shotaro ishinomori

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vert

shotaro ishinomori

Message par vert »

connais-tu les titres des livres de Shotaro Ishinomori ?

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jem
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Message par jem »

On a même pas le droit à quatres propositions ?
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velo vert
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Message par velo vert »

J'aurais bien repondu mais apperment tu t'adressais aune seule personne, et quelqu'un a deja repondu.

obi wan kenobi: nan, c'est un film de Shotaro Ishinomori, faut pas tout confondre.

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jem
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Message par jem »

Raaah je le savais, j'aurais du demander l'avis du public.
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velo vert
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Message par velo vert »

t'aurais pu aussi me telephoner.




(oui, je m'invente des amis, paskeu il faut garder le moral ^-^)

Kara
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Message par Kara »

Son titre le plus connu est CYBORG 009 dont un film est sorti en VHS chez nous dans les années 80. D'après mes souvenirs, il avait de la gueule !

Sinon, ce spécialiste de la SF à sorti un bouquin dans les anées 80 qui encore aujourd'hui ferait office d'OVNI dans les librairies française : LES SECRETS DE L'ECONOMIE JAPONAISE. Un manga de salary man très bien fichu qui raconte les mésaventures de deux cadres sup dans un grosse boîte nippone. Chaque bas de page était complété par des notes très détaillées et précises sur l'historique et la "l'actualité" socio-politiquo-historique du Japon. Un classique désormais totalement introuvable à l'heure actuel, surtout que l'éditeur (Albin Michel) ne faisait pas d'archivage à l'époque d'après ce que l'on m'en à dit...

Voici d'autres titres plus ou moins connu de ce monsieur :
Genma Wars
Gilgamesh (si si !)
Kamen Rider (créateur et participants à tous ces ersatz TV et film)
Kikaider (créateur)
Ultra Man VS Kamen Rider
The Skull Man
Armagueddon (celui de Rin Tarô - scénariste et producteur)

vala vala...

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Chron
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Message par Chron »

