Et à propos des films ?
Ce qui aurait été alors rigolo, cela aurait été de faire un film sur comment Andrew à fait son film justement !
Comment il à réussi via le net à contacter des marchands d'armes, comment il à dus acheter de VRAIES kalashnikovs pour son film au lieu de fausses... plus chères ! Comment il à réussit à louer pour une journée 50 chars d'assauts parfaitement alignés, etc...
Ca aussi cela aurait été rigolo...
Maintenant, et si ce film n'était pas pour toi l'européen pas naïf, mais tout simplement pour les amerloques (attention, pas d'anti-américanisme primaire)? Après tout, quand j'ai vu Farenheit 9/11 de Moore, j'ai pas appris grand chose de nouveau, à part que cela confirmait ce que je savais déjà. Mais par contre aux USA, certains amerloques sont tombés des nues en ingurgitant les infos "inédites" de ce film...
Et c'est vrai que la scène de l'atterisage de l'avion est incroyablement dynamique. Et le scène ou il se fait démonter en accéléré est incroyable... car entièrement en 3D !
Comment il à réussi via le net à contacter des marchands d'armes, comment il à dus acheter de VRAIES kalashnikovs pour son film au lieu de fausses... plus chères ! Comment il à réussit à louer pour une journée 50 chars d'assauts parfaitement alignés, etc...
Ca aussi cela aurait été rigolo...
Maintenant, et si ce film n'était pas pour toi l'européen pas naïf, mais tout simplement pour les amerloques (attention, pas d'anti-américanisme primaire)? Après tout, quand j'ai vu Farenheit 9/11 de Moore, j'ai pas appris grand chose de nouveau, à part que cela confirmait ce que je savais déjà. Mais par contre aux USA, certains amerloques sont tombés des nues en ingurgitant les infos "inédites" de ce film...
Et c'est vrai que la scène de l'atterisage de l'avion est incroyablement dynamique. Et le scène ou il se fait démonter en accéléré est incroyable... car entièrement en 3D !
Mon site : www.karafactory.com
- casse_couille
- you talking to me ??
- Messages : 4482
- Enregistré le : mar. 21 oct. 2003, 22:30
- Localisation : paris ...
oui mais cette scène de démontage express est parfaitement l'incarnation du vide de ce film ... ah ui ça fait joli mais qu'est-ce qu'on nous raconte, réponse : rien !
vraiment ce qui m'a halluciné et 34 en parle, c'est le vide intégrale du film et la poudre aux yeux qui est sans cesse jetté (genre femme top model, africaine FHM, l'ascension de l'immigré de la barraque à frites à la vente d'armes) pour cacher la pauvreté de l'ensemble
Kevin > figure toi que quand j'ai dit à des camarades des gobelins que je trouvais l'exposition du dictateur abominablement cliché, et bien on ml'a répondu " attends mais tu crois que c'est comment chez les dictateurs ? le fils de saddam hussein il sortait dans les rues comme ça et il buttait comme ça !"
...
tout ça n'est qu'un gros pétard mouillé, qui ne traite absolument pas de la vente d'armes
effectivement l'intéret aurait été de voir les connexions qu'ont ces marchés avec les plus hautes sphères de nos gentils états occidentaux, genre qui sont les industriels que les chefs d'état amène dans leur bagages lors de voyages à l'étranger pour faire des gentilles affaires entre 10 airbus et deux croissants ? mais niccol passe ton temps à éviter le propos.
preuve que le film ne traite pas de ce qu'il se vante de traiter : à la fin quand le petit texte sur la classification des plus gros vendeurs d'armes est apparue à l'écran, la plupart de la salle, toute étonnée, s'est exclamé "quoi ? ah bon ? non c'est pas vrai ? oh mais c'est horrible" chose qui ne se serait surement pas passé si niccol avait vraiment mis les mains dans la boue !
vraiment ce qui m'a halluciné et 34 en parle, c'est le vide intégrale du film et la poudre aux yeux qui est sans cesse jetté (genre femme top model, africaine FHM, l'ascension de l'immigré de la barraque à frites à la vente d'armes) pour cacher la pauvreté de l'ensemble
Kevin > figure toi que quand j'ai dit à des camarades des gobelins que je trouvais l'exposition du dictateur abominablement cliché, et bien on ml'a répondu " attends mais tu crois que c'est comment chez les dictateurs ? le fils de saddam hussein il sortait dans les rues comme ça et il buttait comme ça !"
