Benjamin Renner (Ernest & Célestine, Grand Méchant Renard)
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Oui, un parcours extraordinaire
http://www.la-croix.com/Culture/Cinema/ ... -12-887063

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"L'accueil" ? Hé bien voilà !Ravi de cette première expérience enrichissante mais épuisante (quatre ans de travail acharné !), Benjamin Renner travaille aujourd’hui sur des projets personnels. Il conçoit actuellement un livre numérique interactif sur le thème du Petit Chaperon rouge. « J’aimerais le mettre à disposition gratuitement. Je suis un enfant du piratage. J’ai acquis une partie de ma culture artistique grâce à Internet », confie-t-il. Avant de s’atteler à d’autres œuvres aussi ambitieuses qu’Ernest et Célestine, il attend de voir l’accueil que le public va réserver à ce film, se conformant à la morale d’une fable bien connue : « Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage. »
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- Tsuka
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Une petite compil d'artworks sur Tumblr pour fêter le César (et teaser un peu les étrangers) :
http://ca-tsuka.tumblr.com/post/4399243 ... r-award-of

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J'ai trouvé des infos sur les bonus du combo :Florent a écrit :J'espère de belles éditions (voire un coffret collector avec notamment le CD de la BO et un bouquin sur la création du film).
Rencontre avec les réalisateurs : interview (8’40”)
Making of (51’58”)
Bande-annonce (1’56”)
5 cartes postales du film
http://www.dvdfr.com/dvd/f156043-ernest ... stine.html
Un long making-of c'est chouette ça !
- Tsuka
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J'ai repéré la sortie ce vendredi 14 février d'un ouvrage sur les coulisses du film d'Ernest & Célestine. Publié par les Editions de L'Oeil dans leur collection "Mémoire de César", ce livre se nomme Ernest & Célestine, et Gabrielle et Benjamin et Didier et Daniel et les autres..., et comporte apparemment pas mal de témoignages et artworks comme on peut l'apercevoir dans la preview sur le site de l'éditeur.
L'occasion pour moi de saluer le travail du producteur Didier Brunner, qui a produit le film via la société Les Armateurs qu'il a fondé en 1994, et qu'il a justement quitté hier suite à une annonce où il "lève le pied (un seul pas les deux !)". Merci pour tous les long-métrages d'animation que vous avez porté, monsieur.




Synopsis : Ernest et Célestine s'est vu décerner en février 2013 le César du meilleur film d'animation, petite nouvelle parmi les statuettes : la première de ce genre fut attribuée à L'Illusionniste de Sylvain Chomet en 2011. Cette récompense nouvelle venue (bien qu'un César du Meilleur court-métrage d'animation eut existé de 1977 à 1990) pointe avec justesse l'importance artistique et publique du cinéma d'animation, inventé par Émile Cohl en... 1907 ! 107 ans plus tard, un ours et une souris viennent animer la collection « Mémoire de César »... Tout le monde sait qu'Ernest est un ours et Célestine une souris, et que ces deux-là vivent ensemble quand bien même cela ne se fait pas. Tout le monde sait cela, parce que tout le monde a lu les livres de Gabrielle Vincent, la maman de ces deux magnifiques personnages. Il y a ceux à qui leurs parents les ont lus ; ceux qui les ont lus à leurs enfants ; ceux, enfants, qui les ont relus sans leurs parents, cachés sous la couette pour ne pas s'entendre dire : « Tu n'en as pas assez de relire sans cesse les mêmes livres ? » ; enfin il y a ceux, parents, qui après avoir confisqué à leur enfant les « Ernest et Célestine » qu'il relisait pour la centième fois, se sont affalés sur leur canapé... ont ouvert les livres, parce qu'ils ne se souvenaient pas très bien de... et puis les ont relus. Ce n'est pas la moindre réussite du film que d'avoir le même goût de revenez-y souvent, la même saveur de bonbon acidulé dont on ne peut plus se passer, demandez à Ernest... Et pour y revenir, voici un livre animé (des meilleures intentions) qui raconte « image par image » et mot à mot l'histoire d'un film en forme de lien entre le monde d'en haut et celui d'en bas, mais aussi entre les mondes de Gabrielle Vincent, Daniel Pennac, Benjamin Renner... et d'autres encore.
L'occasion pour moi de saluer le travail du producteur Didier Brunner, qui a produit le film via la société Les Armateurs qu'il a fondé en 1994, et qu'il a justement quitté hier suite à une annonce où il "lève le pied (un seul pas les deux !)". Merci pour tous les long-métrages d'animation que vous avez porté, monsieur.




Synopsis : Ernest et Célestine s'est vu décerner en février 2013 le César du meilleur film d'animation, petite nouvelle parmi les statuettes : la première de ce genre fut attribuée à L'Illusionniste de Sylvain Chomet en 2011. Cette récompense nouvelle venue (bien qu'un César du Meilleur court-métrage d'animation eut existé de 1977 à 1990) pointe avec justesse l'importance artistique et publique du cinéma d'animation, inventé par Émile Cohl en... 1907 ! 107 ans plus tard, un ours et une souris viennent animer la collection « Mémoire de César »... Tout le monde sait qu'Ernest est un ours et Célestine une souris, et que ces deux-là vivent ensemble quand bien même cela ne se fait pas. Tout le monde sait cela, parce que tout le monde a lu les livres de Gabrielle Vincent, la maman de ces deux magnifiques personnages. Il y a ceux à qui leurs parents les ont lus ; ceux qui les ont lus à leurs enfants ; ceux, enfants, qui les ont relus sans leurs parents, cachés sous la couette pour ne pas s'entendre dire : « Tu n'en as pas assez de relire sans cesse les mêmes livres ? » ; enfin il y a ceux, parents, qui après avoir confisqué à leur enfant les « Ernest et Célestine » qu'il relisait pour la centième fois, se sont affalés sur leur canapé... ont ouvert les livres, parce qu'ils ne se souvenaient pas très bien de... et puis les ont relus. Ce n'est pas la moindre réussite du film que d'avoir le même goût de revenez-y souvent, la même saveur de bonbon acidulé dont on ne peut plus se passer, demandez à Ernest... Et pour y revenir, voici un livre animé (des meilleures intentions) qui raconte « image par image » et mot à mot l'histoire d'un film en forme de lien entre le monde d'en haut et celui d'en bas, mais aussi entre les mondes de Gabrielle Vincent, Daniel Pennac, Benjamin Renner... et d'autres encore.