Et à propos des films ?
Je conseille de voir cette fiche de Osmosis Jones, et ensuite de voir le film, il est intéressant de voir que certains concept seront repris dans Vice-Versa de Pixar
http://www.planete-jeunesse.com/fiche-2 ... jones.html
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Disney sait comment appâter le fan de Star Wars :
http://www.fanactu.com/actualites/cinem ... uchee.html
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- Den X
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Comment perdre toute crédibilité en quelques mots ?M.Bobine a écrit :...un soucis du détail qui frôle carrément la névrose...

Ce film contient 3 incohérences à la minute. C'est ça le soucis du détail ?
Viendez me voir animer en live sur Twitch: https://www.twitch.tv/den_xvii/
@Den X: C'est dire le niveau critique des critiques actuelles.... Tout est bon, le moindre avis négatif est considéré comme du trolling, aujourd'hui tout ce vaut.
Je n'ai pas compris le succès de ce film auprès du public averti, qui est un mauvais remake sans l'assumer d'Evangelion à la sauce Tomoyuki Tanaka, passé au broyeur Super Sentinel.
Je ne l'ai pas lu, peut-être est-ce le cas, mais je ne serais pas surpris d'apprendre un jour que PR est le rejeton du projet avorté d'un Evangelion live américain... Et Guillermo Del Torro est un bourrin, il est issue de cette génération de réalisateurs qui aurait dû rester sur les téléfilms ou les séries B. (Blade 2!!! Quand même!: ) et qui a été propulsé sur le devant de la scène pour produire de l'intertainment abrutissant. (les réalisateurs géniaux existent et ce ne sont pas ceux qui sont mis en avant depuis 15 ans.)
Je n'ai pas compris le succès de ce film auprès du public averti, qui est un mauvais remake sans l'assumer d'Evangelion à la sauce Tomoyuki Tanaka, passé au broyeur Super Sentinel.
Je ne l'ai pas lu, peut-être est-ce le cas, mais je ne serais pas surpris d'apprendre un jour que PR est le rejeton du projet avorté d'un Evangelion live américain... Et Guillermo Del Torro est un bourrin, il est issue de cette génération de réalisateurs qui aurait dû rester sur les téléfilms ou les séries B. (Blade 2!!! Quand même!: ) et qui a été propulsé sur le devant de la scène pour produire de l'intertainment abrutissant. (les réalisateurs géniaux existent et ce ne sont pas ceux qui sont mis en avant depuis 15 ans.)
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J'ai bien aimé l'échine du Diable et le labyrinthe de Pan.
Du coup j'ai du mal à croire que c'est le même réal qui a fait Pacific Rim et Blade 2.

Du coup j'ai du mal à croire que c'est le même réal qui a fait Pacific Rim et Blade 2.

