A propos de la BO, je suis surpris que personne n'ait mentionné la troublante similitude entre le thème principal du film et le Golden Brown des Stranglers...
C'est une des choses qui m'a le plus frappé lors de la projection à l'avant première.
A part ça, j'ai personnellement trouvé le film assez lourdingue...
Paprika de Satoshi Kon (UP OST & DVD FR)
Je suis aller voir le film dans une salle relativement bien remplie, et qu'au final on aime ou qu'on déteste, au moins, ca roupillais pas dans l'assistance 
L'animation, la mise et en scène et le design sont vraiment les points forts du film, difficile de ne pas être séduit de ce point de vue la..
Après, je regrette que 'l'enquete' ne sois pas aussi intéressante que ce qu'on a pu voir dans un perfect blue, ou qu'il ne sois pas aussi émouvant qu'un tokyo godfathers.. J'ai eu un peut l'impression de me retrouver devant un pot pourris de ce qu'il sais faire de mieux, clins d'oeil visuels a l'appuis
La BO est bien, mais on sens la patte du compositeur, ca rappelles furieusement Berserk, entre autre..
Enfin, a l'exception notable de la musique accompagnant le défilé, qui m'irrite profondement.. mais c'est peut être le but recherché; et je réagis de la même facon devant les 2 ou 3 scènes de 'délires' des laborantins infectés, qui m'ont copieusement énervé.
Au final un bon spectacle, on en s'ennuie pas, mais je comprends les décus ou ceux qui n'ont pas aimé... ca doit être 1h30 difficile quand on est pas un grand fan d'animation et du style japonais, et qu'on est allergique a toute mise en scène un peut expérimentale
L'animation, la mise et en scène et le design sont vraiment les points forts du film, difficile de ne pas être séduit de ce point de vue la..
Après, je regrette que 'l'enquete' ne sois pas aussi intéressante que ce qu'on a pu voir dans un perfect blue, ou qu'il ne sois pas aussi émouvant qu'un tokyo godfathers.. J'ai eu un peut l'impression de me retrouver devant un pot pourris de ce qu'il sais faire de mieux, clins d'oeil visuels a l'appuis
La BO est bien, mais on sens la patte du compositeur, ca rappelles furieusement Berserk, entre autre..
Enfin, a l'exception notable de la musique accompagnant le défilé, qui m'irrite profondement.. mais c'est peut être le but recherché; et je réagis de la même facon devant les 2 ou 3 scènes de 'délires' des laborantins infectés, qui m'ont copieusement énervé.
Au final un bon spectacle, on en s'ennuie pas, mais je comprends les décus ou ceux qui n'ont pas aimé... ca doit être 1h30 difficile quand on est pas un grand fan d'animation et du style japonais, et qu'on est allergique a toute mise en scène un peut expérimentale
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Tsuka
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ami_kenji > Dans le box dvd japonais de Millenium Actress y'a le board du film ... c'est à peu près tout ce qui a été édité sur papier officiellement, à ma connaissance.
Sinon en artbook y'en a sur Millenium Actress aussi, mais je l'ai pas zieuté ... d'ailleurs j'aimerai bien avoir l'avis sur ce bookin, qqun l'a ?
http://www.amazon.co.jp/exec/obidos/ASIN/4902948028
Sinon en artbook y'en a sur Millenium Actress aussi, mais je l'ai pas zieuté ... d'ailleurs j'aimerai bien avoir l'avis sur ce bookin, qqun l'a ?
http://www.amazon.co.jp/exec/obidos/ASIN/4902948028
Bin oui, c'est même sans doutes le scénario de Satoshi Kon le plus linéaire de tous ses films.
Attention, préparez les tomates, je me lance...