Tiré d'un de mes vieux textes (c'est pas parfait):
ONODERA Shôtarô, de son vrai nom, naît le 25 janvier 1938, dans une petite ville de la préfecture de Miyagi. ISHINOMORI, pseudonyme quil changera parfois selon les périodes en ISHIMORI, vient du nom du quartier où il habitait, enfant. Il commence à dessiner des manga très tôt et sa première uvre, Nikyû Tenshi (????, Ange de second ordre) est publiée en 1954 - il est encore lycéen - dans le magazine Manga Shônen (Manga pour les garçons). Ce magazine ne paraitra que peu de temps, mais de nombreux mangaka, et non des moindres , y font leurs débuts.
Ses études terminées, il sintègre au groupe de dessinateurs qui suit TEZUKA au Tokiwasô, lappartement (en fait ils finirent par occuper un étage en entier) en piteux état qui fut leur premier pied à terre à Tôkyô. Après quelques tentatives en tant que romancier, il devient réellement célèbre en juillet 1964 avec son manga de science-fiction : Cyborg 009 (?????009).
Ce manga raconte lhistoire de SHIMAMURA Jô, un jeune homme qui a été transformé en cyborg contre sa volonté afin de servir de soldat ultime (cest à dire censé être une machine de guerre invicible et sans défaut) au service du malfaisant Black Ghost. Se rebellant contre leur «maître», Jô et huit autres personnes, comme lui cybernétisés contre leur gré, forment un groupe aux pouvoirs invincibles et se battront contre de nombreux ennemis. Ce scénario, devenu un classique de la science-fiction, va servir de modèle pour la plupart des histoires mettant en scène un groupe de héros courageux. Ce manga remportera dailleurs en 1967 le prix Kôdansha, créé sept ans plus tôt, et bénéficiera dune constante popularité jusquaux derniers épisodes publiés en 1970. Il faut mentionner aussi les nombreuses adaptations en dessin animé dont Cyborg 009 a été lobjet, dont trois pour le cinéma et trois pour la télévision, la plus récente datant de 2001.
Le succès de lauteur ne sera jamais démenti au gré de ses diverses expériences : en 1968, il remporte le treizième prix Shôgakkan pour son manga Jun (???) ainsi quen 1988 pour ses uvres Manga nihon keizai nyûmon (????????, Les secrets de léconomie japonaise en bandes dessinées) et Hotel (???). De ce dessinateur éminement prolifique, la rumeur prétend quil pouvait dessiner quelque 500 pages par mois. A ce rythme, il est évident quil se soit entouré dune dizaine dassistants qui souvent ne pouvaient soutenir la cadence plus de deux mois daffilée.
La productivité légendaire dISHINOMORI sest exercée dans les styles les plus divers : récits de samourai type jidai geki (???????, Sabu to ichi torimonu hikae), du monde des affaires actuel (?????, Kurodaiku), ou la vie quotidienne dun personnel hôtelier (Hotel). Lécclectisme de son inspiration a également donné naissance à des manga aussi surprenants que Manga nihon keizai nyûmon, ou encore, assisté de nombreux conseillers scientifiques, une histoire du Japon en 48 volumes, Manga nihon no rekishi (??????? Histoire du Japon en manga) [...] Ne suivant pas TEZUKA dans la représentation du corps humain, ISHINOMORI ne jouera pas sur les proportions mais sur la souplesse du corps des personnages quil dessine. Dans Kamen Rider, le héros en plein combat fait preuve dune souplesse et dune agilité défiant tout «réalisme» alors que le dessin en lui même reste proportionné «réellement». Il peut aussi utiliser un style très influencé par les comics américains, entre autres pour les scènes de combats : parmi les techniques quil a popularisées, il faut citer la décomposition de certains mouvements du héros (une chute par exemple) à lintérieur dune même page, voire sur plusieurs pages. [...]ISHINOMORI donne aussi une grande importance à la composition de ses planches. Les uvres dISHINOMORI ont souvent aussi été adaptées pour le petit écran non pas sous forme de dessins animés, mais de séries «live» (Kamen Rider, Kikaider, Message From Space-SanKuKai). Ainsi après Cyborg 009, le héros le plus connu du mangaka est sans aucun doute Kamen Rider (??????, Masked Rider). Contrairement à ce que lon trouve dans ses uvres habituelles, Kamen Rider est un héros solitaire. Du moins dans laction, car il bénéficie heureusement par ailleurs du soutien de quelques amis.
Kamen Rider est lhistoire dun jeune homme, HONGÔ Takeshi, qui après un malheureux accident de la circulation, est récupéré par lorganisation Shocker qui le transformera en arme ultime à linstar de Cyborg 009. Il parvient heureusement à séchapper avant de subir un lavage de cerveau complet et décide de détruire, fût-ce au prix de sa vie, cette organisation qui lui a volé son humanité. Si ce héros à tête de fourmi, chevauchant sa moto lécharpe au vent, reste gravé dans le cur des Japonais, cest en grande partie grâce à la série télévisée live qui fut tirée de ce manga. Tous les spectateurs se souviennent de la scène de transformation du héros criant :«Henshin» (??, transformation) avant de sélancer dans les airs et de retomber sur ses pieds transformé en Kamen Rider. Dépassant le cadre de cette seule série, Kamen Rider est devenu un genre à part entière qui sinscrit dans le courant qui est appelé Tokusatsu (??, Effets spéciaux) au Japon. Ces séries, dont le nom générique vient du fait quelles étaient basées sur les effets spéciaux, ont vu le jour au début des années 70, précédées au cinéma par les films de Godzilla qui furent créés dans les années 50. Les séries de Kamen Rider se succédent au Japon régulièrement à la télévision depuis la première diffusion de la série originale en 1971. Malgré une légère baisse au milieu des années 80, Kamen Rider connaît un spectaculaire regain de popularité ces dernières années. Bien que lauteur originel soit disparu, la série Kamen Rider Agito diffusé durant lannée 2001, sest imposée comme lune des séries susceptibles de respecter la saveur des uvres originales tout en les réactualisant, dotant dune nouvelle jeunesse des héros déjà populaires. Laspect commercial est, cela va sans-dire, omniprésent dans les dernières séries. Elle na en commun avec luvre originale que le nom : procédé courant qui permet dassurer la rentabilité dune série qui naurait assurément pas connu le même succès sans cela.
ISHINOMORI est aussi le père, toujours dans la catégorie des séries destinées à un jeune public, des séries sentai (??? ????, séries descadron de combat) quil fonde en 1971 avec Himitsu sentai Goranger (??????????, Goranger, lescadron de combat secret). Ladaptation télévisée de ce manga fut diffusée en 1975. Ce types de séries sont dès lors diffusées sans interruption jusquà nos jours. Chaque série, qui comprend a peu près 52 épisodes, diffusée une seule fois, dure en effet un an. A ce terme, lhistoire sachève, et les héros qui nous ont «protégés» une année durant laissent place à une nouvelle série, un nouvel escadron.
Au delà de lapparente simplicité du thème, ces séries répondent à de nombreux codes quelles doivent strictement respecter. Leur principe consiste en effet à adapter pour un jeune public les codes des films de chambara (films mettant la plupart du temps en scène des rônin, samourais sans maîtres). ISHINOMORI a imaginé le concept de base des cinq jeunes gens se transformant en escadron coloré. Il est donc unanimement considéré comme le père des séries sentai. Néanmoins à partir de la troisième série de ce genre, il ne participera plus à lélaboration de ces séries, voire même nappréciera pas la direction quelles prirent.
On peut dire que la génération actuelle des Japonais de trente-quarante ans a grandi avec Kamen Rider et les séries sentai qui font en quelque sorte partie intégrante de leur patrimoine culturel. Il est certain quISHINOMORI, décédé le 28 janvier 1998, a en ce sens profondément marqué la culture populaire japonaise par sa créativité et son éclectisme. Pour lui le manga sappliquait à toute chose ; cette conception originale se manifeste dans lécriture inédite dont il dote le mot : délaissant les graphies existantes comme ???????????(manga) - aussi bien que le terme????, (Comic) aussi largement employé - il a créé la graphie ?? (manga) qui pourrait se traduire par : «limage universelle».
Kara>Genma Wars/Armagueddon