...
tout ça n'est qu'un gros pétard mouillé, qui ne traite absolument pas de la vente d'armes
effectivement l'intéret aurait été de voir les connexions qu'ont ces marchés avec les plus hautes sphères de nos gentils états occidentaux, genre qui sont les industriels que les chefs d'état amène dans leur bagages lors de voyages à l'étranger pour faire des gentilles affaires entre 10 airbus et deux croissants ? mais niccol passe ton temps à éviter le propos.
preuve que le film ne traite pas de ce qu'il se vante de traiter : à la fin quand le petit texte sur la classification des plus gros vendeurs d'armes est apparue à l'écran, la plupart de la salle, toute étonnée, s'est exclamé "quoi ? ah bon ? non c'est pas vrai ? oh mais c'est horrible" chose qui ne se serait surement pas passé si niccol avait vraiment mis les mains dans la boue !
"Je préfère pomper d'abord !"
Tsuka
Tsuka
- patrouchef
- Grenouille enragée
- Messages : 11285
- Enregistré le : mar. 09 juil. 2002, 23:24
- Localisation : Jardin des Hinata
- Contact :
effectivement, je voyais pas ça comme ça.
Mon seul regret et ce sentiment de cul entre deux chaise que j'ai ressenti à la fin, ou on avait l'impression que le réal avait pasé tout le film à hésiter entre un film et un docu.
j'ai tout de même bien aimé l'effort même si, effectivement, on est loin du resultat idéal...
Mon seul regret et ce sentiment de cul entre deux chaise que j'ai ressenti à la fin, ou on avait l'impression que le réal avait pasé tout le film à hésiter entre un film et un docu.
j'ai tout de même bien aimé l'effort même si, effectivement, on est loin du resultat idéal...
"Girogirogirogirogirogirogirogirogiro !!!."
- LeFlan
- Hannibal posteur
- Messages : 477
- Enregistré le : mer. 14 déc. 2005, 9:51
- Localisation : la planète shadok
De l'art du démontage en règle
(Tonton c'est un vrai rocker !
)


"Car l'amitié est la science des hommes libres."
- Gersende
- Otaking !
- Messages : 730
- Enregistré le : dim. 11 mai 2003, 13:49
- Localisation : Paris
- Contact :
Je n'ai pas dit que le film était exempt de défauts, mais je le trouve quand même assez gonflé au niveau du propos général.
Je ne vais donc pas reprendre tous tes arguments un par un Trantkat, mais juste te donner ma vision des choses.
Tu dis en premier lieu être incapable de dire sur combien de temps se déroule cette histoire > et si c'était l'une des astuces du film ? Montrer l'intemporalité du propos, le fait que l'homme a toujours succombé à ses plus bas instincts, continue et continuera encore dans l'avenir, notamment tant qu'il y aura des affaires à faire avec la vente d'armes.
Tout nous est imposé par la voix off comme coulant de source du moment qu'il décide d'en faire son business... > ne vois-tu pas là un point commun avec les films de mafiosi genre les Affranchis ou le Parrain, où le milieu de la pègre est décrit comme un petit business tranquille et même séduisant... piégeant le spectateur qui ne sait sur quel pied danser, et doit faire l'effort de prendre du recul pour mieux comprendre tout le cynisme du réal'.
L'impact nous permettant de bien voir le regard humide de ce BEL ENFANT AFRICAIN dont on sait pertinament qu'il va se retrouver la cervelle éparpillée après avoir bien plongé son regard dans le notre, pauvre spectateur déjà manipulé par un effet facile et culpabilisant. > So what ? Une victime est une victime. Niccol aurait tout aussi bien pu mettre un civil irakien ou une veuve américaine, l'impact sur le spectateur aurait été le même n'est-ce pas (mais en l'occurrence il est plus logique de montrer un enfant africain vu qu'une majeure partie du film se déroule sur ledit continent). Il s'agit surtout de montrer qu'une balle fait avant tout d'innocentes victimes, alors un gros plan sur un bon gros caïd balafré à mort aurait forcément amoindri le choc émotionnel du truc, faisant du coup capoter le propos du réal'...