Attention SPOIL pour ceux qui ne l'ont pas vus !
j'ai été déçu par Paprika. Un scénario cousu de fil blanc vu et revu. On prend Dreamscape de Joseph Ruben, on mélange avec The Cell de Tarsem Singh, et on obtient un film très prévisible ou les délires visuels ont étés déjà vus ailleurs. Le prétexte d'une machine à rêves pour justifier des mondes rêvés et joysement loufoques pourquoi pas mais je m'attendais à plus de facéties. Résultat, on se tape 3-4 fois la même séquence de défilé (avec moults ré-ut, dans un film cinéma, ça fait tâche je trouve). A aucuns moment, le spectateur n'est perdu. On à même un moment l'héroïne qui guide tout haut le spectateur dans le film : "Houlà, mince, je suis encore dans le rêve !" genre on avait pas compris... A aucuns moment, je n'ai ressenti ce vertige, cette perte totale de repère, ce questionnement ne serait-ce qu'émotionnel vécu lors de Parfect Blue et de Millenium Actress. mais là, c'est perso... Certaines scènes "d'action" sont sympathiques mais déjà vues ailleurs (Merci Beautifull Dreamer de Mamoruh Oshii) quand Kon ne se fait pas d'auto-références à la Millenium Actress. Quant à la scène finale "apocalyptique" avec le géant akiraesque/mononokien/Métropolisien/etc..., ouais bof, ça arrive un peu comme un cheveux sur la soupe genre allez on fait une scène grandiose mais que je trouve vide de sens et d'émotions....
Certains diront que j'exagères car j'avoue adorer me taper des spectacles "grandioses" hollywoodiens crétins. C'est vrai, mais au moins ils expriment un fun et une crétinerie. Assumée ou non, on ressent au moins quelque chose. Là, avec la gamine qui aspire le vieux (hum...), ouais bin bof, on rajoute des explosions et hop voilà. Un peu comme si dans un film adaptant un Agatha Christie, on balance une poursuite de voitures à la Bad Boys 2, on se demande ce que cela vient faire ici. Bref, désolé, mais dans le genre, je préfère de loin le lyrisme de Beautifull Dreamers.
Techniquement, c'est joli mais pas exceptionnel. Les décors sont assez classiques comparés à la richesse des décors quasi photoréalistes de Tokyo Godfathers. De même l'utilisation de la lumière sur les personnages, les ambiances m'ont parus très classiques, limite télévisuelles. Là encore, on est loin des ambiances "after effects" d'un Tokyo GodFather. La musique est très chouette par contre, mais je ne sais pas ce qu'elle vaut sans les images, le cd dans un lecteur et le casque sur les oreilles avec notre magination pour seule projection visuelle...
Bref, j'ai trouvé que Satoshi se répétait dans ce film. Alors bien sur, on ne demande pas à un artiste de révolutionner son art à chacune de ses oeuvres, mais là, désolé, je n'ai vu qu'un film beau, mais pas un beau film... Reste quand même quelques belles surprises comme la relation amoureuse inattendue, et quelques trouvailles visuelles assez sympathiques mais surexploitées jusqu'à plus soif...
FIN DU SPOIL.
OK, pour les tomates, vous pouvez y aller...
Attention, préparez les tomates, je me lance...
Attention SPOIL pour ceux qui ne l'ont pas vus !
j'ai été déçu par Paprika. Un scénario cousu de fil blanc vu et revu. On prend Dreamscape de Joseph Ruben, on mélange avec The Cell de Tarsem Singh, et on obtient un film très prévisible ou les délires visuels ont étés déjà vus ailleurs. Le prétexte d'une machine à rêves pour justifier des mondes rêvés et joysement loufoques pourquoi pas mais je m'attendais à plus de facéties. Résultat, on se tape 3-4 fois la même séquence de défilé (avec moults ré-ut, dans un film cinéma, ça fait tâche je trouve). A aucuns moment, le spectateur n'est perdu. On à même un moment l'héroïne qui guide tout haut le spectateur dans le film : "Houlà, mince, je suis encore dans le rêve !" genre on avait pas compris... A aucuns moment, je n'ai ressenti ce vertige, cette perte totale de repère, ce questionnement ne serait-ce qu'émotionnel vécu lors de Parfect Blue et de Millenium Actress. mais là, c'est perso... Certaines scènes "d'action" sont sympathiques mais déjà vues ailleurs (Merci Beautifull Dreamer de Mamoruh Oshii) quand Kon ne se fait pas d'auto-références à la Millenium Actress. Quant à la scène finale "apocalyptique" avec le géant akiraesque/mononokien/Métropolisien/etc..., ouais bof, ça arrive un peu comme un cheveux sur la soupe genre allez on fait une scène grandiose mais que je trouve vide de sens et d'émotions....
