SANS TITRE [titre provisoire]-> INTERDIT -18 ans.

Vous pouvez y parler de tout
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yak
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Message par yak »

koneko a écrit :c'est vrai, c'est sa faute le flood, pends le par les roustons (moi j'veux bien la fessée 34 :roll: )
ma foué, si t'aimes le porridge ....
GOD FINGER!!!!

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bistroboy
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Message par bistroboy »

koneko a écrit :c'est vrai, y'a la variante "ne-débande-pas-de-toute-la-nuit"
ah non ya la variante ,ne bande pas du tout du tout
et ça ç'est encore pire

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koneko
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Message par koneko »

oui, ca aussi *mauvais souvenirs en tete* arf!

Catox
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Message par Catox »

tiens, ça me fait penser à certains rêves tout ça °___°
Kataouh tataouh

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Klaim
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Message par Klaim »

Moi aussi je veux la féssée *ç*

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berseker
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Message par berseker »

Ca y est, les langues sont déliées :D
Hervé Joncour posa sa cigarette sur le bord de la table avant de dire
-Et il est où, exactement, ce Japon?
Baldabiou leva sa canne de Jonc en l'air et la pointa par-delà les toits de Saint-Auguste.
-Par là, toujours tout droit.
Dit-il.
-Jusquà la fin du monde.

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Camille
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Message par Camille »

Hé bien je dois dire que tout ça fait très Love Hina.
Le héros est complétement repompé sur le modèle Keitaro des harem-anime.
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Je veux dire.
C'est un mec qui passe le plus clair de son temps entouré de filles et qui trébuche systématiquement la bite en avant sur elles.
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Il bande/saigne du nez systématiquement alors qu'il n'a aucune implication sentimentale. Mais c'est parce qu'il est le seul "à comprendre les vrais sentiments des femmes". Ce n'est pas parce que c'est un goujat qui est prêt à niquer tout se qui se trimballe en serviette. Non bien sûr.
S'il différencie les filles uniquement par leurs attributs et leur spécificité sociale (cf. les différents types de filles regroupées dans les harem-anime), c'est parce qu'il est le seul à vraiment les comprendre dans cet univers d'hommes insensibles.
S'il parle d'elles comme autant de tas de vulves suintantes, c'est parce qu'il comprend leur sexualité mieux que personne.

Je m'excuse mais y a bullshit là.
Je vois juste un otaque pervers qui se donne le beau rôle.
Et comme Love Hina, ça manque de crédibilité.
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koneko
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Message par koneko »

:roll: forcement, parceque les histoires a la love hina proviennent de quelque part, aussi...
C'est l'histoire de tout mec qui a un parcours vers la sexualité...
Mais comparer l'histoire de 34 a Love Hina, c'est un peu largement abusé...........................................
Dans love hina c'est vraiment irrealiste, typique d'un manga, neuneu meme (pourtant j'aime love hina) mais l'histoire de 34 est bcp plus realiste, glauque, avec tous les problemes d'une vie merdique et blasée, des fantasmes et envies, des echecs, de la facon de le vivre a l'interieur... Forcement que c'est un peu surgonflé, mais c'est une facon de faire ressentir au lecteur les emotions vecues...

Donc, comparer a love hina, non, serieux, non..............
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TRANTKAT
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Message par TRANTKAT »

Mwuhuhuuuuuu, Camillette... Saleté, va!

Koneko> Quand tu veux pour la fessée! ^__^

Bon... je ne sais pas quoi dire d'autre avant de lancer le dernier épisode que j'ai écrit:

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TRANTKAT
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Message par TRANTKAT »

Episode 10.




