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Chron
Certes, la cassure conchoïdal est une des étape primordiale de l'évolution humaine, par l'établissement d'un protocole. Mais quand bien même, l'Homme, malgré toute sa technique, a bâti en se résignant lui aussi à des lois naturelles : les lois de la physique. Et il n'est pas le seul à pouvoir établir des protocole, il y a des tas d'exemples d'animaux qui en sont capable. Le castor, par exemple, dans sa construction de barrages. Là, tu auras beau vouloir croire que l'animal ne fait que suivre ces instincts génétiques, il n'empêche que dans la construction d'un barrage, il y a des contingences, des changements et des erreurs qui prouvent que ce n'est pas aussi instinctif que ça : certains castors réussissent mieux leur barrage que d'autres. (Et puis, dans la classification naturelle, l'Homme est classé dans les singes....)Claude De Bortoli a écrit : Un singe qui n'arrive pas à casser ses noix avec une pierre se passera de noix. La nature de matière lui a imposé une méthode pour casser les noix et ne revient pas dessus. Il casse ses noix d'instinct et ne peut pas faire autrement que de casser les noix comme la nature de matière lui a imposé pour casser les noix.
Tu es dans la thèse de l'objectivisme. Tu n'as pas totalement tort, mais tu ne peux pas parler de libération. Quand une fleur pousse, elle s'étale depuis sa source. De la même manière, notre nature instinctive est la fondation de notre raison. L'esprit ne peut exister sans le corps. La science actuelle est en ce moment dans un grand bouleversement : nous sommes en plein dans la fusion des sciences sociales et des sciences exactes, engagé par des scientifiques tel que Georges Lakoff ou encore Edward Wilson. L'objectivisme et le subjectivisme ne sont pas deux thèses opposés, elles se complètent, de la même manière que le prévoyaient Sartre par son jonglage de la conscience entre l'en-soi et le pour-soi permettant le néant nécessaire à la prise de conscience.Heureusement pour la nature de matière seule l'espèce humaine possède l'intelligence. seule l'espèce humaine est capable de se libérer des liens instinctifs quelle a imposé aux autres éléments. Elle a déjà tant à faire avec l'intelligence humaine !!! Si les animaux et les végétaux possédaient l'intelligence et pouvaient se libérer des liens instincts, ça deviendrait ingérable pour elle.
L'intelligence permet aux humains de se libérer des liens instinctifs instaurés par la nature de matière. Ils peuvent vivre comme bon leurs semble pour leur bonheur ou pour leur malheur.
Les animaux et les végétaux ne le peuvent pas. Ils n'ont pas l'intelligence. Ils ont seulement l'instinct. Ils vivent comme la nature de matière leurs a imposée de vivre sans possibilité de dévier.
L'intelligence n'est pas nécessaire pour vivre dans la nature de matière. Pire, elle nuit à une vie matérielle dans la mesure où l'espèce qui la possède n'a pas accès aux béatitudes qui présentent la nature de matière comme un paradis.
Je ne sais pas. Peut-être. Mais il faut faire tout de même attention de ne pas confondre la carte et le territoire. Notre conception de l'intelligence, n'est peut-être qu'une conception.L'intelligence est l'énergie qui anime tous les êtres vivants de la nature de métamatière. Dans l'environnement métamatériel, tout est mu par l'intelligence.
Les instincts sont à l'origine de nos sentiments. Le bonheur ne s'obtient qu'avec une harmonie avec notre Ca. Il faut savoir libérer correctement nos pulsions instinctives pour être heureux. L'épanouissement est dans l'action générer par l'émotion. L'intelligence c'est l'adaptation, c'est un changement comportementale, c'est un moyen.L'intelligence nous est donnée dès notre naissance pour notre bonheur ou pour notre malheur. Pour notre bonheur si nous sommes capable de la maintenir séparée de nos insctincts. Pour notre malheur si nous mélangeons ces deux énergies.