Certains diront que j'exagères car j'avoue adorer me taper des spectacles "grandioses" hollywoodiens crétins. C'est vrai, mais au moins ils expriment un fun et une crétinerie. Assumée ou non, on ressent au moins quelque chose. Là, avec la gamine qui aspire le vieux (hum...), ouais bin bof, on rajoute des explosions et hop voilà. Un peu comme si dans un film adaptant un Agatha Christie, on balance une poursuite de voitures à la Bad Boys 2, on se demande ce que cela vient faire ici. Bref, désolé, mais dans le genre, je préfère de loin le lyrisme de Beautifull Dreamers.
Techniquement, c'est joli mais pas exceptionnel. Les décors sont assez classiques comparés à la richesse des décors quasi photoréalistes de Tokyo Godfathers. De même l'utilisation de la lumière sur les personnages, les ambiances m'ont parus très classiques, limite télévisuelles. Là encore, on est loin des ambiances "after effects" d'un Tokyo GodFather. La musique est très chouette par contre, mais je ne sais pas ce qu'elle vaut sans les images, le cd dans un lecteur et le casque sur les oreilles avec notre magination pour seule projection visuelle...
Bref, j'ai trouvé que Satoshi se répétait dans ce film. Alors bien sur, on ne demande pas à un artiste de révolutionner son art à chacune de ses oeuvres, mais là, désolé, je n'ai vu qu'un film beau, mais pas un beau film... Reste quand même quelques belles surprises comme la relation amoureuse inattendue, et quelques trouvailles visuelles assez sympathiques mais surexploitées jusqu'à plus soif...
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OK, pour les tomates, vous pouvez y aller...
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Bah je vois pas trop pourquoi, t'es pas le premier a dire que t'as été déçu.Kara a écrit :OK, pour les tomates, vous pouvez y aller...
Sinon j'espere que les bordelais ont eu le temps d'aller voir le film, il n'est plus à l'affiche. De manière générale il y a deux fois moins de bobines de Paprika en deuxième semaine sur le territoire ... peut-être à cause de Arthur et les Minimoys qui prend pas mal de place (genre 3 salles dans notre UGC).
"Bah je vois pas trop pourquoi, t'es pas le premier a dire que t'as été déçu. "
Disons que pour certains, critiquer Satoshi Kon est un crime de lèse majesté, alors bon, je me méfie
Disons que pour certains, critiquer Satoshi Kon est un crime de lèse majesté, alors bon, je me méfie
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Ca y est... j'ai enfin reussi à le voir, dans le petit reste de salles qui continue à le diffuser...
Eh bien, contrairement à Kara, j'ai pas du tout été déçu... j'ai même adoré...
Ok, le scénar fait beaucoup penser à 'The cell' et 'Existenz' et niveau intrigue, on connait l'identité du 'méchant' au bout d'1/4 d'heure... de même, il manque un peu de l'émotion (quoique, Atsuko, j'ai son visage en fond d'écran...*blush*) qu'on trouvait dans 'Tokyo Godfathers' et surtout dans 'Millenial Actress' (imo)... mais le reste... wow... le gros trip d'1h30...