Je n’ai jamais aimé l’école. En fin de première il a fallu que je passe devant la commission spéciale pour accéder en terminale, au niveau Bac, seul chance pour moi de prétendre au concours d’entrée du Nil, l’école de BD d’Angoulème.
Ma mère était dans tous ses états, et comme à son habitude, elle tentait de ménager la chèvre et le chou: ne me blâmait de rien, respectant mon libre-arbitre mais faisait des pieds et des mains pour que j’intègre le système et que je produise des efforts.
J’étais debout face à ces gens, les différents proviseurs de la région, nous ne nous connaissions pas, et ils me firent la lecture de mon dossier scolaire, du dossier que ma mère avait dû constituer pour me retrouver devant ce tribunal, puis y allèrent des notes que certains de mes professeurs avaient faites pour l’occasion. Bien entendu, seuls les profs qui m’avaient dans le pif avaient eu droit de cité, ce genre de conciliabules est toujours à charge. Oh bien sûr, rien de tapageur, je ne suis pas un violent, je ne suis pas un paumé, je suis pire que ça pour leur système: je suis celui qui n’en a rien à foutre et qui en a les moyens.
Puis les questions.
“Avez-vous l’intention de poursuivre vos études? Que pensez-vous de votre attitude? Pourquoi avoir continué si loin plutôt que de choisir une filière adaptée? Avez-vous l’intention de changer d’attitude? Êtes-vous sûr de faire le bon choix? Ne perdez-vous pas votre temps? Pourquoi ne pouvez-vous pas vous plier à la discipline? Avez-vous l’intention de changer d’attitude? Si l’on vous permet de passer en terminale, serez vous capable de garder une ligne de conduite sur la longueur? Votre école d’Angoulème fonctionne comme les autres, saurez-vous vous adapter à leur discipline? Avez-vous l’intention de changer d’attitude?”

Changer, oui, mais pour aller plus loin, pas pour rentrer dans le rang...

Je n’en mène pas large, mais je garde mon calme, je ne ment pas sur ma détestation du système scolaire, du manque de parole qui découle de sa discipline, sur mon désir de fuir. Je promet de ne plus provoquer mes profs si on me laisse ma chance d’accéder au niveau Bac, seul chance pour moi de prétendre au concours d’entrée du Nil.
Conciliabule, messes-basses.
Ils tamponnent mon dossier et me disent que ma déposition fait acte de foi, qu’à la première incartade, il pourront me lourder, puis appellent le cas suivant.
Dehors, ma mère est au bord des larmes, et elle me regarde comme si j’étais un héros. Je l’ai bluffée, pour la première fois, elle me prend pour un adulte. Quand à moi, j’ai juste l’impression de rempiler, et finalement, de m’être encore fait escroquer par le système.

En Novembre l’année suivante, je romps ma promesse au cours d’une altercation en classe avec ma prof de Maths, à cause de Christelle dont je prend la défense., le Proviseur de mon lycée me demande si je compte rester, m’explique que je ne suis plus obligé de venir en cours, que ça ne changera rien à mon statut de Bachelier, que je suis toujours élève , sous leur responsabilité, assuré et tout le tremblement, mais que mes profs n’en peuvent plus que je leur sappe le moral sans qu’ils aient le moindre moyen d’agir. En clair, cet homme baisse les bras devant mon obstination. Il n’a aucun moyen légal de me virer, ne souhaite à priori même pas le faire.
Il souhaite juste que l’agitateur aille agiter ailleurs que dans son établissement. Me voilà bachelier à domicile, c’est un des plus beaux moments de ma vie: Comme de sortir d’un long tunnel.
Qu’est-ce que je vais faire de toute cette lumière, maintenant?

Six mois ont passé. Nous sommes en été, les vacances scolaires. Je suis allé passer le Bac, depuis le temps qu’on m’en parlait, je voulais voir. Bien sûr je ne l’aurais pas, je n’ai pas même essayé.

Jusqu’ici, j’ai plutôt glandé, j’ai trainé à Tonkam, je bosse un peu avec eux et dans Tsunami. J’ai aussi préparé le dossier de préselection au concours du Nil, et je me suis fait refouler. J’ai rencontré des auteurs de BD pro, qui me coachent un peu, et j’ai l’impression de progresser un peu.
Cette année est décisive, la fin du cycle scolaire, la vraie vie enfin offerte, la liberté d’action totale! Je rève à tout ce que je vais faire après des années d’attente, de frustration, de vie sociale obligatoire... Enfin libre! Enfin je vais pouvoir naître, exister, faire ce qui me plaît: Un nouveau cycle commence!

Non, en fait je suis en plein marasme. Je le sais, mais je ne sais pas comment m’y prendre pour aller de l’avant de manière décisive. Alors mon nouveau cycle commence par une regaine.

Et aussi, je couche avec Julia. Julia qui m’interesse de moins en moins, Julia toujours aussi retranchée derrière ses sourires mignons et anjoleurs. Julia que je présente à mes potes et qui sont unanimes: “Super jolie! Mais sinon, elle est muette?”

Julia qui désormais prend en main sa libido, c’est elle qui a envie. Plus que moi, même. Elle a envie que je la baise, et que je la baise bien. Moi, je n’ai déjà pas besoin de ça pour justifier en acte ma reconnaissance envers une fille qui m’offre son corps... Maudite culpabilité. Mais à un moment, ça a basculé.