Quant aux différentes séquences qui t'ont horripilé (genre les multiples confrontations avec le personnage campé par Ethan Hawke), reconnais au moins la qualité d'écriture des dialogues, cette manière de rendre limpide une mécanique du pouvoir assurément complexe -qui tire les rênes, qui trouve son parti dans quoi, quels sont les intérêts de chacun... Ce qui n'exclut pas une certaine emphase, on est d'accord, mais a au moins le mérite de retenir l'attention du spectateur.
Reste que tu as raison sur certains points concernant les quelques clichés que tu relèves (genre les deux splendides créatures qu'il rejette alors qu'il baise à tout va lors de ses déplacements), mais n'oublions pas qu'il s'agit d'un film calibré avant tout pour le public américain, et qu'en conséquence -sans verser dans l'antiaméricanisme primaire à l'instar de Kara- il valait sans doute mieux éviter, pour le cinéaste, de brosser le portrait de personnages trop complexes. La dimension cynique de Lord of War est déjà bien assez audacieuse.
Je ne vais donc pas reprendre tous tes arguments un par un Trantkat, mais juste te donner ma vision des choses.

Tu dis en premier lieu être incapable de dire sur combien de temps se déroule cette histoire > et si c'était l'une des astuces du film ? Montrer l'intemporalité du propos, le fait que l'homme a toujours succombé à ses plus bas instincts, continue et continuera encore dans l'avenir, notamment tant qu'il y aura des affaires à faire avec la vente d'armes.
Tout nous est imposé par la voix off comme coulant de source du moment qu'il décide d'en faire son business... > ne vois-tu pas là un point commun avec les films de mafiosi genre les Affranchis ou le Parrain, où le milieu de la pègre est décrit comme un petit business tranquille et même séduisant... piégeant le spectateur qui ne sait sur quel pied danser, et doit faire l'effort de prendre du recul pour mieux comprendre tout le cynisme du réal'.
L'impact nous permettant de bien voir le regard humide de ce BEL ENFANT AFRICAIN dont on sait pertinament qu'il va se retrouver la cervelle éparpillée après avoir bien plongé son regard dans le notre, pauvre spectateur déjà manipulé par un effet facile et culpabilisant. > So what ? Une victime est une victime. Niccol aurait tout aussi bien pu mettre un civil irakien ou une veuve américaine, l'impact sur le spectateur aurait été le même n'est-ce pas (mais en l'occurrence il est plus logique de montrer un enfant africain vu qu'une majeure partie du film se déroule sur ledit continent). Il s'agit surtout de montrer qu'une balle fait avant tout d'innocentes victimes, alors un gros plan sur un bon gros caïd balafré à mort aurait forcément amoindri le choc émotionnel du truc, faisant du coup capoter le propos du réal'...
Quant aux différentes séquences qui t'ont horripilé (genre les multiples confrontations avec le personnage campé par Ethan Hawke), reconnais au moins la qualité d'écriture des dialogues, cette manière de rendre limpide une mécanique du pouvoir assurément complexe -qui tire les rênes, qui trouve son parti dans quoi, quels sont les intérêts de chacun... Ce qui n'exclut pas une certaine emphase, on est d'accord, mais a au moins le mérite de retenir l'attention du spectateur.
Reste que tu as raison sur certains points concernant les quelques clichés que tu relèves (genre les deux splendides créatures qu'il rejette alors qu'il baise à tout va lors de ses déplacements), mais n'oublions pas qu'il s'agit d'un film calibré avant tout pour le public américain, et qu'en conséquence -sans verser dans l'antiaméricanisme primaire à l'instar de Kara- il valait sans doute mieux éviter, pour le cinéaste, de brosser le portrait de personnages trop complexes. La dimension cynique de Lord of War est déjà bien assez audacieuse.
