Les mangas désactivent des capacités cérébrales innées
Les mangas désactivent des capacités cérébrales innées
Les mangas désactivent des capacités cérébrales innées.
C'est logique : en temps normal, dans la vie de tous les jours, les gens n'ont pas une grosse tête ni des gros yeux. Pour identifier l'expressivité faciale, notre cerveau a le réflexe d'y être plus attentif que le reste. Mais le manga, en offrant ce grossissement de l'expressivité faciale neutralise et modifie ce réflexe de précision dans la perception. Il nous montre en très gros l'expressivité altérant le mécanisme innée de perception faciale.
Plus simplement : le cerveau se dit "on m'offre l'expressivité en très gros, donc je n'ai plus besoin de ce réflexe". Ce réflexe n'étant plus stimulé en face de l'expressivité, il perd de son potentiel.
Résultat des courses, les fans de manga doivent faire un effort supplémentaire pour analyser l'expressivité faciale dans la vie de tous les jours, ils doivent faire eux-même ce que leur cerveau a désactivé en s'adaptant aux mangas. C'est effort consomme une énergie et l'individu est amené à rapidement en faire abstraction, souvent par honte ou simplement par incompréhension. Il y a ainsi détournement d'énergie mentale et confusion dans les structures psychiques : une structure qui n'est pas faite pour ce rôle de perception remplace celle qui était faites pour celui-ci car cette structure psychique a été ainsi endormi et aurait besoin pour re-fonctionner correctement d'une simple rééducation.
Bien sûr, il ne s'agît pas d'exagérer ce phénomène et la critique des mangas juste pour cela. La chose ne se produit pas automatiquement, il faut relativiser. C'est une question d'adaptation, qui dépend d'un certain temps d'exposition et existe visiblement seulement dans le cadre où un individu ne compense pas ce phénomène simplement en passant davantage de temps face à la réalité.
Mais il est évident que ce phénomène joue beaucoup dans l'addiction aux mangas et est à mettre en cause relativement au simple fait de cet addiction et de l'enfermement passionnel : ceux qui lisent beaucoup de manga subissent cette situation au quotidien où ils doivent faire cet effort de perception, ce qui, en ne comprenant pas la cause de ce phénomène, les amène à juger négativement le monde réel et donc à s'enfermer encore plus dans les mangas.
Ce fait n'est pas pour le moins négligeable. Dire que "les mangas sont une perversion aliénante" est tout autant exagéré que de dire que "les mangas sont totalement inoffensif pour n'importe qui sans jamais créer aucune conséquence pour l'individu et qu'il n'y aurait dedans aucune technique de manipulation mentale à but addictif", on en conviendra. En effet, en se plaçant du point de vue de l'artiste, celui-ci recherche le succès, et n'hésite à jouer de la subtilité, à souvent tester des combinaisons au hasard et se contente de dire que son oeuvre est bien lorsqu'elle a du succès. L'artiste use et abuse de techniques mentales d'addiction, c'est même son travail et c'est cela qui va déterminer son salaire. La question du pourquoi du comment ça a du succès est alors déplorablement négligeable pour l'artiste. Quand aux éditeurs, dans le cadre de leur politique marketing, on peut se demander si eux n'aurait pas conscience de ce phénomène, puisqu'ils constatent que c'est ce qui leur rapporte et se contente de prétendre qu'une oeuvre qui rapporte est une oeuvre satisfaisante pour le consommateur, quitte à se limiter aux conséquences de l'oeuvre dans le cadre de l'oeuvre seulement sans se demander quel sont les post-conséquences, qu'ils constatent facilement (c'est un fait : les otakus sont pauvres en amour). La difficile vérifiabilité concrète de ce phénomène, puisqu'existant avant tout dans un lieu plutôt inaccessible qu'est le cerveau et qu'il n'y a pas encore d'IRM dans les tribunaux, ainsi que le fait même que ce type d'accusation rentre dans le cadre de l'amour-propre du consommateur, qu'on dit alors libre mais dont on n'explique pas volontairement les conséquences de ses actes dit libre, participent d'autant plus à cette probable politique de l'autruche commerciale.
C'est logique : en temps normal, dans la vie de tous les jours, les gens n'ont pas une grosse tête ni des gros yeux. Pour identifier l'expressivité faciale, notre cerveau a le réflexe d'y être plus attentif que le reste. Mais le manga, en offrant ce grossissement de l'expressivité faciale neutralise et modifie ce réflexe de précision dans la perception. Il nous montre en très gros l'expressivité altérant le mécanisme innée de perception faciale.
Plus simplement : le cerveau se dit "on m'offre l'expressivité en très gros, donc je n'ai plus besoin de ce réflexe". Ce réflexe n'étant plus stimulé en face de l'expressivité, il perd de son potentiel.
Résultat des courses, les fans de manga doivent faire un effort supplémentaire pour analyser l'expressivité faciale dans la vie de tous les jours, ils doivent faire eux-même ce que leur cerveau a désactivé en s'adaptant aux mangas. C'est effort consomme une énergie et l'individu est amené à rapidement en faire abstraction, souvent par honte ou simplement par incompréhension. Il y a ainsi détournement d'énergie mentale et confusion dans les structures psychiques : une structure qui n'est pas faite pour ce rôle de perception remplace celle qui était faites pour celui-ci car cette structure psychique a été ainsi endormi et aurait besoin pour re-fonctionner correctement d'une simple rééducation.
Bien sûr, il ne s'agît pas d'exagérer ce phénomène et la critique des mangas juste pour cela. La chose ne se produit pas automatiquement, il faut relativiser. C'est une question d'adaptation, qui dépend d'un certain temps d'exposition et existe visiblement seulement dans le cadre où un individu ne compense pas ce phénomène simplement en passant davantage de temps face à la réalité.
Mais il est évident que ce phénomène joue beaucoup dans l'addiction aux mangas et est à mettre en cause relativement au simple fait de cet addiction et de l'enfermement passionnel : ceux qui lisent beaucoup de manga subissent cette situation au quotidien où ils doivent faire cet effort de perception, ce qui, en ne comprenant pas la cause de ce phénomène, les amène à juger négativement le monde réel et donc à s'enfermer encore plus dans les mangas.
Ce fait n'est pas pour le moins négligeable. Dire que "les mangas sont une perversion aliénante" est tout autant exagéré que de dire que "les mangas sont totalement inoffensif pour n'importe qui sans jamais créer aucune conséquence pour l'individu et qu'il n'y aurait dedans aucune technique de manipulation mentale à but addictif", on en conviendra. En effet, en se plaçant du point de vue de l'artiste, celui-ci recherche le succès, et n'hésite à jouer de la subtilité, à souvent tester des combinaisons au hasard et se contente de dire que son oeuvre est bien lorsqu'elle a du succès. L'artiste use et abuse de techniques mentales d'addiction, c'est même son travail et c'est cela qui va déterminer son salaire. La question du pourquoi du comment ça a du succès est alors déplorablement négligeable pour l'artiste. Quand aux éditeurs, dans le cadre de leur politique marketing, on peut se demander si eux n'aurait pas conscience de ce phénomène, puisqu'ils constatent que c'est ce qui leur rapporte et se contente de prétendre qu'une oeuvre qui rapporte est une oeuvre satisfaisante pour le consommateur, quitte à se limiter aux conséquences de l'oeuvre dans le cadre de l'oeuvre seulement sans se demander quel sont les post-conséquences, qu'ils constatent facilement (c'est un fait : les otakus sont pauvres en amour). La difficile vérifiabilité concrète de ce phénomène, puisqu'existant avant tout dans un lieu plutôt inaccessible qu'est le cerveau et qu'il n'y a pas encore d'IRM dans les tribunaux, ainsi que le fait même que ce type d'accusation rentre dans le cadre de l'amour-propre du consommateur, qu'on dit alors libre mais dont on n'explique pas volontairement les conséquences de ses actes dit libre, participent d'autant plus à cette probable politique de l'autruche commerciale.
- parotaku
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Chouette, je tardais de lire la prochaine Frie-andi-ch
En plus, il explique enfin d'où vient son sens inné de la déduction didactique : la boucle est bouclée




