Une France en glaire est une France malade... Cependant je tenais à m'exprimer concernant vis-à-vis d'à-propos de la soirée Catsuka sur Nolife. A priori : très bien, diffusion de courts-métrages d'animation, qui prennent encore et toujours davantage d'ampleur au sein de la communauté cinématographique pour mon plus grand plaisir, pari sans aucun doute rentable. A posteriori; premier court en lice : nickel. Je ne retrouvais ni le titre ni le réalisateur de ce court-métrage aux accents d'Amélie Poulain justement, et c'est avec une joie démesurée que j'ai pu le ré-apprécier. NB : les interludes sont très satisfaisantes, nickel là encore. Vraiment, très bien. Viennent les courts de Merwan Chabane. Okay, un peu trop "parisien" à mon goût, mais toujours dans l'ambiance 'découverte', pas de quoi être déçu, même pour Alma. Blaas et De Pins sont du même genre. On commence à piquer du nez (courts de moyenne -pour ne pas dire faible) qualité) quand surgit Rex Steele d'un univers à la Picsou'n'pals, embrochant du nazi à tire-larigot avec ces traits d'une modestie tellement atypique et attachante. Toutefois je maintiens personnellement que ces mèches de part et d'autre du front du héros sont d'un ridicule hors-normes. L'intérêt du téléspectateur s'en trouve vivifié (pas des mèches, du scénar
 ), puis prolongé par "BZZ" qui suscite une interrogation de sa part : "Aurais-je les mêmes réactions, la même attitude si j'avais un tel passé ? - J'aime exploser les moustiques à coup de tapette, mais je ne me suis jamais demandé s'ils avaient des émotions é.è". Ces remous de l'âme sont bercés par la "belle histoire" de Jonathan Nix puis par le talent de Jin Sung Choi (sérieux, huit mois ??). Même si pour ce dernier on est parfois un peu perdu quant au scénario, on se rattache aux graphismes très travaillés, et ma foi efficaces. Puis arrive le vu revu et corrigé Golden Fist of Apocalypse. Bon, le temps de se faire un café -ou un Black Dog, c'est selon. On enchaîne avec 1916, tout de suite moins drôle, et pour cause : la "WWI" c'est pas "LOL" non plus. Style bien fini, adaptation touchante, c'est dans la poche. L'enchaînement pourra être mal vu mais personnellement ça passe... pour continuer avec Touchdawn of the dead, pas tout neuf encore une fois mais toujours efficace, en particulier pour les newbies. On termine enfin par l'animation de Jérôme Cauwe et Pierre Mousquet, "Je te pardonne". Sélection très discutable selon moi, ne serait-ce que pour le final, faut-il y voir un message explicite de la part de Sir Tsuka ou bien l'esprit de l'air du temps, la direction prévisionnelle des courts à venir ??
 ), puis prolongé par "BZZ" qui suscite une interrogation de sa part : "Aurais-je les mêmes réactions, la même attitude si j'avais un tel passé ? - J'aime exploser les moustiques à coup de tapette, mais je ne me suis jamais demandé s'ils avaient des émotions é.è". Ces remous de l'âme sont bercés par la "belle histoire" de Jonathan Nix puis par le talent de Jin Sung Choi (sérieux, huit mois ??). Même si pour ce dernier on est parfois un peu perdu quant au scénario, on se rattache aux graphismes très travaillés, et ma foi efficaces. Puis arrive le vu revu et corrigé Golden Fist of Apocalypse. Bon, le temps de se faire un café -ou un Black Dog, c'est selon. On enchaîne avec 1916, tout de suite moins drôle, et pour cause : la "WWI" c'est pas "LOL" non plus. Style bien fini, adaptation touchante, c'est dans la poche. L'enchaînement pourra être mal vu mais personnellement ça passe... pour continuer avec Touchdawn of the dead, pas tout neuf encore une fois mais toujours efficace, en particulier pour les newbies. On termine enfin par l'animation de Jérôme Cauwe et Pierre Mousquet, "Je te pardonne". Sélection très discutable selon moi, ne serait-ce que pour le final, faut-il y voir un message explicite de la part de Sir Tsuka ou bien l'esprit de l'air du temps, la direction prévisionnelle des courts à venir ??Mon avis sur la sélection de la soirée : moi pas comprendre. Sont-ce les coups de coeur du Dalaï-Tsuka ? Les courts censés être inédits pour une majorité ? Un tri supposé représentatif des attentes du téléspectateur moyen (émotion, gayness, baston, social) ? Sans doute ai-je loupé un épisode (le rhume et la non-sobriété sans doute), mais je prierai quiconque étant en mesure de m'éclairer sur le pourquoi du comment de le faire sans plus attendre. L'Animanuit qui a(vait) lieu à Lyon était plus intéressante selon moi. C'est dommage, ç'aurait pu être mieux. Mais c'est déjà pas mal. Un premier bravo, et vivement la prochaine
 .
 . Mon résumé :
Le + : les interludes animés.
Le - : la sélection qui aurait pu être plus... aguichante.
Conclusion : AB, encourageant mais peut faire mieux.

PS : @Ouache +1, j'ai un écran plasma qui n'a pas supporté les deux lignes de sous-titres non plus. Ceci dit le short était en ligne sur Catsuka Player, en ce qui me concerne je n'ai rien loupé.
*... la silhouette se rengouffre en toussant dans dans son cocon de fumée s'évaporant, jusqu'à disparaître."


 
 


 , merci Tsuka
 , merci Tsuka

 
  