Julia est du genre à se laisser faire baiser, en dehors de ce que je lui impose comme rythme, pas une prise d’initiative de sa part. Au bout de peu de semaines, j’en ai assez. La goutte qui fait déborder mon vase est son refus de la fellation.
Je pensais qu’à force de patience elle y viendrait naturellement, mais devant son attitude consistant à ne toujours pas vouloir ne serait-ce que regarder ma queue, j’ai fini par évoquer le sujet verbalement.
La seule chose qu’elle sût clairement exprimer le fût à son insu: alors qu’elle me demandait d’être patient , m’affirmant que ça viendrait en son temps, sa narine et sa lèvre supérieure avaient tréssailli. Plusieurs fois. Son dégoût était affiché.
Je pouvais la brouter mais pas l’embrasser ensuite sans m’essuyer la bouche, alors je ne l’embrassait plus ensuite. Et elle me reprochait un manque de tendresse “de temps en temps”...
Que je lui lèche la vulve ne lui donnait pas envie de me rendre la pareille, alors au bout d’un moment, exaspéré, j’ai decidé que cette petite égoïste me sucerait, quelque soit le moyen.

J’ai tout essayé, je me suis mis dans des positions impossibles tout en restant naturel dans mes déplacements pour approcher ma teub au plus près de son visage, à de multiples reprises, ostensiblement, patiement, réabordant le sujet régulièrement au cours de nos rares échanges, imperturbablement, c’était devenu un but unique avec Julia et sans cesse, elle restait obstinément impassible.
Cependant, elle n’était plus la même, moins souriante, moins naïve, je la surprenais souvent à avoir des regards noirs, mais elle restait invariablement mutique. Étant donné que je jouait la carte du macho, je la délaissais de plus en plus, lui offrais de moins en moins d’attention et ne la questionnait même plus sur ses sentiments. Je la laissait moisir dans son coin.
Une bonne vieille guerre psychologique que je suis sûr de gagner.

Nous sommes chez moi, seuls. Dans mon lit elle est nue et je ne lui parle pas en regardant la télé. C’est déjà la troisième fois qu’elle me demande si je viens me coucher et que je lui répnd par des “mmh”, l’air absorbé par l’écran dans lequel ne se passe que l’ordinaire télévisuel.
Elle soupire bruyamment et se retourne dans la couette de façon à ce que je le sache. Elle boude.

Phase 2: Je coupe la télé et la rejoins au lit. J’éteind la lampe de chevet et me mets en position pour dormir. Ce soir, c’est “l’hotêl des culs tournés”.
Ses mouvements dans mon dos sont significatifs: elle tourne la tête pour voir ce que je fabrique, stupéfaction, moment d’inertie, puis elle se retourne tout doucement, sans doute confuse et triste... peut-être même bouleversée par ce revirement soudain de mon comportement. Je le sais: ça tourne dans sa tête.

Au bout de quelques longues minutes je la sens se glisser très subrepticement vers moi. Elle tend ses jolies petites fesses rondes dans ma direction. Je sens leur chaleur qui s’approche, leur volume qui enfonce le matelas de plus en plus près, jusqu’à ce que leur peau éffleure celle de mes reins, puis s’y comprime. Julia attend désormais. Je la fais poireautter. Alors elle remue ses petites fesses adorables comme des clochettes. Maintenant, il ne faut pas que je la lasse davantage, elle n’ira pas plus loin et je ne dois pas perdre la main.

Phase 3: “Tu n’es pas fatiguée?” lui demandè-je. “Non, pas du tout, et toi?” Je la tiens.
Je lui répond que je ne suis pas fatigué, mais en revanche lassé. Je prend bien garde de ne pas en dire trop pour qu’elle ait à rebondir sur mes fins de phrase. “Lassé?” Silence “De nous?” “Oui, c’est ça. C’est toujours pareil avec toi.” “C’est de ma faute? C’est moi qui t’ennuie?” Je lui dis que ce n’est pas de sa “faute” mais que n’ai en effet pas très envie d’elle, en tout cas pas ce soir. Elle me demande pourquoi, elle veut savoir ce qu’il me manque. Je lui parle de son attitude trop soumise au lit, que j’aimerais qu’elle prenne des initiatives. Elle me demande lesquelles. “Si je te les souffle, ce ne seront plus des initiatives!” Elle rit un peu.
Nous nous sommes tus. J’attend. Elle se rend compte que ma main caresse très négligeament ses fesses. Alors elle se retourne et me sert très fort dans ses bras. Je sens dans son souffle chaud le hoquet d’un sanglot.
Je me retourne doucement à mon tour, sa tête est dans mon cou, je l’entoure de mes bras et lui sussure que tout va bien, ma chérie. Chhhhhut...