Oui, voilà, tu dis à peu près ce que j'ai dit plus haut. Sauf que la croyance est liée à l'instinct.L'évolution humain a deux activités majeures à sa disposition pour avancer : un moteur Science et un guide Croyance. Les deux sont évolutifs. Ils évoluent par des découvertes faites par des chercheurs qui deviennent des génies. C'est tantôt l'un qui est devant, tantôt l'autre. C'est tantôt la Science qui dépasse en évolution la Croyance, tantôt la Croyance qui dépasse en évolution la Science. C'est un cheminement tout à fait naturel.
Tout à fait d'accord. La science cherche le Comment, pas le Pourquoi.La Science est un moteur. Elle fait avancer mais n'a pas vocation à voir loin.
Ah, donc pour toi, la science ne mène pas à l'intelligence ? C'est un peu contradictoire.La Science, c'est le moment présent. C'est le quotidien. C'est la vie matérielle. C'est l'instinct et les comportements instinctifs dans toute leur splendeur.
Jusqu'à maintenant, le Terrien en avait une idée approximative avec la croyance en Dieu. Ca y est ! C'est fait ! il vient de le découvrir ! C'est un véritable univers fait sans matière aussi puissant que notre univers de matière. Il est peuplé d'êtres vivants faits de métamatière qui vivent dans une nature faite de métamatière. Il est régit par des lois immuables. Les deux univers vivent en symbiose. Ils s'échangent leur énergie.Là, tu auras beau vouloir croire que l'animal ne fait que suivre ces instincts génétiques, il n'empêche que dans la construction d'un barrage, il y a des contingences, des changements et des erreurs qui prouvent que ce n'est pas aussi instinctif que ça : certains castors réussissent mieux leur barrage que d'autres. (Et puis, dans la classification naturelle, l'Homme est classé dans les singes....)
L'évolution humain a deux activités majeures à sa disposition pour avancer : un moteur Science et un guide Croyance. Les deux sont évolutifs. Ils évoluent par des découvertes faites par des chercheurs qui deviennent des génies. C'est tantôt l'un qui est devant, tantôt l'autre. C'est tantôt la Science qui dépasse en évolution la Croyance, tantôt la Croyance qui dépasse en évolution la Science. C'est un cheminement tout à fait naturel.La science actuelle est en ce moment dans un grand bouleversement : nous sommes en plein dans la fusion des sciences sociales et des sciences exactes, engagé par des scientifiques tel que Georges Lakoff ou encore Edward Wilson. L'objectivisme et le subjectivisme ne sont pas deux thèses opposés, elles se complètent, de la même manière que le prévoyaient Sartre par son jonglage de la conscience entre l'en-soi et le pour-soi permettant le néant nécessaire à la prise de conscience.
Deux univers adjacents vivent en symbiose.Bon, après, tout ton délire autour de la métamatière et des extra-terrestres, c'est juste un moyen pour toi de lutter contre le désenchantement du monde.
La nature de métamatière est détentrice et émettrice d'intelligence. Pour comparer, la nature de matière, elle, est détentrice et émettrice d'instinct.Toutes ses thèses scientifiques qui se veulent immortels sont assez blessante pour l'affect, car l'Homme a toujours été habitué à voir le monde sans limite. Le choc créé par la technologie a été trop fort, du coup, certains se tournent vers la scientologie, ou le mysticisme comme toi. J'essaye aussi de lutter contre ce phénomène, mais je le fais avec de véritables armes. Tu devrais faire pareil, et te reconcilier avec ta subjectivité.
Je suis un chercheur en Croyance qui a découvert l'univers de métamatière, sa symbiose avec l'univers de matière et sa relation avec les humains. Je l'explique à mes contemporains.Jusqu'au moment où tu te rendras compte qu'il pompe ses pavés qu'il essaime un peu partout sur la toile d'un livre de Ron Hubbard ou un truc du genre.
