[Event] KINOTAIYO (le film japonais à l’ère numérique...)
- Fuse
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Il est toujours difficile (ou peut-être simplement pour moi) de donner un avis qui ne soit pas une succession de « j’aime/j’aime pas ».
Commençons par l’organisation. Heu .. j’aime pas ! (zut !). Disons que malgré la bonne volonté manifeste des personnes en charge du système, ce n’est pas simple. La faute bien sûr à ce système de pass’ et des prix variables selon l’âge et le nombre de films … ça prend du temps et les deux gars n’étaient pas des rapides. Heureusement (pour eux comme pour nous) que nous n’étions pas trop nombreux dans la grande salle de la MCJP. Espérons que l’entraînement porte ses fruits pour demain (et surtout jeudi soir).
Sur les films eux-mêmes, difficile d’avoir du recul.
J’ai beaucoup aimé Always (re-zut !). L’histoire se passe après guerre (10 ans après ?). Bien que le Japon, et surtout Tôkyô, tend vers la modernité, nombre de petits quartiers subsistent et gardent une certaine ambiance d’avant-guerre, voire plus ancienne. Au sein d’un de ces petits endroits, on suit une année de vie de différentes figures du quartier : le patron d’un petit garage aussi généreux que soupe au lait, un boutiquier de jouets mais écrivain incompris, un médecin, une tenancière d’un petit bar … et quelques autres personnages …. Cet espace de vie semble être surveillé par la construction de la tour de Tôkyô qui se termine et semble sonner le glas d’une époque révolue. Autant le dire, le réalisme social ou historique n’est pas vraiment le propos du film. Il s’agit plutôt d’un conte, une histoire teintée d’une certaine nostalgie sur une manière de vivre, des souvenirs que l’on aurait à la découverte des premières télévisions, d’avoir un frigo ou simplement de son enfance. C’est aussi bourré d’humour et de petits clins d’œil. Je le reverrais bien.
La Maison de Himiko se place sur un autre registre, même si l’humour n’est pas absent à certains moments. Une jeune femme, semblant toujours sur la défensive et en manque d’argent malgré plusieurs emplois, accepte un travail un peu particulier. Il s’agit de s’occuper, à temps partiel, d’une maison, la « Maison d’Himiko », qui est une sorte de maison de retraite pour vieux gays, autant rejetés par leurs familles que par la société. À la tête de cette idée, « Himiko », le père de la jeune femme, qui a quitté le domicile conjugal alors qu’elle n’était qu’une enfant pour vivre son homosexualité. Elle est réticente à revoir ce père, presque inconnu et mourant, tout autant de s’occuper de « personnages » qui lui semblent être sortis de Mars. Le film repose presque entièrement sur les personnages et les pensionnaires de cette maison de retraite un peu particulière. Sans tomber dans le comique graveleux ou le drame larmoyant sur les vieux homos, le film n’hésite pas néanmoins à en montrer tout autant la dureté du quotidien que l’humour qu’ils portent sur eux-mêmes. Un très bon film, pas toujours simple, mais très intéressant.
On verra la suite demain.
Amicalement,
Fuse
Commençons par l’organisation. Heu .. j’aime pas ! (zut !). Disons que malgré la bonne volonté manifeste des personnes en charge du système, ce n’est pas simple. La faute bien sûr à ce système de pass’ et des prix variables selon l’âge et le nombre de films … ça prend du temps et les deux gars n’étaient pas des rapides. Heureusement (pour eux comme pour nous) que nous n’étions pas trop nombreux dans la grande salle de la MCJP. Espérons que l’entraînement porte ses fruits pour demain (et surtout jeudi soir).
Sur les films eux-mêmes, difficile d’avoir du recul.
J’ai beaucoup aimé Always (re-zut !). L’histoire se passe après guerre (10 ans après ?). Bien que le Japon, et surtout Tôkyô, tend vers la modernité, nombre de petits quartiers subsistent et gardent une certaine ambiance d’avant-guerre, voire plus ancienne. Au sein d’un de ces petits endroits, on suit une année de vie de différentes figures du quartier : le patron d’un petit garage aussi généreux que soupe au lait, un boutiquier de jouets mais écrivain incompris, un médecin, une tenancière d’un petit bar … et quelques autres personnages …. Cet espace de vie semble être surveillé par la construction de la tour de Tôkyô qui se termine et semble sonner le glas d’une époque révolue. Autant le dire, le réalisme social ou historique n’est pas vraiment le propos du film. Il s’agit plutôt d’un conte, une histoire teintée d’une certaine nostalgie sur une manière de vivre, des souvenirs que l’on aurait à la découverte des premières télévisions, d’avoir un frigo ou simplement de son enfance. C’est aussi bourré d’humour et de petits clins d’œil. Je le reverrais bien.
