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Chron
Salut Sébastien.Seb. K. a écrit :Je m'absente quelques temps et voilà que je me fait tirer dessus à boulet rouge ! Festival !
Pouvez précisez vos idées ma p'tite Dame , puisque vous semblez plus au courant que l'auteur concernant ses méthodes de travail ? (puisque vous devez avoir des preuves pour affirmer de telles allégations)
Je suis très curieux d'un coup !
C'est surtout que j'ai plus de choses à apprendre ici qu'à faire connaitre... Donc je m'instructionne...Camille a écrit :En même temps avec 17 messages, tu te fais plutôt discret ^^
L'idée dérangeante n'est pas tant de me donner des conseils, mais surtout de sous entendre que j'ai fais mon boulot par dessus le coude, je cite :C'est avec plaisir que je vais essayer d'argumenter mon propos.
Loin de moi l'idée de t'expliquer comment rediger des articles.
Par contre en tant que lectrice, j'ai quelques revendications à faire.
L'article m'a été donné à rédiger avec une base précise voulue par le redacteur en chef, qui a participé avec moi à l'élaboration finale du papier. Si ton info est juste, tu as oublié que Kana avait augmenté ses prix deux fois de suite l'année d'avant et que Tonkam augmentait les siens quelques temps après.En juin 2004, Akata/Delcourt annonce une augmentation du prix de ses titres de 5.50eur à 5.75eur et de 7.25eur à 7.50eur. C'est le seul éditeur dans cette fourchette de prix (Tonkam plafonne à 5.25, et Kana commence à 5.75eur).
Jusque là, rien de nouveau.De plus, j'ai dans mon entourage des personnes qui travaillent en freelance et en salariés pour Akata. Début 2004 ils me racontaient les batailles "syndicales" pour obtenir une augmentation des tarifs de leur prestations.
Alors soit Glénat a sacrément augmenter ses tarifs, soit quelqu'un a menti : ta source ou la mienne. (ou bien certaines personnes sont mieux payées que d'autres)A l'époque, elles étaient inférieures de moitié à celles pratiquées par Pika, ou du quart (!) par Glénat (oui, j'en connais là-bas aussi).
Donc, des hypothèsesVoilà pour les "preuves" que tu demandais. Je t'accorde que c'est plus un faisceau de présomptions et une intime conviction.
Ah bon ?Pour la parité h/f, il aurait été intéressant, de noter qu'une bonne partie des traducteurs-adaptateurs bossant pour les éditeurs de mangas sont en fait des couples franco-japonais.
Si c'est le cas, j'en suis désolé. Mais le fait est que j'ai eu 3 pages pour faire ce papier, que j'ai essayé d'être au plus juste, que j'ai eu les témoignages des 12 trad/adapt + 4 éditeurs + 1 site de fansub + des gens de l'atlf et des agessa + la lecture complète de ces 2 derniers sites web + l'étude qui avait été faites sur la profession dans le milieu littéraire généraliste. Sachant aussi que je n'avais au départ que 2 pages pour faire mon papier (et que par conséquent j'ai encore des choses à dire sur le sujet) et que les gens disent ensuite ce qu'ils veulent (je pense entre autre aux éditeurs), il a fallut faire un tri drastique."Le texte est alors envoyé au maquettiste (appelé à tort adaptateur graphiste) pour être intégré aux bulles"
Là, permet-moi de te dire que tu as fait du mal à beaucoup de gens. Tu aurais pu expliquer la différence entre les deux. Les gens qui retouchent les planches chez Akata ou Pika sont effectivement des adaptateurs graphistes; et des gens très bien. Et la majorité du temps, c'est aussi eux qui intégrent le texte. La dichotomie entre les deux, et leur connotations négatives ne sont pas argumentés...
Ben quand on te dit "je veux bien t'en parler mais tu me cites pas", tu fais quoi ?Bon y en a encore du genre des tarifs lancés sans préciser les sources, ou "un traducteur témoigne" sans citer qui ou pour quelle boîte il bosse...
J'aurais aimé avoir plus de pages et....J'aurais plutot aimé trouver une chronologie de l'adaptation d'un manga depuis la version jap au volume français. Un comparatif des méthodes et prix des éditeurs. Tout ça mis en perspective de production/rentabilité par rapport aux secteurs traditionnels du livre en France pour comprendre le rôle et la particularité de ces "artisans de l'ombre".
Non non ! T'as mal compris. ça faisait référence à la phrase en japonais juste au dessus. (et là, chers amis lecteurs, si ça n'avait tenu qu'à moi, vous n'en auriez même pas eu la traduction, histoire de bien montrer l'importance de ce métier !("comme vous le constatez", ça me fait juste penser à la mode des présentateurs de JT et leur "comme vous le savez".
Si on était au courant on aurait pas besoin de lire l'article, mais bon soit, c'est perso...)
Ah bon ?Camille a écrit :Moui bon.
T'es pas très honnète.
Ou ai-je rejeté la faute sur la redaction. Je dis juste qu'il y avait de quoi faire bien plus que 3 pages sur le sujet, that's all falks. Après, si ça ne suffit pas à satisfaire ton niveau d'exigences, je n'y peux rien.En fait, si c'est bien c'est grâce à toi (edito) si c'est nul c'est la faute à la rédaction.
Je ne vois pas en quoi cet article est imprécis. Désolé. Incomplet, certainement, imprécis, absolument pas.A chacun son parti, mais ce genre d'article imprécis est la raison pour laquelle je n'ai plus acheté Le Virus manga.
Ce qui est ton droit le plus stricte (j'ai moi-même halluciné en lisant ça). Mais c'est pas moi qui ai écrit çaAlors quand je lis que le virus s'arrète car "l'amateur de manga n’a pas forcément envie de pousser plus loin la réflexion sur son médium préféré", je le prend comme une insulte et je rebelle grave.