Phase 4: Je me retourne à plat-dos en la soulevant avec moi. Elle est désormais sur moi, au bout de quelques secondes, elle place ses jambes de chaque coté de mon bassin.
Mes mains attrappent sa tête que je soulève délicatement. Je l’embrasse. Durant ce long baiser, je vire la couette qui est sur nous, et je balade mes mains sur son corps. Je varie mes caresses de la fermeté à la tendresse... Je m’arrête entre ses fesses, qu’ecarte mon pouce, que pénètre le tranchant de ma main pour constater que Julia est trembée.
J’interromps le baiser et je la fixe dans les yeux. Je la fixe assez durement. Elle finit par baisser le regard. Sa tête repose sur mon torse qu’elle caresse en remuant un peu les fesses. Mais je suis devenu plus distant, je la touche comme un enfant plutôt que comme une amante. Je sais qu’elle s’impatiente.
Je sais qu’elle est déboussolée.

Phase Finale: Je glisse ma main entre nos ventres, par mon geste, mon avant bras lui intime de se soulever, ce qu’elle fait, son regard suit ma main qui entoure maintenant ma queue et l’extirpe d’entre nous.
Je sais qu’elle l’a vue, je sais qu’elle s’interroge sur mes intentions. Ma main libre est déjà sur sa tête et je la pousse vers mon sexe que mon autre main lui présente ouvertement comme un objectif.
Julia tressaille lorsqu’en un quart de seconde elle réalise ce que j’attend d’elle. Ses muscles se tendent, son corp marque un arrêt mais la pression de ma main sur sa tête se fait plus ferme, progressivement mon coude la bloque au niveau des trapèzes... Elle ne veut pas y aller. La question n’est plus là pour moi: je veux être fixé, et qu’elle me suce ou pas, mon acte aura des conséquences irrémédiables, j’agit, je change les choses, je suis vivant.

Julia est prise de légers tremblements secs aux épaules, et elle cède. Jusqu’au dernier centimêtre elle résiste et ma main continue de pousser sa tête, mais tout son corps agit en conséquence: il glisse, ses membres se meuvent, pour se déplacer naturellement afin que sa tête se mette en position. Si de cette image on excluait ma main poussant sa tête résistant à ma main, on verrait Julia, descendant volontairement le long de mon corps pour me tailler une pipe: Son corps est docile, seule sa tête résiste.

Je suis dur comme du bois. La soumission de Julia à mon exigence, cette violence que je lui inflige me transporte: mon cerveau est dans un état second, comme si j’avais déjà joui très fort, un orgasme prolongé.
La petite bouche de Julia est fraîche autour de mon gland, et je ne la pousse à avaler davantage de mon membre qu’au bout de quelques secondes, elle a alors un léger renvoi. Pourvu qu’elle ne gerbe pas dans le pieu. Ce qui est sûr c’est qu’en aucun cas cette réaction fût mécanique, je suis très loin de sa luette. Les bloquages psychologiques de Julia.

Pendant qu’elle me suce maladroitement, je prend ma décision de la quitter. Je ne veux plus d’elle. Elle est fausse, coincée, trop timide. Elle est jolie certes, mais ça ne me suffit plus. Et puis au point de lassitude où j’en suis, je ne peux que devenir un barbare avec elle. Elle ne se révolte pas... Elle ne discutte même pas! Elle feind de résister, et elle cède. C’est tout. Elle est passive, et ce, même dans la jouissance. Je ne veux pas de cette fille.

Pendant cette mémorable pipe, je suis absorbé par mes pensées mélées d’un trouble satisfaisant. Je ne la sens pas me sucer, pas vraiment. Parcequ’elle est nulle bien sûr, et parceque ma queue est tellement dure qu’elle est insensible à autre chose qu’aux dents de Julia qui irritent mon gland et mon prépuce. Non, ma satisfaction vient de ma maîtrise de la situation. Je peux faire durer ce coît buccal aussi longtemps que je le souhaite, tant je domine.
Alors c’est ce que je fais, j’en profite. Je me réjouis de voir cette pauvre gamine se démener à me satisfaire avec sa bouche sans aucune envie de le faire. Mes mains soulèvent ses cheveux, mes yeux habitués à l’obsurité distinguent les traits de Julia, déformés par le dégoût de ce qu’elle est en train de faire. Je vais plus loin: mes mains guident désormais sa tête, lui imposent des angles de pénétration, puis un rythme. Parfois je l’arrète. Parfois j’accélère. Ou alors je force sa bouche à en prendre plus en contraignant son mouvement à l’arrêt pour lever les fesses jusqu’à ce qu’elle ait un renvoi. Auquel cas, cyniquement, je lui demande pardon.