La Maison de Himiko se place sur un autre registre, même si l’humour n’est pas absent à certains moments. Une jeune femme, semblant toujours sur la défensive et en manque d’argent malgré plusieurs emplois, accepte un travail un peu particulier. Il s’agit de s’occuper, à temps partiel, d’une maison, la « Maison d’Himiko », qui est une sorte de maison de retraite pour vieux gays, autant rejetés par leurs familles que par la société. À la tête de cette idée, « Himiko », le père de la jeune femme, qui a quitté le domicile conjugal alors qu’elle n’était qu’une enfant pour vivre son homosexualité. Elle est réticente à revoir ce père, presque inconnu et mourant, tout autant de s’occuper de « personnages » qui lui semblent être sortis de Mars. Le film repose presque entièrement sur les personnages et les pensionnaires de cette maison de retraite un peu particulière. Sans tomber dans le comique graveleux ou le drame larmoyant sur les vieux homos, le film n’hésite pas néanmoins à en montrer tout autant la dureté du quotidien que l’humour qu’ils portent sur eux-mêmes. Un très bon film, pas toujours simple, mais très intéressant.
On verra la suite demain.
Amicalement,
Fuse
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Me voila donc de retour avec les deux films d’aujourd’hui.
L’organisation au cinéma Elysées Biarritz est un peu plus sérieuse que celle d’hier à la MCJP. On ne peut pas dire la même chose de la salle, plus petite et l’écran, bien moins grand. Cela reste tout de même dans les limites de l’agréable. Mieux vaut arriver en avance pour la séance animation pour s’octroyer une place intéressante.
Le film Milk Woman, projeté en présence de son réalisateur, propose une histoire un peu en dehors des modes actuelles. Dans un vieux quartier d’Hiroshima, où seuls les vélos et les baskets ont droit de cité à cause du nombre d’escaliers et d’étroites ruelles, deux personnages semblent se croiser sans se voir. Une femme, approchant la cinquantaine, célibataire et sans histoire(s), se charge tous les matins de distribuer, au pas de course, le lait à ses clients, de moins en moins nombreux. Elle cumule cet emploi avec celui de caissière, ce qui lui permet de vivre et de payer sa passion pour les livres et surtout les romans. Un homme, la cinquantaine également, travaille pour le département social de l’enfance de la mairie. Discret et travailleur, il s’occupe sans faiblir de sa femme, alitée chez eux, qui semble peu à peu arriver au bout du chemin. Ces deux personnages ne sont pas pourtant pas des inconnus et semblent même se connaître depuis bien longtemps. Chacun fait tout cependant pour éviter l’autre. De petits évènements font bouleverser cette situation et leurs sentiments. Nous sommes ici à des années lumières des films d’amourettes d’ados lycéens boutonneux avec leur navrante naïveté sur le sentiment amoureux et la douleur de vivre. Le réalisateur, soutenu par d’excellents acteurs, propose un regard touchant et réaliste sur la vie après la quarantaine. Très intéressant.
Turtles swim faster than expected est malheureusement plus anecdotique, presque dispensable. L’histoire en quelques mots. Une jeune femme au foyer s’ennuie. Son mari est à l’étranger, ses parents très étranges et sa meilleure amie est frustrante (elle fait toujours mieux !). Elle a une vie tellement banale qu’elle se croit parfois presque invisible. Au détour d’une situation, elle s’essaye à téléphoner à une petite annonce qui recherche une espionne. Sa première tâche d’espionne « d’une certaine puissance étrangère » ? Être la plus anonyme et la plus banale possible pour n’attirer l’attention de personne. Toute sa vie quotidienne de femme au foyer devient un travail à plein temps, digne de toutes les réflexions. Basé sur l’idée de proposer un film d’humour sur une trame un peu sérieuse, le film semble tout de même un peu bancal. Le comique se concentre sur des situations parfois totalement absurdes et des non-sens parfois désarmants. Certaines idées sont réussies, d’autres le sont moins. Il en est de même pour le côté un peu sérieux du film. Dans tous les cas, on y croit pas une seconde et on ne voit pas trop vers où veut nous mener le réalisateur. Sympathique mais sans plus.
Amicalement,
Fuse
L’organisation au cinéma Elysées Biarritz est un peu plus sérieuse que celle d’hier à la MCJP. On ne peut pas dire la même chose de la salle, plus petite et l’écran, bien moins grand. Cela reste tout de même dans les limites de l’agréable. Mieux vaut arriver en avance pour la séance animation pour s’octroyer une place intéressante.
