mitch a écrit :Toutafé.
Une bonne fin est incompatible avec le concept même de série fleuve.
Une bonne histoire se conçoit avec un début un milieu et une fin.
Pour avoir une fin satisfaisante, il faut "tout simplement" qu'elle ait été pensée à la base.
On ne tient pas une fin juste parce que les invités ont perdu tout intérêt pour la soupe à force de la rallonger à l'eau.
Hmm, One Piece en ce sens pourrait être un contre-exemple, car Oda, a clairement son début, un milieu, et une fin qu'il ne pourra reculer ad vitam eternam. Il ne fait que rajouter des éléments entre ses différents noeuds scénaristiques pour faire plein de petits modules. Il faudra juste que quand il atteindra cette fin prévue, il puisse être assez fort pour résister à la tentation de repartir pour un tour, pour un cycle qui n'avait pas été prévu à la base...
Après, parfois, rien que le fait qu'il y ait une fin peut constituer en soi le fait d'être une "bonne" fin à défaut d'être complètement satisfaisante. Par exemple, le cycle de la Tour Sombre de Stephen King...
@+
Chron
Genre FMA, où la fin est convenue mais au moins ça se termine de façon cohérente.
Pas comme Wolf's Rain...
Non seulement le format est trop long pour l'histoire mais en plus ya pas de fin !
C'est typique des scénars qui comptent sur un postulat de départ très original pour justifier que tout le reste soit super maigre.
Je préfère largement un truc qui commence de façon ultra classique et qui arrive à surprendre par sa richesse qu'un truc tapageur qui s'essouffle au bout du deuxième chapitre.
Nan pasque les trucs moisis genre "Non mais en fait c'était tout dans sa tête" ou "Non mais en fait c'est une boucle et hop tout recommence au début" ou "Non mais en fait tout le monde meurt à la fin" ça va maintenant on connait.
Den X a écrit :Genre FMA, où la fin est convenue mais au moins ça se termine de façon cohérente.
Pas comme Wolf's Rain...
Non seulement le format est trop long pour l'histoire mais en plus ya pas de fin !
C'est typique des scénars qui comptent sur un postulat de départ très original pour justifier que tout le reste soit super maigre.
Je préfère largement un truc qui commence de façon ultra classique et qui arrive à surprendre par sa richesse qu'un truc tapageur qui s'essouffle au bout du deuxième chapitre.
Nan pasque les trucs moisis genre "Non mais en fait c'était tout dans sa tête" ou "Non mais en fait c'est une boucle et hop tout recommence au début" ou "Non mais en fait tout le monde meurt à la fin" ça va maintenant on connait.
+1
You're going to burn in a very special level of hell. A level they reserve for child molesters and people who talk at the theater.
— Shepherd Book