En fait, les deux viennent de Genma Taisen si je ne m'abuse, mais n'adaptent pas du tout la même partie du manga.
On peut noter aussi que l'un des premiers manga ( si ce n'est le premier) à être traduit en France fut : "Le vent du nord est comme le hennissement d'un cheval noir" en 1979 du même auteur.
@+
Chron
???, ??? ?? ?? ?? ???,???, ? ??? ?? ???

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jem
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Message par jem »

velo vert a écrit :t'aurais pu aussi me telephoner.
Après les deux derniers posts, tu comprendras que c'est pas forcément à toi que j'aurais pensé pour le téléphone ^___^.

Bon, maintenant on attends la réaction du YL s'il traine par là...
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YL

De retour...

Message par YL »

Chron a écrit :Tiré d'un de mes vieux textes (c'est pas parfait):
Jem a écrit :Bon, maintenant on attends la réaction du YL s'il traine par là...
Bon, puisqu'appel il y a :wink:, voici quelques éléments en désordre et sans caractère exhaustif...
ONODERA Shôtarô, de son vrai nom, naît le 25 janvier 1938, dans une petite ville de la préfecture de Miyagi. ISHINOMORI, pseudonyme quil changera parfois selon les périodes en ISHIMORI, vient du nom du quartier où il habitait, enfant.
La lecture de ce pseudonyme, longtemps ISHIMORI, sera modifiée par l'intéressé en ISHINOMORI à un moment donné, de façon a priori définitive, tout en induisant forcément un clivage temporel selon lequel l'usage de l'ancienne lecture garde un sens (lorsuq'il s'agit de désigner le personnage ou ses oeuvres de la période en question)...
Il commence à dessiner des manga très tôt et sa première uvre, Nikyû Tenshi (????, Ange de second ordre) est publiée en 1954 - il est encore lycéen - dans le magazine Manga Shônen (Manga pour les garçons).
Sans doute faut-il mentionner son activité dans le domaine, alors tout à fait neuf (et pour cause), de la publication non commerciale (auto-édition) : Bokujû itteki [Une goutte d'encre], tel est le titre [1] de ce qu'on désignera par défaut comme le "fanzine" qui le révèle à ses futurs pairs, les dessinateurs en ativité à l'époque, et suscite étonnement et enthousiasme de ses lecteurs (un public de passionnés de la première heure... :roll:) à travers le pays.

