Et à propos des films ?
- parotaku
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Pas convaincu par l'intrigue principale, un peu trop gnangnan à mon goût...Stanislas Josef Corben a écrit :Hellboy 2.
La tuerie de l'année.
A voir et re-voir.
par contre, quelle claque concernant la gallerie de créatures...
J'avais pas vu autant de bestioles couinantes depuis Nightbreed...

KONAMI TOKYO (KCET)
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J'ai trouvé le film mieux "écrit" que le premier, plus équilibré au niveau des intrigues et des sous intrigues.parotaku a écrit :Pas convaincu par l'intrigue principale, un peu trop gnangnan à mon goût...Stanislas Josef Corben a écrit :Hellboy 2.
La tuerie de l'année.
A voir et re-voir.
par contre, quelle claque concernant la gallerie de créatures...
J'avais pas vu autant de bestioles couinantes depuis Nightbreed...
Le 3 va assurer encore plus.
- Balak
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- Localisation : je sais pas si techniquement on peut appeler ça du couscous quand même
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Vicky Cristina Barcelona, le dernier Woody Allen... très agréable, élégant, gentiment narquois, très humain, très bien (et je suis trèèèès loin d'être un fanatique de Woody Allen).
Javier est superbe, Penelope Cruz est la perfection incarnée.
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You're going to burn in a very special level of hell. A level they reserve for child molesters and people who talk at the theater.
— Shepherd Book
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- jesus_kryst
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- Balak
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bah... ouais!
mais le truc c'est que c'est glamourisé "le sourire en coin".
tout le fatras tellement cliché de la nana sérieuse qui tombe dans les bras du latin artiste n'est pas du tout traité au premier degré.
tous les personnages sont un peu couillons, très humains, personne ne vit une vie rêvée. Javier a beau être le prototype de l'artiste au regard de braise, au fond c'est un pauvre type paumé qui n'arrive pas a oublier sa maria psychopathe.
Et le coup de la guitare justement, c'est montré avec ce qu'il faut de distance... c'est juste le ferrage du poisson! C'est juste ce qu'il fallait pour bouleverser la petite nana qui fantasme sur la catalogne... et ça a marché, il a tiré son coup.
tous ces clichés, ces mensonges, ce refus de voir la réalité, la peur de faire le mauvais choix, la peur de l'ennui, la peur de l'inconnu, le sexe, etc..... c'est une belle définition de "l'amour".
mais le truc c'est que c'est glamourisé "le sourire en coin".
tout le fatras tellement cliché de la nana sérieuse qui tombe dans les bras du latin artiste n'est pas du tout traité au premier degré.
tous les personnages sont un peu couillons, très humains, personne ne vit une vie rêvée. Javier a beau être le prototype de l'artiste au regard de braise, au fond c'est un pauvre type paumé qui n'arrive pas a oublier sa maria psychopathe.
Et le coup de la guitare justement, c'est montré avec ce qu'il faut de distance... c'est juste le ferrage du poisson! C'est juste ce qu'il fallait pour bouleverser la petite nana qui fantasme sur la catalogne... et ça a marché, il a tiré son coup.
tous ces clichés, ces mensonges, ce refus de voir la réalité, la peur de faire le mauvais choix, la peur de l'ennui, la peur de l'inconnu, le sexe, etc..... c'est une belle définition de "l'amour".
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Tout à fait, ce film cache un pessimisme profond derrière cette description d'américaines en villégiature à Barcelone, qui paraît décliner pleins de clichés.Balak a écrit :bah... ouais!
mais le truc c'est que c'est glamourisé "le sourire en coin".
tout le fatras tellement cliché de la nana sérieuse qui tombe dans les bras du latin artiste n'est pas du tout traité au premier degré.
tous les personnages sont un peu couillons, très humains, personne ne vit une vie rêvée. Javier a beau être le prototype de l'artiste au regard de braise, au fond c'est un pauvre type paumé qui n'arrive pas a oublier sa maria psychopathe.
Et le coup de la guitare justement, c'est montré avec ce qu'il faut de distance... c'est juste le ferrage du poisson! C'est juste ce qu'il fallait pour bouleverser la petite nana qui fantasme sur la catalogne... et ça a marché, il a tiré son coup.
tous ces clichés, ces mensonges, ce refus de voir la réalité, la peur de faire le mauvais choix, la peur de l'ennui, la peur de l'inconnu, le sexe, etc..... c'est une belle définition de "l'amour".
Mais le génie de Woody Allen est de les analyser pour les retourner cul par dessus tête.
Un bon cru ce film, de beau rôles de femmes, un film sensuel on on boit, on fume et on baise, en se moquant de cette Amérique trop hypocritement prude!:kgrin:
Avis tout à fait partial, je suis fan de Woody Allen et content que certain ici l'apprécient aussi.

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- jesus_kryst
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C'est sur qu'il joue bien avec les clichés de la a dire qu'il assume complétement pour leurs faire la peau ,il y a un pas que je ne franchirais surement pas .Le film a franchement des relents de Télénovelas
woody aurait choisit des acteurs principaux un peu moins glam' et il nous aurait peut être montrer une autres facette de Barcelone et de l'espagne hormis celle de la carte postale et le triolisme décontracté je dis pas .Alors oui c'est "cynique" mais on est pas chez Almadovar ,la même Penelope était autrement plus consistante .voila je dis ça mais j'ai bien kiffé ,ca m'as fait penser a un Bastien Vivès .
woody aurait choisit des acteurs principaux un peu moins glam' et il nous aurait peut être montrer une autres facette de Barcelone et de l'espagne hormis celle de la carte postale et le triolisme décontracté je dis pas .Alors oui c'est "cynique" mais on est pas chez Almadovar ,la même Penelope était autrement plus consistante .voila je dis ça mais j'ai bien kiffé ,ca m'as fait penser a un Bastien Vivès .
Justement, il assume tous ces clichés, il le fait exprès, comme très souvent dans ses films qui se développent sur un mode de comédie légère, il est extrêmement cynique et sombre sur la nature humaine.jesus_kryst a écrit :C'est sur qu'il joue bien avec les clichés de la a dire qu'il assume complétement pour leurs faire la peau ,il y a un pas que je ne franchirais surement pas .Le film a franchement des relents de Télénovelas
woody aurait choisit des acteurs principaux un peu moins glam' et il nous aurait peut être montrer une autres facette de Barcelone et de l'espagne hormis celle de la carte postale et le triolisme décontracté je dis pas .Alors oui c'est "cynique" mais on est pas chez Almadovar ,la même Penelope était autrement plus consistante .voila je dis ça mais j'ai bien kiffé ,ca m'as fait penser a un Bastien Vivès .
Dans le genre amoral " à la Woody" il y a Crimes et délits, Harry dans tous ses états, plus noir et léger, c'est du grand art!

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A quelle heure ?JeP a écrit :Genre... demain soir au MK2 Bibli ?
Hervé Joncour posa sa cigarette sur le bord de la table avant de dire
-Et il est où, exactement, ce Japon?
Baldabiou leva sa canne de Jonc en l'air et la pointa par-delà les toits de Saint-Auguste.
-Par là, toujours tout droit.
Dit-il.
-Jusquà la fin du monde.
-Et il est où, exactement, ce Japon?
Baldabiou leva sa canne de Jonc en l'air et la pointa par-delà les toits de Saint-Auguste.
-Par là, toujours tout droit.
Dit-il.
-Jusquà la fin du monde.