- casse_couille
- you talking to me ??
- Messages : 4482
- Enregistré le : mar. 21 oct. 2003, 22:30
- Localisation : paris ...
aaaargh ! je m'étouffe !!!!Gersende a écrit :mais n'oublions pas qu'il s'agit d'un film calibré avant tout pour le public américain, et qu'en conséquence -sans verser dans l'antiaméricanisme primaire à l'instar de Kara- il valait sans doute mieux éviter, pour le cinéaste, de brosser le portrait de personnages trop complexes. La dimension cynique de Lord of War est déjà bien assez audacieuse.
PUTAIN MAIS ARRETEZ AVEC CET ARGUMENT DE MERDE !!!
"putain mais il est vraiment à chier ce film !
- ouais mais attends dis pas ça, c'est un film pour les gens qui n'ont pas de gout ... faut quand meme qu'ils aient quelque chose à se mettre sur la dents les pauvres!"
arretez de constament prendre les américains pour des pauvres idiots, et de tomber dans l'anti-américainisme facile français.
je vois pas en quoi un américain moyen est pire qu'un français moyen
... ils sont juste plus nombreux c'est tout !
Gersende a écrit :Une victime est une victime.
tu te contredis toi meme, c''est donc bien "un effet facile et culpabilisant", qui joue sur l'effet larmoyant du petit africain qui a besoin qu'on l'aide.Gersende a écrit : un gros plan sur un bon gros caïd balafré à mort aurait forcément amoindri le choc émotionnel du truc
et puis les Affranchis ou le Parrain sont des films différents de celui que LoW souhaite etre, meme si eux aussi ont une volonté de prendre pied dans une forme de réalité, ils n'en sont pas moins bourré de codes qui vont de paire avec le genre.
"Je préfère pomper d'abord !"
Tsuka
Tsuka
- TRANTKAT
- Fuck Me, I'm FAMOUS!
- Messages : 9202
- Enregistré le : ven. 20 juin 2003, 1:01
- Localisation : http://kiwine.deviantart.com/
- Contact :
Gersende> Pour en remettre une petite couche à propos du plan subjectif de la balle qui arrive sur le petit africain.
Le petit africain ne m'aurait pas dérangé si il n'était pas manipulateur de le montrer avec tant d'insistance, c'est une question de timing (le ralenti) volontaire, donc de mise en scène lourde.
Si la balle n'avait pas freiné pour qu'on voit le regard façon "affiche de l'UNICEF", mais qu'on n'avait eu le temps d'identifier QUE la silhouette de cet enfant (ce qui est le cas avant le ralenti) du fait de la vitesse de la balle, j'aurais trouvé cette scène bien et beaucoup plus choc, en fait.
Après, pour ta comparaison avec les Affranchis, je ne suis pas d'accord puisque justement, Scorsese s'ingénie à faire des scènes qui parlent du business au quotidien avec des personnages carrés et épais psychologiquement, incarnés, vivants, sur une temporalité claire... indispensable à rendre sensibles le départ, l'ascension puis la chute de ses protagonistes.
Après, je veux bien admettre que certaines scènes soient pas mal en tant que telles (le jeu du chat et de la souris entre Hawke et Cage en fait partie), mais noyées dans un maelström de trucs indigestes et soutenus par des fondations en carton... bah, ça tient pas, il n'y a pas de liant dans la mise-en-scène.
Quant à ce que tu déclares sur le public cible, je veux bien que ce soit la visée du réal et des producteurs mais même si c'est le cas, en quoi est-ce que ça nous concerne moi, mon exigence et mon esprit critique face à cet objet ?
N'étant en rien partisan du "c'est mieux que rien" ça ne fait que confirmer que ce film n'est ni fait ni à faire comme dirait l'autre...
Le petit africain ne m'aurait pas dérangé si il n'était pas manipulateur de le montrer avec tant d'insistance, c'est une question de timing (le ralenti) volontaire, donc de mise en scène lourde.
