Et à propos des films ?
- patrouchef
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Hier soir entre deux fins du monde, j'ai décidé de profiter de mon ultime téléchargement chez MegaUpload en regardant Time Out, le nouveau film d'Andrew Niccol (le good Gattaca, le chiantissime Simone et le mouais Lord of war).

Perruque or not perruque?
Un petit tour préalable sur Allociné pour voir les notes de la presse: plusieurs bonnes notes mais seulement 2/5 pour Cinelive. Surement un film un peu intello.
Le film se lance direct, pas de plan d'exposition ni fioriture de ce genre, juste Justin Timberlake et sa Olivia Wilde de maman..errr Wat? Ah ok, le scénar nous explique pendant 10 bonnes minutes, avec 2-3 girophares, que ce monde est régi par le temps. Il remplace l'argent, on travaille pour gagner un peu de temps et on peut vivre presque éternellement si on réside dans les hautes sphères étroites de la société. Un compteur se déclanche lors du 25e anniversaire des gens, même si on suppose en voyant la tête de certains acteurs que ce système n'a pas toujours existé.
Postulat de départ original, mais qui ne sera jamais vraiment exploité.
Les aspects géopolitique et biologique sont écartés, on ne sait pas comment ce système a été mis en place, ni s'il s'agit d'un dispositif purement électronique, au point de se demander pourquoi y a pas des hackeurs ou des anon qui ne s'amusent pas à lancer des attaques DDOS sur leur système.
Juste une bande de méchants, une seule, qui vole le temps de ces pauvres travailleurs de l'ère communiste en leur pointant un flingue sur la tempe et qui va courir après ce brave Justin, incarnation du bien, limite messianique.
Le scénario est neuneu de bout en bout, du moins les rares fois où il daigne se montrer. Le reste du temps, c'est un éloge du creux et de la connerie, où les rebondissements foireux se disputent aux running jokes totalement prévisibles et dispensables.
L'autre running joke cross movies, c'est la présence des gardiens du temps, ces flics du futur avec veste en cuir style goth sorti d'Equilibrium, eux-mêmes échappés de Matrix.
Heureusement, Olivia Wilde crève au début. Elle est mignonne hein (si on oublie sa ressemblance avec Carla Bruni), mais faut qu'elle s'habitue au fait qu'on l'aura oubliée dans 10 ans.
Les autres acteurs.
Elle:

lui:

et elle:

Happy car is happy
Le propos du film est grosso modo le même que celui des indignés de la Défense: faut renverser le système bancaire et/pour répartir les richesses. J'imagine le pitch fait aux producteurs:
_on va faire un remake de Robin des bois avec des costards, des vestes en cuir et des flingues... et des trabans avec des lumières style K2000 mais blanches les lumières.
_on a pas déjà fait ça avec D'Artagnan l'année dernière?
_on avait plus de budget pour les voitures monsieur.
_ok, bah banco alors!
Les cinéastes avertis apprécieront les références à des chefs d'oeuvre du 7e art tels qu'Over the top, le film avec Stallone en routier qui fait des bras de fer. Comme ça ne suffisait pas, y a aussi du Bonnie and Clyde dedans. Stallone dans Bonnie and Clyde, ça transpirerait la classe ça!

Perruque or not perruque?
Un petit tour préalable sur Allociné pour voir les notes de la presse: plusieurs bonnes notes mais seulement 2/5 pour Cinelive. Surement un film un peu intello.
Le film se lance direct, pas de plan d'exposition ni fioriture de ce genre, juste Justin Timberlake et sa Olivia Wilde de maman..errr Wat? Ah ok, le scénar nous explique pendant 10 bonnes minutes, avec 2-3 girophares, que ce monde est régi par le temps. Il remplace l'argent, on travaille pour gagner un peu de temps et on peut vivre presque éternellement si on réside dans les hautes sphères étroites de la société. Un compteur se déclanche lors du 25e anniversaire des gens, même si on suppose en voyant la tête de certains acteurs que ce système n'a pas toujours existé.
Postulat de départ original, mais qui ne sera jamais vraiment exploité.
Les aspects géopolitique et biologique sont écartés, on ne sait pas comment ce système a été mis en place, ni s'il s'agit d'un dispositif purement électronique, au point de se demander pourquoi y a pas des hackeurs ou des anon qui ne s'amusent pas à lancer des attaques DDOS sur leur système.
Juste une bande de méchants, une seule, qui vole le temps de ces pauvres travailleurs de l'ère communiste en leur pointant un flingue sur la tempe et qui va courir après ce brave Justin, incarnation du bien, limite messianique.
Le scénario est neuneu de bout en bout, du moins les rares fois où il daigne se montrer. Le reste du temps, c'est un éloge du creux et de la connerie, où les rebondissements foireux se disputent aux running jokes totalement prévisibles et dispensables.
L'autre running joke cross movies, c'est la présence des gardiens du temps, ces flics du futur avec veste en cuir style goth sorti d'Equilibrium, eux-mêmes échappés de Matrix.
Heureusement, Olivia Wilde crève au début. Elle est mignonne hein (si on oublie sa ressemblance avec Carla Bruni), mais faut qu'elle s'habitue au fait qu'on l'aura oubliée dans 10 ans.
Les autres acteurs.
Elle:

lui:

et elle:

Happy car is happy
Le propos du film est grosso modo le même que celui des indignés de la Défense: faut renverser le système bancaire et/pour répartir les richesses. J'imagine le pitch fait aux producteurs:
_on va faire un remake de Robin des bois avec des costards, des vestes en cuir et des flingues... et des trabans avec des lumières style K2000 mais blanches les lumières.
_on a pas déjà fait ça avec D'Artagnan l'année dernière?
_on avait plus de budget pour les voitures monsieur.
_ok, bah banco alors!
Les cinéastes avertis apprécieront les références à des chefs d'oeuvre du 7e art tels qu'Over the top, le film avec Stallone en routier qui fait des bras de fer. Comme ça ne suffisait pas, y a aussi du Bonnie and Clyde dedans. Stallone dans Bonnie and Clyde, ça transpirerait la classe ça!
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