Viendez me voir animer en live sur Twitch: https://www.twitch.tv/den_xvii/
C'est vrai que l'échine du Diable est "moins pire", et c'est un film un peu à part dans sa filmographie, et sans doute que l'équipe technique, et les collaborateur sur l'écriture y sont pour quelque chose, il faudrait faire une comparaison. (de mon point de vue, le labyrinthe de Pan est typiquement un film concept, issue d'un développement entre professionnel, ce n'est pas une œuvre d'auteur comme peut l'être Nightmare before Christmass, Edward aux mains d'argent, Donnie Darko...
Un réalisateur qui a des projet jusqu’en 2020, c'est du cinéma à la chaîne, et les remake au bout d'un moment c'est soulant. Le cinéma à cessé de créer du mythe depuis Matrix, ou même LOR et Harry Potter qui sont des chefs d’œuvre de réalisations sont des adaptations.
On vit la même crise dans l'animation japonaise où les œuvre originale hors adaptation sont de plus en plus rare.
Mais vraiment Guillermo del Toro est simplement un prestataire de service salarié par les studios. Rien de plus rien de moins. Ce qui n’empêche qu'il puisse faire dans un contexte plus libre des œuvres de qualité, mais malheureusement il ne le fait pas.
Un réalisateur qui a des projet jusqu’en 2020, c'est du cinéma à la chaîne, et les remake au bout d'un moment c'est soulant. Le cinéma à cessé de créer du mythe depuis Matrix, ou même LOR et Harry Potter qui sont des chefs d’œuvre de réalisations sont des adaptations.
On vit la même crise dans l'animation japonaise où les œuvre originale hors adaptation sont de plus en plus rare.
Mais vraiment Guillermo del Toro est simplement un prestataire de service salarié par les studios. Rien de plus rien de moins. Ce qui n’empêche qu'il puisse faire dans un contexte plus libre des œuvres de qualité, mais malheureusement il ne le fait pas.
Voilà chose faite, et je vais essayer d'être complaisant.
C'est un bon film de série B genre Vampires/Kungfu(+bonus prises de catch)/cyber/streetmusic.
Mais depuis quand les réalisateurs de série B sont-ils pris au sérieux au point d'en faire l'éloge en tant qu'auteur? (depuis longtemps mon cher!... -_-)On peut aimer les série B et les trouver distrayantes, mais de là à en faire des auteurs d’œuvres cinématographiques c'est là un marqueur de notre époque où tout est comparable sous le critère de la satisfaction personnelle comme échelle d'analyse et de valeur. Si un divertissement peut prendre la forme du cinéma, ce n'est pas automatiquement du cinéma. Et si on peut discuter sur la valeur d'une œuvre d'art, un divertissement est réussi à partir du moment où il est divertissant, et là on peut tout comparer, sans oublier de préciser le critère.
Les films de Del torro ne sont pas une œuvre, c'est un cocktail qui ne transcende pas les sources avec lesquelles ses films tentent de se construire un corps. À la fin des années 90, c'était la grande mode du jeux de rôle Vampire, où plusieurs époque se mêlaient, il y a eu beaucoup de films qui ont tenté de s'en inspirer en empruntant les formes sans arriver à en exprimer l'essence. Le mythe du vampire c'est par exemple le châtiment d'immortalité, une solitude si grande qu'elle enferme dans une nuit infini, où l'on traverse des "océans d’éternités". Cet âge avancé où ses perceptions sont modifiées donne au vampire une sagesse qu'il ne peut partager avec personne, une sagesse qui l'amène à se répugner du monstre qu'il est, incapable d'exprimer l'éphémère qui seul transcende la beauté et la vertu. Ce qui est précieux est fragile, et lui n'est ni l'un ni l'autre.
Ceci dit les américains ne peuvent pas comprendre ces mythes européens, on ne peut pas le leurs reprocher, c'est un fait culturel. Celui qui s'en est le plus approché c'est Burton, qui lui a su dépasser les mythes en créant d'authentiques archétypes modernes comme le sont Beattle Juice, Édouard ou Jack. Et Del Torro ne tient aucune comparaison, il compile les choses sans les aimer. Ces films sont le résultats de brainstorming entre professionnels. C'est un authentique réalisateur de divertissement, et il le fait très bien aux vues des résultats du box office.
p.s: détail qui m'avait échappé, les ninjas du films ont été savamment adaptés dans le FEAR.
C'est un bon film de série B genre Vampires/Kungfu(+bonus prises de catch)/cyber/streetmusic.
Mais depuis quand les réalisateurs de série B sont-ils pris au sérieux au point d'en faire l'éloge en tant qu'auteur? (depuis longtemps mon cher!... -_-)On peut aimer les série B et les trouver distrayantes, mais de là à en faire des auteurs d’œuvres cinématographiques c'est là un marqueur de notre époque où tout est comparable sous le critère de la satisfaction personnelle comme échelle d'analyse et de valeur. Si un divertissement peut prendre la forme du cinéma, ce n'est pas automatiquement du cinéma. Et si on peut discuter sur la valeur d'une œuvre d'art, un divertissement est réussi à partir du moment où il est divertissant, et là on peut tout comparer, sans oublier de préciser le critère.
Les films de Del torro ne sont pas une œuvre, c'est un cocktail qui ne transcende pas les sources avec lesquelles ses films tentent de se construire un corps. À la fin des années 90, c'était la grande mode du jeux de rôle Vampire, où plusieurs époque se mêlaient, il y a eu beaucoup de films qui ont tenté de s'en inspirer en empruntant les formes sans arriver à en exprimer l'essence. Le mythe du vampire c'est par exemple le châtiment d'immortalité, une solitude si grande qu'elle enferme dans une nuit infini, où l'on traverse des "océans d’éternités". Cet âge avancé où ses perceptions sont modifiées donne au vampire une sagesse qu'il ne peut partager avec personne, une sagesse qui l'amène à se répugner du monstre qu'il est, incapable d'exprimer l'éphémère qui seul transcende la beauté et la vertu. Ce qui est précieux est fragile, et lui n'est ni l'un ni l'autre.
Ceci dit les américains ne peuvent pas comprendre ces mythes européens, on ne peut pas le leurs reprocher, c'est un fait culturel. Celui qui s'en est le plus approché c'est Burton, qui lui a su dépasser les mythes en créant d'authentiques archétypes modernes comme le sont Beattle Juice, Édouard ou Jack. Et Del Torro ne tient aucune comparaison, il compile les choses sans les aimer. Ces films sont le résultats de brainstorming entre professionnels. C'est un authentique réalisateur de divertissement, et il le fait très bien aux vues des résultats du box office.
p.s: détail qui m'avait échappé, les ninjas du films ont été savamment adaptés dans le FEAR.
- velo vert
- Génération Tchernobyl
- Messages : 7989
- Enregistré le : mer. 28 janv. 2004, 19:49
- Localisation : Made in Jussieu
https://www.youtube.com/watch?v=XWtH7anz7io ça faisait longtemps que j'avais pas été curieux d'aller une VF.