Le film Milk Woman, projeté en présence de son réalisateur, propose une histoire un peu en dehors des modes actuelles. Dans un vieux quartier d’Hiroshima, où seuls les vélos et les baskets ont droit de cité à cause du nombre d’escaliers et d’étroites ruelles, deux personnages semblent se croiser sans se voir. Une femme, approchant la cinquantaine, célibataire et sans histoire(s), se charge tous les matins de distribuer, au pas de course, le lait à ses clients, de moins en moins nombreux. Elle cumule cet emploi avec celui de caissière, ce qui lui permet de vivre et de payer sa passion pour les livres et surtout les romans. Un homme, la cinquantaine également, travaille pour le département social de l’enfance de la mairie. Discret et travailleur, il s’occupe sans faiblir de sa femme, alitée chez eux, qui semble peu à peu arriver au bout du chemin. Ces deux personnages ne sont pas pourtant pas des inconnus et semblent même se connaître depuis bien longtemps. Chacun fait tout cependant pour éviter l’autre. De petits évènements font bouleverser cette situation et leurs sentiments. Nous sommes ici à des années lumières des films d’amourettes d’ados lycéens boutonneux avec leur navrante naïveté sur le sentiment amoureux et la douleur de vivre. Le réalisateur, soutenu par d’excellents acteurs, propose un regard touchant et réaliste sur la vie après la quarantaine. Très intéressant.
Turtles swim faster than expected est malheureusement plus anecdotique, presque dispensable. L’histoire en quelques mots. Une jeune femme au foyer s’ennuie. Son mari est à l’étranger, ses parents très étranges et sa meilleure amie est frustrante (elle fait toujours mieux !). Elle a une vie tellement banale qu’elle se croit parfois presque invisible. Au détour d’une situation, elle s’essaye à téléphoner à une petite annonce qui recherche une espionne. Sa première tâche d’espionne « d’une certaine puissance étrangère » ? Être la plus anonyme et la plus banale possible pour n’attirer l’attention de personne. Toute sa vie quotidienne de femme au foyer devient un travail à plein temps, digne de toutes les réflexions. Basé sur l’idée de proposer un film d’humour sur une trame un peu sérieuse, le film semble tout de même un peu bancal. Le comique se concentre sur des situations parfois totalement absurdes et des non-sens parfois désarmants. Certaines idées sont réussies, d’autres le sont moins. Il en est de même pour le côté un peu sérieux du film. Dans tous les cas, on y croit pas une seconde et on ne voit pas trop vers où veut nous mener le réalisateur. Sympathique mais sans plus.
Amicalement,
Fuse
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Grrr !!! Bandes de lâcheurs !!!
Enfin, je dis ça, mais je n’ai pas pu tenir la totalité de la séance. Il n’y a pas 2, 3 ou 4 films, mais 5 films !!! 3 longs métrages d’animation et deux moyens métrages avec un petit entracte au milieu.
22h30 : Yonna in the solitary fortress
23h : Mind Game
Mini-pause
1h : Nagadon
1h30 : Deep Imagination
3h : Origine
Sortie à 4h30
Avec 1h/1h30 de noctambus pour renter chez moi (si +/- de chance) + douche = 6h-6h30 pour un lever à 7h pour le taf … cela me paraît difficile à tenir, surtout avec un resto le lendemain. Bref, j’ai préféré partir après Mind Game (même si Deep Imagination m’intriguait).
A+
Fuse
Enfin, je dis ça, mais je n’ai pas pu tenir la totalité de la séance. Il n’y a pas 2, 3 ou 4 films, mais 5 films !!! 3 longs métrages d’animation et deux moyens métrages avec un petit entracte au milieu.
22h30 : Yonna in the solitary fortress
23h : Mind Game
Mini-pause
1h : Nagadon
1h30 : Deep Imagination
3h : Origine
Sortie à 4h30
Avec 1h/1h30 de noctambus pour renter chez moi (si +/- de chance) + douche = 6h-6h30 pour un lever à 7h pour le taf … cela me paraît difficile à tenir, surtout avec un resto le lendemain. Bref, j’ai préféré partir après Mind Game (même si Deep Imagination m’intriguait).
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Fuse
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On ne peut pas dire que le film se résume avec simplicité. Je ne m’y essayerais même pas. C’est une « expérience » intrigante mais très intéressante, surtout dans ces bonne conditions (écran sympa et siège agréable). Il est juste parfois un peu difficile de suivre l’histoire, surtout vers la fin, cela devient plus une débauche d’images. Dommage que l’équipe du film n’ait pas pu venir à Paris pour le festival semble t-il. J’aurais apprécié quelques précisions et surtout quelques réponses.Chron a écrit :Et désolé, Fuse, Mind Game sur grand écran, c'eût été sympa...
Sinon, concernant le moyen métrage d’animation 3D Yonna , je reste un peu interrogatif. Je ne comprends pas le but de l’histoire ?