Si la balle n'avait pas freiné pour qu'on voit le regard façon "affiche de l'UNICEF", mais qu'on n'avait eu le temps d'identifier QUE la silhouette de cet enfant (ce qui est le cas avant le ralenti) du fait de la vitesse de la balle, j'aurais trouvé cette scène bien et beaucoup plus choc, en fait.
Après, pour ta comparaison avec les Affranchis, je ne suis pas d'accord puisque justement, Scorsese s'ingénie à faire des scènes qui parlent du business au quotidien avec des personnages carrés et épais psychologiquement, incarnés, vivants, sur une temporalité claire... indispensable à rendre sensibles le départ, l'ascension puis la chute de ses protagonistes.
Après, je veux bien admettre que certaines scènes soient pas mal en tant que telles (le jeu du chat et de la souris entre Hawke et Cage en fait partie), mais noyées dans un maelström de trucs indigestes et soutenus par des fondations en carton... bah, ça tient pas, il n'y a pas de liant dans la mise-en-scène.
Quant à ce que tu déclares sur le public cible, je veux bien que ce soit la visée du réal et des producteurs mais même si c'est le cas, en quoi est-ce que ça nous concerne moi, mon exigence et mon esprit critique face à cet objet ?
N'étant en rien partisan du "c'est mieux que rien" ça ne fait que confirmer que ce film n'est ni fait ni à faire comme dirait l'autre...
Modifié en dernier par TRANTKAT le lun. 14 août 2006, 17:15, modifié 1 fois.
Bon attention, je n'ai pas dis que l'américain moyen est un abruti même si c'est un argument (trop) facile. Je dis juste que celui-ci n'à peut-être pas accès aux mêmes types d'informations que nous autres en Europe.
Ce qui ne veut pas dire que nos infos sont les meilleurs, elles sont justes différentes, ou même lorsqu'il s'agit des mêmes, elles sont traitées avec un autre regard. Comme pour le scénario d'un film, selon le réalisateur, le scénario sera interprété différement et c'est pareil lorsque l'on demande à un journaliste d'un 20 h. de faire un reportage. Selon ses objectifs, ses prérogativres, son temps d'apparition, et surtout surtout son propre jugement d'être humain, il choisira un type de montage, un panel d'image illustrant son sujet. Ainsi les sujets sur les ventes d'armes ne sont peut-être pas traités de la même manière aux USa, qu'en France, qu'au Japon, qu'en Papouasie, etc...
J'en reviens à mon exemple de Farenheit 9/11. Je n'ai pas appris grand chose dans ce film. Mais aux USA, il à déchaîné la chronique et des gens dans certaines salles en venait à débattre. Ce qui est bien sauf que le film n'à prêché que des convaincus en gros. Et là ou c'est encore plus vicelard, c'est que ce que je viens de dire dans ce chapitre, c'est la retranscription de ce que j'ai vu dans un reportage à la TV française sur l'acceuil de ce film aux USA. Mais qu'en était-il réellement sur place quand les médias US ont appris le succès du film dans leur propre pays ?
Et pis je le redis, j'ai bcp aimé LOW, dont je me prendrais le collector... mais quand il passera à 12.99 € chez Leclerc ou la Fnac ^0^
Ce qui ne veut pas dire que nos infos sont les meilleurs, elles sont justes différentes, ou même lorsqu'il s'agit des mêmes, elles sont traitées avec un autre regard. Comme pour le scénario d'un film, selon le réalisateur, le scénario sera interprété différement et c'est pareil lorsque l'on demande à un journaliste d'un 20 h. de faire un reportage. Selon ses objectifs, ses prérogativres, son temps d'apparition, et surtout surtout son propre jugement d'être humain, il choisira un type de montage, un panel d'image illustrant son sujet. Ainsi les sujets sur les ventes d'armes ne sont peut-être pas traités de la même manière aux USa, qu'en France, qu'au Japon, qu'en Papouasie, etc...
