Balak> déjà bravo
Excellent ça met en forme pas mal de chose que je pensais sur bd numérique, le flux infini en moins.
Mais c'est rigolo, par que ton essais m'a fait réfléchir aussi la bd papier!
Quand à l'utilisation la vision simultanée de plusieurs cases, par exemple le fait de traiter plusieurs cases en une seule case.
L'écran symbolisant à ce moment la case, et le clic la rigole d'un album papier.
Ce qui est intéressant dans le numérique, c'est que le clic est à la fois, le changement de case, la page tournée ou le saut de texte ou la respiration de l'espace quand on parcours le dessin. Et l'écran est à la fois, la case, la page en autre. ça crée pas mal de mise en abime.
Depuis, un moment je réfléchi à m'essayer réellement à faire une bd en numérique pour m'affranchir du nombre de planches, et je voulais plutot l'explorer en numérique d'abord.
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Puis en ce qui concerne Boulet et Maliki, bien que les bd soit d'abord en numérique, elle était pensée bien plus comme du papier que tel un support numérique. Ensuite, l'exemple de Chicou chicou, je trouve qu'à certain moment l'impact à perdu en efficacité sur le support papier, sur certain scène justement dans le flux infini.
Exemple, une histoire ou un mec se jette d'un immeuble et se rappelle de sa vie dans la chute et se crash sur le sol à la fin. Le fait d'utiliser, le scrolling vertical, accentue l'effet de chute, mis sur papier ça marche aussi, mais la sensation est-elle pas moins importante ?
Donc, une question se pose, à l'instar des formats en bd, le syteme de visionneuse, n'est pas adapté à toute les narrations numérique? Non?
Donc, autant livré une histoire avec sa visionneuse (il y aura sans des modeles standard comme sur papier).
Mais, là ou est la différence ou le numérique multiplie les possibilités, il multiplie les problemes de versions. Ecran et système de visionnage.