Je ne pense pas tant que Satoshi Kon se répète ici... mais plutôt qu'il nous livre son chant du cygne avant de tourner la page sur les intrigues basées sur le réel VS la fiction... (je pense qu'il n'abordera plus frontalement ce thème sur ses prochaines réalisations + 'jeune public'...)
... et surtout, il s'est fait plaisir je pense, car le thème du rêve/fantasme lui permet de mettre en scène un kaleidoscope de visions et d'ambiances qu'il aurait eu beaucoup de mal à 'placer' dans une histoire 'classique' (il se met d'ailleurs lui même en scène...)... et personnellement, un réalisateur comme lui qui laisse partir en vrille son imagination, ca me plaît... (il faut dire que perso, j'avais été un peu déçu par 'Tokyo Godfathers' (en dehors de sa perfection technique), dont l'humour m'avait moins touché... alors que j'avais chialé comme un con à la fin de la 1ère vision de 'Millenial Actress'...)
Bref voilà grosso modo, mon opinion à chaud... petit coup de gueule quand même vis à vis de la distribution des films de Satoshi Kon: de 50 à 25 copies françaises en une semaine... c'est franchement pas top, mais finalement pas très étonnant car 'Paprika' n'est pas 'facile à ingurgiter'
de par son foisonnement et je pense qu'il s'adresse vraiment plus à un public d''initiés' que, par exemple, 'Tokyo Godfathers' (s'il avait bénéficié d'une sortie en salle...) qui est quand même beaucoup plus 'mainstream' dans son thème et sa mise en scène... (ce qui n'enlève rien à ses qualités...)
Eh bien, contrairement à Kara, j'ai pas du tout été déçu... j'ai même adoré...
Ok, le scénar fait beaucoup penser à 'The cell' et 'Existenz' et niveau intrigue, on connait l'identité du 'méchant' au bout d'1/4 d'heure... de même, il manque un peu de l'émotion (quoique, Atsuko, j'ai son visage en fond d'écran...*blush*) qu'on trouvait dans 'Tokyo Godfathers' et surtout dans 'Millenial Actress' (imo)... mais le reste... wow... le gros trip d'1h30...
Je ne pense pas tant que Satoshi Kon se répète ici... mais plutôt qu'il nous livre son chant du cygne avant de tourner la page sur les intrigues basées sur le réel VS la fiction... (je pense qu'il n'abordera plus frontalement ce thème sur ses prochaines réalisations + 'jeune public'...)
... et surtout, il s'est fait plaisir je pense, car le thème du rêve/fantasme lui permet de mettre en scène un kaleidoscope de visions et d'ambiances qu'il aurait eu beaucoup de mal à 'placer' dans une histoire 'classique' (il se met d'ailleurs lui même en scène...)... et personnellement, un réalisateur comme lui qui laisse partir en vrille son imagination, ca me plaît... (il faut dire que perso, j'avais été un peu déçu par 'Tokyo Godfathers' (en dehors de sa perfection technique), dont l'humour m'avait moins touché... alors que j'avais chialé comme un con à la fin de la 1ère vision de 'Millenial Actress'...)
Bref voilà grosso modo, mon opinion à chaud... petit coup de gueule quand même vis à vis de la distribution des films de Satoshi Kon: de 50 à 25 copies françaises en une semaine... c'est franchement pas top, mais finalement pas très étonnant car 'Paprika' n'est pas 'facile à ingurgiter'
de par son foisonnement et je pense qu'il s'adresse vraiment plus à un public d''initiés' que, par exemple, 'Tokyo Godfathers' (s'il avait bénéficié d'une sortie en salle...) qui est quand même beaucoup plus 'mainstream' dans son thème et sa mise en scène... (ce qui n'enlève rien à ses qualités...)KONAMI TOKYO (KCET)
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Au niveau de l'émotion, c'est une question de ressenti personnel, mais je trouve que Paprika est au contraire le film de Kon le plus grand public.
