
Réponse numéro deux - à Tsuka - vi, vi, vi : je suis CollarGozilla.
J'avoue que je n'ai pas pensé à te demander de modifier mon compte, ce qui est pure méconnaissance de ma part de comment ça marche un forum d'un point de vue technique.
Quant à mon propos en intervenant, il ne s'agit pas - en dehors de ma réponse aux salutations de Bolduc - d'une private joke, encore moins d'une private allusion.
Je soulignais simplement - après lecture des pages précédentes - mon impression en face des réponses apportées ici par les scénaristes d'Okura. Outre le fait que c'est très bien qu'ils soient intervenus, que je salue leur courage tout ça tout ça, je n'ai pas pu m'empècher de trouver ces réponses :
1 - Consensuelles :
Maggiori est un plagiaire MAIS il est bien sympa quand même.
Les responsables des chaînes de TV nous censurent MAIS ce sont quand même des gens formidables.
Le financement Okura a été bati sur une arnaque MAIS c'est super que ça existe car ça ouvrira la voie à un avenir meilleur.
Etc...
2 - Aboutissant finalement à une justification plutôt sinistre de la démarche MM style : confions le développement de séries "ambitieuses" à des plagiaires issus de la hype, surtout ne dénonçons rien et peut être qu'un jour - dans un futur radieux - d'autres auront eux aussi le droit de proposer des séries d'animation ayant une ambition.
Encore une fois, il n'y a rien de personnel (de "private") dans ma position, je salue le courage des intervenants concernés d'avoir pointé leurs nez dans un thread polémique et tout et tout MAIS :
Avec les réflexes anti-corporatistes qui me caractérisent, je n'ai pas pu m'empècher de relever que ce type d'attitude a tel un côté systématique dès lors que ce sont des auteurs qui prennent la parole qu'on en vient à croire que les premières caractéristiques des scénaristes sont :
- d'être toujours d'accord avec tout le monde.
- de faire peu de cas des questions ethiques.
Et ça - juste ça me gave.
Mais ça ne change rien à ma curiosité quant au contenu littéraire d'Okura dont je suis tout prêt à croire qu'il est peut être formidable...

Voilà ce qui se passe quand on laisse écrire des films grand public à des punks (G. Ivernel)