J'en reviens à mon exemple de Farenheit 9/11. Je n'ai pas appris grand chose dans ce film. Mais aux USA, il à déchaîné la chronique et des gens dans certaines salles en venait à débattre. Ce qui est bien sauf que le film n'à prêché que des convaincus en gros. Et là ou c'est encore plus vicelard, c'est que ce que je viens de dire dans ce chapitre, c'est la retranscription de ce que j'ai vu dans un reportage à la TV française sur l'acceuil de ce film aux USA. Mais qu'en était-il réellement sur place quand les médias US ont appris le succès du film dans leur propre pays ?
Et pis je le redis, j'ai bcp aimé LOW, dont je me prendrais le collector... mais quand il passera à 12.99 € chez Leclerc ou la Fnac ^0^
Mon site : www.karafactory.com
- Gersende
- Otaking !
- Messages : 730
- Enregistré le : dim. 11 mai 2003, 13:49
- Localisation : Paris
- Contact :
Entièrement d'accord avec Kara, y compris pour Farenheit 9/11... et sur le dernier point (acheter le Collector lorsqu'il y aura une offre promotionnelle).

Mais en l'occurrence, et malgré quelques menus défauts -à mes yeux, le dernier film d'Andrew Niccol reste une vraie réussite.

Je ne suis pas non plus partisan du tiède ni du réchauffé.Trantkat a écrit :N'étant en rien partisan du "c'est mieux que rien" ça ne fait que confirmer que ce film n'est ni fait ni à faire comme dirait l'autre...
Mais en l'occurrence, et malgré quelques menus défauts -à mes yeux, le dernier film d'Andrew Niccol reste une vraie réussite.
- Balak
- Famous me I'm fucked!
- Messages : 6934
- Enregistré le : mar. 12 nov. 2002, 0:11
- Localisation : je sais pas si techniquement on peut appeler ça du couscous quand même
- Contact :
tant qu'on y est a défoncer des films sucés par le public et la critique, moi je dis Million Dollar Bébi c'est un mauvais shonen niaiseux a'ec plein eud'trucs trop fastoche eud'd'dans.
c'est cool a regarder, le film me dérange pas, clitiswood a la classe, y'a des bien beaux plans, morgan freeman fait son morgan freeman (aka l'acteur qui ne jouait qu'un seul role dans sa vie, avec juste le titre des films qui changent), mais je comprends pas pourquoi le lectorat de télérama s'est pogné dessus comme si c'était pour ça que les frères lumière avaient inventé le cinéma... (z'ont même mis de coté le passage bien de droite des sales pauvres qui profitent de l'argent de l'état les salopards).
vala! non passque hein.
ça va bien là.
c'est cool a regarder, le film me dérange pas, clitiswood a la classe, y'a des bien beaux plans, morgan freeman fait son morgan freeman (aka l'acteur qui ne jouait qu'un seul role dans sa vie, avec juste le titre des films qui changent), mais je comprends pas pourquoi le lectorat de télérama s'est pogné dessus comme si c'était pour ça que les frères lumière avaient inventé le cinéma... (z'ont même mis de coté le passage bien de droite des sales pauvres qui profitent de l'argent de l'état les salopards).
vala! non passque hein.
ça va bien là.
You're going to burn in a very special level of hell. A level they reserve for child molesters and people who talk at the theater.
— Shepherd Book
— Shepherd Book
- Fikey
- Otaking !
- Messages : 4179
- Enregistré le : lun. 23 juin 2003, 22:20
- Localisation : mmmh chron....
- Contact :
ouais et j'ajouterai que dans les 102 dalmatiens (le film donc) ,ils ont gommé les trous du cul des petits chiots .... c'est inadmissible !!! ils prennent les spectateurs pour des cons , comment il fait le mignon petit toutou pour faire caca? bah il fait pas ....alors il se remplit tout seul comme une poche à caca et il explose comme une gastro de tchernobyl
ils passent complètement à coté de leur propos j'vous dis...
MERCIIII TOTO CACAAAA
je vous en prie ,reprenez...
ils passent complètement à coté de leur propos j'vous dis...
MERCIIII TOTO CACAAAA
je vous en prie ,reprenez...
- casse_couille
- you talking to me ??