Dans Perfect Blue, si tu n'à jamais entendu parler des idol, des otakus, des stalkers, des spectacles de sentaï en live, etc... bin t'es paumé dés le début du film rien qu'avec le spectacle du début.
Dans Millenium actress, on passe en revue une grande partie de l'histoire japonaise et là encore, en tant qu'occidental, difficile de ressentir ce qu'à vécu l'Asie aux différentes époques illustrées par le film, et ce qu'à pus aussi ressentir véritablement l'héroïne du film.
Dan sTokyo Godfather, on à droit à un tour operator de Tokyo et des ses microcosmes, ses communautés, avec en toile de fond, la misère nippone peu montré dans les films nippons (à ma connaissance).
Idem pour Paranoïa Agent qui souligne pas mal de travers de la société nippone.
Alors que dans Paprika, hormi l'esthétique du défilé et quelques "déguisements" de Paprika, rien ne fait vraiment nippon. L'action aurait pus se dérouler à Toronto, à New York ou à Sidney que cela n'aurait rien changé. En fait, voilà ce que je reprocherais à Paprika, c'est d'être très "occidental" dans son univers, voir limite anonyme. Mis à part quelques références humouristiques lors de la scène finale sur l'otakisme nippon.
Dans Perfect Blue, si tu n'à jamais entendu parler des idol, des otakus, des stalkers, des spectacles de sentaï en live, etc... bin t'es paumé dés le début du film rien qu'avec le spectacle du début.
Dans Millenium actress, on passe en revue une grande partie de l'histoire japonaise et là encore, en tant qu'occidental, difficile de ressentir ce qu'à vécu l'Asie aux différentes époques illustrées par le film, et ce qu'à pus aussi ressentir véritablement l'héroïne du film.
Dan sTokyo Godfather, on à droit à un tour operator de Tokyo et des ses microcosmes, ses communautés, avec en toile de fond, la misère nippone peu montré dans les films nippons (à ma connaissance).
Idem pour Paranoïa Agent qui souligne pas mal de travers de la société nippone.
Alors que dans Paprika, hormi l'esthétique du défilé et quelques "déguisements" de Paprika, rien ne fait vraiment nippon. L'action aurait pus se dérouler à Toronto, à New York ou à Sidney que cela n'aurait rien changé. En fait, voilà ce que je reprocherais à Paprika, c'est d'être très "occidental" dans son univers, voir limite anonyme. Mis à part quelques références humouristiques lors de la scène finale sur l'otakisme nippon.
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>Kara
Effectivement, je suis d'accord sur le côté plus occidental de 'Paprika', ainsi que sur 'Millenium Actress' qui peut nécessiter une plus grande connaissance de l'histoire japonaise...
...par contre, même si elles sont centrées sur un environnement typiquement japonais, je pense que les péripeties de 'Perfect Blue' et 'Tokyo Godfathers' peuvent être ressenties et décryptées tout aussi facilement par un public occidental: le star-system des girls band, les fans extremistes, les sdf, les bar gays (même s'ils ne sont pas forcement tenus par des 'mama san'...)... bah, on trouve ça aussi en occident...
Après, comme tu dis, au niveau de l'émotion, c'est une question de ressenti personnel...
Effectivement, je suis d'accord sur le côté plus occidental de 'Paprika', ainsi que sur 'Millenium Actress' qui peut nécessiter une plus grande connaissance de l'histoire japonaise...
...par contre, même si elles sont centrées sur un environnement typiquement japonais, je pense que les péripeties de 'Perfect Blue' et 'Tokyo Godfathers' peuvent être ressenties et décryptées tout aussi facilement par un public occidental: le star-system des girls band, les fans extremistes, les sdf, les bar gays (même s'ils ne sont pas forcement tenus par des 'mama san'...)... bah, on trouve ça aussi en occident...
Après, comme tu dis, au niveau de l'émotion, c'est une question de ressenti personnel...
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