'expérimentations et d'évolution qui les avait inspirés à partir de Achtung Baby!, je pense que je m'y remettrai éventuellement. Rien n'est plus triste ou plus dangereux qu'une fangirl déçue.
On te verra à Delcourt, dis?
hilikkus> Ouééééé coupain de POP! Mais ce qui me dérange vraiment, c'est que jusqu'à aujourd'hui U2 semble "traumatisé" par POP. Ils s'étaient engagés dans la fameuse tournée titanesque du POPmart avant même d'avoir bouclé l'album, et ils considèrent l'avoir bâclé pour le rendre à la dernière minute (et puis cet album est celui qui a le moins marché, hop une baffe de plus). Pourtant c'est bien ce qui le rend si intéressant et unique, c'est ce côté rough, pas fini, ces aspérités qu'on peut retrouver dans toutes les chansons et qui donnent finalement sa cohérence à l'album... Et voilà-t-y pas qu'ils annoncent leur "retour aux sources" avec All That You Can't Leave Behind, qui avait quelques trucs qui marchaient bien, mais qui somme toute manquaient d'intérêt véritable parce que justement trop lisses, trop travaillés. Puis sort le Best Of 1990-2000 avec, non pas des chansons originales de POP, mais des remixes affreux, rechantés par Bono et qui perdent toute la force des chansons d'origine, un Gone qui n'est pas braillé comme il se doit, un Discothèque plat comme une limande, shit,ils ont même massacré Staring at the Sun... Heureusement qu'ils ont épargné Please, c'est déjà ça.
Enfin, sort "How To Dismantle An Atomic Bomb", et là je n'y crois plus. L'album entier glisse et coule, rien à retenir, ou alors des chansons franchement gerbantes comme si on avalait d'énormes quantités d'eau tiède et de sirop. S'ils pouvaient se reprendre une bonne beigne dans la face et revenir à l'esprit d'expérimentations et d'évolution qui les avait inspirés à partir de Achtung Baby!, je pense que je m'y remettrai éventuellement. Rien n'est plus triste ou plus dangereux qu'une fangirl déçue.
On te verra à Delcourt, dis?
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