- Messages : 4482
- Enregistré le : mar. 21 oct. 2003, 22:30
- Localisation : paris ...
toi t'avais aimé lord of war c'est ça hein ?
KERMICI > c'est ouf comment t'arrives à occulter tout le reste et à te focaliser uniquement sur la poudre aux yeux ... en meme temps pour aimer mickael bay je vois pas d'autre solution ...
balak > quel passage plus précisement ?
KERMICI > c'est ouf comment t'arrives à occulter tout le reste et à te focaliser uniquement sur la poudre aux yeux ... en meme temps pour aimer mickael bay je vois pas d'autre solution ...
balak > quel passage plus précisement ?
"Je préfère pomper d'abord !"
Tsuka
Tsuka
-
- The king of posters
- Messages : 500
- Enregistré le : ven. 02 juil. 2004, 22:16
- Localisation : Paris
Ben ce que tu appeles la poudre au yeux c'est pour moi l'essentiel de ce qui fait tt art, en priorité ça reste un plaisir visuel. Apres si le film a quelque chose a dire ben c'est tant mieux, mais si deja c'est bien fait je suis content. Et quand je vais voir du Bay ou du Fincher, j'attend pas la meme chose que du Kubrick ou du Tarkovskicasse_couille a écrit : KERMICI > c'est ouf comment t'arrives à occulter tout le reste et à te focaliser uniquement sur la poudre aux yeux ... en meme temps pour aimer mickael bay je vois pas d'autre solution ...
On peut tt intellectualiser, tu peux prendre le meilleur film du monde et le ridiculiser avec une bonne analyse. Balak a raison avec Million Dollar Baby, le film croule ss les defauts mais bon les gens se font avoir malgré tt. Ils sont cons? Idiots? Débiles? Non le film fonctionne, la magie opére.
C'est ce que je disais a Tomkat a propos des mangas, il etait sur le cul quand je lui ai dit que depuis prés de 15ans que j'en achéte j'ai du lire 5 titres à tt péter. Des mangas que j'adule comme Gunm ou Blame je sais meme pas de quoi ça parle et je m'en fous mon plaisir est purement graphique. Si j'ai envie de faire travailler mon cerveau, j'ouvre un vrai bouquin pas une bd qui veut peter plus hauts que son cul. Je trouve la bd (manga comics euro) en générale assez mediocre en fait, blindé de scenarios indigents ecrits par des ecrivains ratés. Ya que Baru et Moore qui trouvent grace a mes yeux.
Peut etre un peu trop adepte de la forme que du fond, je m'inquéterais si gt un gros teubé mais bon je pense que ça va...

Et les romanciers qui font du cinéma comme Michael Crichton ?
Sans parler des cinéastes qui se lancent de la BD comme Lautner.
Et quand un écrivain se fait adapter au cinéma, ou qu'un scénariste filme son propre scénario ?
Sans parler des auteurs de BD qui se lancent dans le roman comme Roger Leloup !
Et n'oublions pas le descandant de de l'écrivain HG Wells (Simon Wells) qui réalisa une adaptation cinématographique d'un roman de son aïeul (Hg Wells) mais qui dut se désiter pour cause de maladie et donc se faire remplacer par un vrai réalisateur (Gore Verbinski) qui pris donc le relais d'un descandant (Simon Wells) d'un écrivain (Hg Wells) qui fut déjà adapté au cinéma quelques décénies auparavant mais lui aussi par un vrai cinéaste (George Pal) mais qui fut lui-même écrivain car scénariste d'origine hongroise,mais qui fut aussi animateur de marionnettes (de 1928 à 1931) et architecte (diplômé en 1928). Mais comme par hasard en 1953, ce scénariste donc produisit La Guerre des Mondes d'un autre écrivain (HG Wells) mais cette fois réalisé par Byron Haskin... lui-même scénariste ! C'est dingue non ?
Tu suit ou je recommence ?
OK, il est tard, je vais dormir...

PS : N'empêche, The Time Machine de 2002, il était bien sympa comme film...
Mon site : www.karafactory.com