Seb. K. a écrit : le fanservice est très important et reste un bon facteur d'achat (plus que le cul bien gras, comme vous l'avez souligné)
RhoôÔh... le cul tout court, pas forcément gras.
Prenons l'exemple de Saru Lock chez Pika, c'est potache mais sans doute trop explicite pour les ados au regard des ventes.
Sur Berserk, j'entends toujours les mêmes critiques, comme quoi les scènes de cul seraient gratuites... O_°
... les gens ont un problème avec la représentation sesssuelle, c'est tout.
(... et j'en sais quelque chose.)
Alors que quand Nana suce Ren dans le volume 8, personne dit rien. ^^
bon j'ai lu quoi ,jusqu'au 4 ou 5 je me rappeles vaguement qu'il y avait de l'amour poétique et alangui ,mais du CUL non .ou alors les scénes ne m'ont pas marqué plus que ça .En tout cas j'ai lu le dernier sorti et il yavait pas une once de cul ,des larmes ,des paparazzis,des lolitas gothiques,de l'adultére oui ,mais pas l'ombre d'une fesse.
La présentation des titres est un réel problème en librairie, et par extension joue le jeu des gros titres au détriment des séries plus intimistes.
- d'abord, faute à la trésorerie : on va à ce qui rapporte le plus histoire de pouvoir présenter quelques titres plus intimistes ( si on a eu le temps d'en lire quelques-uns et de fait orienter le lecteur vers des titres qui collent à ses goûts, parce qu'avec une moyenne d'une centaine de titres manga par mois, je ne connais pas de libraire qui puisse tout suivre...), mais on est presque obligé de faire une sélection.
Evidement, ce point ne concerne que les librairies qui ne font pas partie d'un groupe ayant des facilités financières.
- Ensuite, le manque de place : ben c'est con à dire, mais quand on a une rotation de 20 titres par semaine sur la table des nouveautés, on laisse ce qui marche, on laisse un peu de place aux 3 pauvres titres qu'on a eu le temps de lire et auquel on croit, et les autres on les fout direct en rayon ou déjà en pré-retour ( alors qu'on a le droit de ne retourner les titres qu'au bout de trois mois ).
Devant le nombre de sorties, j'ai du installer une troisième table de news manga ! Et même avec cette table, je ne peut pas séparer les titres érotiques du seinen, le risque de confusion "manga = cul + baston" est réel. Mais ça se vend, seulement si le client lambda peut le voir directement, sans chercher, il faut donc le laisser à portée de vue sinon on se fait taper dessus parce qu'on ne tient pas les chiffres...
Comment, sachant ceci, des titres comme Ki-itchi peuvent se faire une place dans la tête des lecteurs sachant qu'il ne restera pas plus d'une semaine, voir deux au mieux, sur la table des news parce que Death Note débarque vendredi prochain et va bien me bouffer deux piles de place ?
Ben ils ne toucheront qu'un public de spécialistes, qui se font circuler le titre par le bouche à oreille, ou parce qu'un festival quelconque l'a récompensé. Encore faut il pour cela que la série ne soit pas arrêtée pour faute de vente suffisante...
Jem >> mais c'est oùùù Azimut ? j'en entend parler depuis un bout de temps mais j'ai jamais trouvé T____T
Les mangas de cul ont encore un bel avenir, j'ai aperçu trois petites adolescentes couvertes de signes religieux ostentatoires qui dévoraient le dernier Step Up Love Story avec des étoiles plein les yeux.
Rafchan a écrit :Jem >> mais c'est oùùù Azimut ? j'en entend parler depuis un bout de temps mais j'ai jamais trouvé T____T
Ben faut descendre un peu la rue St Ghillem... Atta.... voilà c'est là : tu part de derrière le Virgin, tu passes devant la terrasse de café, et tu descend la rue, c'est en face d'un disquaire et d'une boutique SNCF.
I found my freedom now.
Funny how it feels just like being alone...
Rafchan a écrit :j'ai aperçu trois petites adolescentes couvertes de signes religieux ostentatoires qui dévoraient le dernier Step Up Love Story avec des étoiles plein les yeux.