Est-ce un pilote pour une série plus longue (ce qui expliquerait les importantes ellipses du scénario parfois complexe à suivre pour pousser à regarder la suite) ?
ou pour trouver les financements pour un long métrage (ce qui expliquerait les problèmes dans les mouvements des personnages faute de moyens) ?
ou simplement l’œuvre d’une jeune équipe qui tend vers des œuvres plus accomplies (ce qui expliquerait ce foisonnement de mélange ancien/modernité et de très bonnes idées pas toujours très bien exploitées) ?
Merci par avance pour vos réponses.
Fuse
- Tsuka
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Bravo Fuse pour t'être déplacé !
De mon côté je n'ai pas pu aller à Pau. J'espere que de nouvelles projections du film auront lieues (et plus près de chez moi si possible).
C'etait en VOSTF ou VOSTA ?
Projection DVD ou beta/SP ?
Pour Yonna il me semble que c'est un court-métrage. Un thread existe mais avec peu d'infos :
viewtopic.php?t=1943&highlight=yonna
De mon côté je n'ai pas pu aller à Pau. J'espere que de nouvelles projections du film auront lieues (et plus près de chez moi si possible).
C'etait en VOSTF ou VOSTA ?
Projection DVD ou beta/SP ?
Pour Yonna il me semble que c'est un court-métrage. Un thread existe mais avec peu d'infos :
viewtopic.php?t=1943&highlight=yonna
- Fuse
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Tous les films, en prise de vue réelle et en animation, ont été sous-titrés en français. Bien que le cas ne se soit présenté qu’une fois pour moi (sur « Turtle » je crois), il est arrivé que des bobines avec incrustation de sous titres anglais soient projetées (les sous-titres en français étant alors placés en dessous, sous format électronique).Tsuka a écrit :
C'etait en VOSTF ou VOSTA ?
Projection DVD ou beta/SP ?
Pour Yonna il me semble que c'est un court-métrage. Un thread existe mais avec peu d'infos :
viewtopic.php?t=1943&highlight=yonna
Concernant le format … heu … c’est grave si je dis que je ne saurais répondre faute de connaissances ? Les seules informations que je dispose, sont que lors de tous les débuts de séances de films à prise de vue réelle, il y avait des essais de projection des films avant de faire rentrer les spectateurs. Concernant la soirée animation, la coupure de 10 mns entre Yonna/MindGame et Negadon/Deep Imagination/Origine était présentée comme un « changement de matériel de projection ».
Merci beaucoup pour les infos sur Yonna.
Amicalement,
Fuse
- Tsuka
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- Localisation : Chez Bobby
[Event] Mind Game primé en France
---- News Catsuka
Le film "Mind Game" de Masaaki Yuasa (Studio 4°C) a obtenu vendredi dernier le grand prix "Soleil d'or" dans la catégorie animation du festival français Kinotayo (cf ancienne news).

A noter que ce festival a rajouté au dernier moment dans sa programmation "Deep Imagination", un module de court-métrages du Studio 4°C dont je vous avais precedemment parlé.
En outre, "Mind Game" et "Deep Imagination" ont aussi été diffusés à Nantes il y a quelques jours dans le cadre du festival "Les 3 Continents" qui proposait une spéciale Studio 4°C (avec également Princesse Arete).
Des initiatives a saluer, même si ce sont malheureusement souvent des evenements sur lesquels trop peu de communication est faite.
----
NB : Decidemment, personne a tilté sur Deep Imagination à Kinotayo non plus, alors que Fuse l'a mentionné.
C'est la nébuleuse yondoshi @o@
Le film "Mind Game" de Masaaki Yuasa (Studio 4°C) a obtenu vendredi dernier le grand prix "Soleil d'or" dans la catégorie animation du festival français Kinotayo (cf ancienne news).

A noter que ce festival a rajouté au dernier moment dans sa programmation "Deep Imagination", un module de court-métrages du Studio 4°C dont je vous avais precedemment parlé.
En outre, "Mind Game" et "Deep Imagination" ont aussi été diffusés à Nantes il y a quelques jours dans le cadre du festival "Les 3 Continents" qui proposait une spéciale Studio 4°C (avec également Princesse Arete).
Des initiatives a saluer, même si ce sont malheureusement souvent des evenements sur lesquels trop peu de communication est faite.
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NB : Decidemment, personne a tilté sur Deep Imagination à Kinotayo non plus, alors que Fuse l'a mentionné.
C'est la nébuleuse yondoshi @o@
- Fuse
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Comme il n'est jamais trop tôt pour le savoir, voici les prochaines dates du festival :
A.
Fuse
Il semble que celui-ci prend de l'importance. Tant mieux ! Espérons qu'ils pourront déplacer plus de réalisateurs cette année.Festival 2007
Régions : 9-11 Novembre
7 villes
Ile de France : 13-20 Novembre
Roissy, Sannois, Enghien, Cergy
Maison de la Culture du Japon à Paris
Elysées Biarritz
7 cinémas d'arts et d'essai
A.
Fuse