Je force sadiquement Julia à me sucer pendant une demi-heure en me disant que je vais la quitter. Avant de décider de la façon dont je vais jouir, j’élabore plusieurs scénarios. Je décide finalement de l’arrêter, je la retourne sur le dos et je la surplombe. Elle tente de se relever, je l’en empêche en appuyant sur son sternum d’une main, de l’autre je commence à branler mon vit endolori par sa mastication juvénile.
Elle a une vue sur mon scrotom, et la mienne est celle d’un joli corps alangui, légèrement tremblant.
Je pense à son cul ouvert, je pense à son visage jouissant, à sa bouche souriante pleine de mon sperme.

Je dirige ma queue de façon à ce que sa poitrine et son ventre recueillent mon foutre qui est très abondant cette fois. Un orgasme court mais saisissant d’intensité. Je suis déconnecté quelques morceaux d’éternité.

Je me baisse, pas tout à fait revenu, m’accroupis, puis m’afaisse à coté d’elle. Mon ventre entoure sa tête. Surtout qu’elle ne fasse rien encore. Je profite. Ma main caresse son visage.

Je reviens progressivement à moi et je me relève, j’embrasse la bouche de Julia. Je caresse le corps de Julia et je glisse un “merci” dans l’oreille de Julia.
Je ne prète aucune attention à Julia, j’étale le sperme sur sa poitrine avec le plat de la main.

Julia quant-à elle reste là, figée, en colère apparament, mais rien qui ne la meuve. Et je m’en fous.

Lorsque je m’allonge à coté d’elle, elle se lève brusquement et j’entend qu’elle prend une douche. Elle revient se coucher, me tourne le dos et nous dormons. Moi, je dors bien.

Elle ne m’en reparlera jamais. Et par la suite, elle comprendra quand je désire qu’elle me suce. Sans plus de conviction, elle s’éxécutera tout de même.
A l’instar de ce soir, je la baiserai de moins en moins, exigeant de plus en plus de fellations. Je pense alors qu’elle va finir par réagir, me quitter... Mais c’est moi qui ferai le premier pas.

Bouleversée, elle me suppliera de la “garder” le temps qu’elle “se fasse à l’idée”... Je ne vais pas refuser un tel modèle d’esclave sexuel.

Julia m’a envoyé une dernière lettre après plusieurs mois de cette relation étrange, pour me dire qu’elle ne voulait plus me voir, et que c’était fini. Dans sa lettre de jeune fille de seize ans, figurait un mot qui m’obligeât alors à ouvrir le dictionnaire.

“Déliquescent”

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Little Lou
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Message par Little Lou »

koneko> Laisse béton, faut pas foncer tête baissée dans les énormes panneaux que monte notre amie Camille, on se fait mal à la tête, à force. ^^ mais t'es sympa de prendre la défense du tonton quand même!
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koneko
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Message par koneko »

:roll: ui, ct juste plus fort que moi lol

bon j'ai pas le temps tt de suite de lire je le ferai plus tard, mais uééé \o/ la fessée!!!
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Catox
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Message par Catox »

c'est assez perturbant, ce dernier épisode >_____<

et c'était quoi qui était "déliquescent" ? votre relation ?
Kataouh tataouh

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cry
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Message par cry »

pareil que catox >_<
même si je m' y attendais depuis quelques temps, à ce qu' il y ai ce bloquage !
sinon je trouve que les derniers épisodes sont plus agréables à suivre et moins maniquéens (le démon femelle qui arrive et paf )
Mon blog: http://cryhouse.blogspot.com
Les chats sont les fils de Babylone.

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koneko
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Message par koneko »

bon, j'ai lu, moi jtrouve ca toujours aussi "bien" :) (ca me perturbe pas, franchement je m'y retrouve d'une certaine facon, dans la description de la lassitude, faire ces trucs la en pensant froidement qu'on va lourder la personne, le ras le bol, bref....)

et "je suis pire que ça pour leur système: je suis celui qui n’en a rien à foutre et qui en a les moyens. " mdr bien dit, ca me rappelle des souvenirs :roll:
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