[1 : titre par ailleurs associé à une image chinoise classique de l'érudition, c'est également l'intitulé de l'un des quatres recueils de zuihitsu du poète MASAOKA Shiki (1867-1902)]
Léclectisme de son inspiration a également donné naissance à des manga aussi surprenants que Manga nihon keizai nyûmon, ou encore, assisté de nombreux conseillers scientifiques, une histoire du Japon en 48 volumes, Manga nihon no rekishi (??????? Histoire du Japon en manga) [...]
Soit une production de type documentariste en bande dessinée, dans une optique bien plus évoluée que ce qui peut exister en France, par exemple. Production centrée malgré tout, et de façon inévitable, sur un certain nombre de "figures" historiques, comme autant de vecteurs à une construction narrative et à une identification du lectorat...
Dépassant le cadre de cette seule série, Kamen Rider est devenu un genre à part entière qui sinscrit dans le courant qui est appelé Tokusatsu (??, Effets spéciaux) au Japon. Ces séries, dont le nom générique vient du fait quelles étaient basées sur les effets spéciaux, ont vu le jour au début des années 70, précédées au cinéma par les films de Godzilla qui furent créés dans les années 50.
On peut trouver sur le petit écran japonais des séries de ce registre dit du "tokusatsu" dès le milieu des années 1960, avec en particulier les travaux de TSUBURAYA EIji et d'USHIO Sôji...
les codes des films de chambara (films mettant la plupart du temps en scène des rônin, samourais sans maîtres).
Cette définition du chambara pourra paraître quelque peu restrictive... :wink:
Il est certain quISHINOMORI [...] a en ce sens profondément marqué la culture populaire japonaise par sa créativité et son éclectisme.
Point de vue partagé de manière unanime au Japon, et valable dans les limites d'un certain nombre de cadres et registres génériques établis au sens strict [ce dont un regard français risque hélas de remettre en cause "l'éclectisme", en particulier]...
Pour lui le manga sappliquait à toute chose ; cette conception originale se manifeste dans lécriture inédite dont il dote le mot : délaissant les graphies existantes comme ???????????(manga) - aussi bien que le terme????, (Comic) aussi largement employé - il a créé la graphie ?? (manga) qui pourrait se traduire par : «limage universelle».
Belle conclusion pour un solide travail de présentation !
Kara>Genma Wars/Armagueddon
En fait, les deux viennent de Genma Taisen si je ne m'abuse, mais n'adaptent pas du tout la même partie du manga.
"Genma taisen" est le titre d'une bande dessinée fantastique de HIRAI Kazumasa et ISHIMORI, dont HIRAI écrira également une série de romans (une vingtaine de volumes) au tournant des années 1980, avant la sortie en mars 1983 d'un long métrage de dessin animé, produit dans le flot des "films Kadokawa" sévissant à l'époque [une adaptation en série télévisée de dessin animé a apparemment aussi été produite en 2002].
Connu également sous le (sous-)titre exotisant "Harmagedon", imaginé par les Japonais (ainsi que l'atteste une orthographe hasardeuse), le film n'a pas à ma connaissance été supervisé en quoi que ce soit par ISHIMORI...
On peut noter aussi que l'un des premiers manga ( si ce n'est le premier) à être traduit en France fut : "Le vent du nord est comme le hennissement d'un cheval noir" en 1979 du même auteur.
Première publication française de BD japonaise en volume dont on ait pu trouver trace à ce jour [J.-P. JENNEQUIN a déjà indiqué l'existence de traductions de BD japonaise antérieures en parutions périodiques]. A noter qu'il s'agit là d'un seul album (48 pages), édité par Atoss TAKEMOTO et traduisant un fragment de Sabu to Ichi torimono hikae.

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Message par jem »

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Ces types sont tarés...
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Chron
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Dur de se remettre au boulot. ^^;

Message par Chron »

Merci des précisions. :)
YL a écrit :On peut trouver sur le petit écran japonais des séries de ce registre dit du "tokusatsu" dès le milieu des années 1960, avec en particulier les travaux de TSUBURAYA EIji et d'USHIO Sôji...
Tout à fait, je faisais référence ici aux séries Kamen Rider uniquement, c'est elles qui ont vu le jour dans les années 70 (plus exactement la première série de Rider a été diffusée à la télé à partir d'avril 71) et non au début du genre. (Par exemple, la première série de Gekkô Kamen diffusé à la télé en 1958). Mais en me relisant, je vois que j'étais pas très clair... ^^;
Cette définition du chambara pourra paraître quelque peu restrictive...

Oui, précipitation quand tu nous tiens. :oops:
Belle conclusion pour un solide travail de présentation !
Merci. (J'espère que c'est pas ironique au moins, sans smileys, le doute m'envahit un peu quand même ;) )
[une adaptation en série télévisée de dessin animé a apparemment aussi été produite en 2002].
Tout à fait sortie en box en France récemment sous le nom Ghemma Wars chez Kaze.
@+
Chron
???, ??? ?? ?? ?? ???,???, ? ??? ?? ???

vert

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Merci les gars. Même si la question n'était pas claire, vos réponses sont géniales. je vous fais signe si j'ai besoin d'autres infos.
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Kara
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Message par Kara »

Connu également sous le (sous-)titre exotisant "Harmagedon", imaginé par les Japonais (ainsi que l'atteste une orthographe hasardeuse), le film n'a pas à ma connaissance été supervisé en quoi que ce soit par ISHIMORI...
Bin en fait, il est apparement crédité comme producteur éxécutif (enfin d'après mes infos, j'ai pas traduit le générique, hein !). Aux USA ce titre est plus considéré comme une marque "honorifique" ou l'intéressé sera financièrement intérréssé aux rentrées d'argent mais il ne bossera pas forcément sur l'oeuvre même. Il est donc fort possible que notre auteur ai bénéficié de ce traitement...
Mais bon là je ne fais que supputer, hein ! mais vu qu'il est le "créateur original" de "l'histoire de base", faut bien qu'il touche quelques écus, le bougre.

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