Rom maïcraane o maïcraane melkeszants...
ABONNEZ-VOUS A NOLIFE !!
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...tout comme de nombreux personnages de bande-dessinée franco-belge ont des points noirs pour signifier les yeux un ovale pour la tête et une saucisse knacki pour le nez...et personne n'y trouve rien à redire.





j'ai quand même l'impression que tu as une vision stéréotypée du manga.
Entre le kodomo manga, le shônen manga, shôjo manga, seinen manga, gekiga,seijin manga etc... il existe de grandes variations stylistiques tant narratives que graphiques.






...Si tu as encore un doute, tu peux toujours visiter le musée du manga à Kyoto..il est trés intéressant
..+ de 200 000 ouvrages de violence sexe et gros yeux!
...bon allez t'as quand même droit à la Nyan nyan song..
tu l'as bien mérité (tu peux faire la chorégraphie):
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=sZX44ha2 ... ure=relmfu[/youtube]
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j'ai quand même l'impression que tu as une vision stéréotypée du manga.
Entre le kodomo manga, le shônen manga, shôjo manga, seinen manga, gekiga,seijin manga etc... il existe de grandes variations stylistiques tant narratives que graphiques.






...Si tu as encore un doute, tu peux toujours visiter le musée du manga à Kyoto..il est trés intéressant
..+ de 200 000 ouvrages de violence sexe et gros yeux!

...bon allez t'as quand même droit à la Nyan nyan song..
tu l'as bien mérité (tu peux faire la chorégraphie):
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=sZX44ha2 ... ure=relmfu[/youtube]
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/////****>> Pokéman Ga, c'est diabolique ça transforme les enfants!<<****/////
- Poney Indien
- Beat Takeshi
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- Enregistré le : jeu. 14 mai 2009, 11:03
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