Poses les bonnes questions si tu veux des réponses personnalisées. Sinon tu devra te contenter des copiés/collé.Cette personne ne vient clairement pas pour discuter. Peut-être pour essayer de briller en société ?
J'ai découvert l'univers de métamatière, sa symbiose avec l'univers de matière et sa relation avec les humains. Grâce à cette découverte, je sais d'où vient le Terrien, où il en est et où il doit aller.En tout cas, si ça t'amuse d'essayer d'avoir une conversation avec ce genre d'énergumène, même si je pense que c'est plus une perte de temps qu'autre chose.
La curiosité et la persévérance sont deux mamelles pour évoluer en intelligence.Friedrich a écrit :Disons que je suis assez ouvert d'esprit, et je pense que peu importe avec qui on échange, cela permet toujours de développer un peu nos réflexions personnelles.
Eh les gars! C'est pas un bot !Claude De Bortoli a écrit :Poses les bonnes questions si tu veux des réponses personnalisées. Sinon tu devra te contenter des copiés/collé.
[/spoil]CdB a écrit :Le centre d'attraction
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Les instincts ne sont pas complètement figés car il y a évolution biologique, ils sont juste beaucoup beaucoup beaucoup plus lent à se modifier (souvent ça se compte en millions d'années), contrairement à l'intelligence et la culture. Il faut se méfier de tout absolutisme, même les monts se déplace, à leur rythme. Les lois de la physique elles-mêmes étaient différentes pendant l'ère de Planck.L'intelligence humaine est évolutive contrairement aux instincts humains qui sont figés par les lois immuables de la nature de matière. Elle évolue par des découvertes faites par des chercheurs qui deviennnent des génies.
Pwned !Claude De Bortoli a écrit :Je suis un chercheur en Croyance qui a découvert l'univers de métamatière, sa symbiose avec l'univers de matière et sa relation avec les humains. Je l'explique à mes contemporains.
J'ai puisé la découverte de la métamatière directement à la source de l'intelligence : la nature de métamatière. Sans intermédiaire humain.
Il n'y a pas de crise économique. La valeur économique a toujours été qu'un moyen contribuant à produire des biens réels depuis toujours, c'est un consensus imaginaire. Elle est née en même temps que la civilisation, via la prise de pouvoir par la force, le vol, le viol et la violence de dominants sur des dominés. Au départ de la civilisation, les dominants se servaient directement chez les dominés (en animaux agricoles, en blé etc), sans se soucier des conséquences. Ce vol des dominants sur les dominés a toujours lieu aujourd'hui : c'est l'impôt. Mais au bout d'un moment, ils se sont rendu compte que les dominés pouvait leur servir et produire pour eux. Ils ont compris que tout leur voler et les laisser mourir de faim les amèneraient à leur perte eux-aussi, car ils ne savaient pas comment produire. Ils ont alors mis une limite à leur vol. Cette limite a été alors un objet symbolique décidé arbitrairement, comme l'or. Chaque fois qu'un dominant volait un dominé, il lui donnait alors cet objet. Quand un autre dominant passé par le même dominé, et qu'il voyait cet objet, il savait alors qu'il ne devait pas le voler, et constitué la preuve que le dominé n'avait plus grand chose à donner. Cela économisait aussi au dominant le temps perdu à vérifier (surtout que le dominé pouvait cacher ses productions de récoltes). Les générations suivantes engendrés par les dominants, ayant perdu le sens de cet objet, commencèrent à le convoiter, et ainsi, par l'échange, le troc, naquit le marché. Si vous jugez mon histoire pessimiste, ma preuve confirmant ce fait est simple: supprimez le gouvernement d'aujourd'hui avec son armée et sa police et qui prend le pouvoir ? Les racailles et les gangsters, qui formeraient alors leur propre gouvernement, en confiant ensuite le pouvoir à leur descendance, ce nouveau gouvernement avec le temps finiraient alors par ressembler au nôtre. Avec le temps, en se complexifiant, la société est devenu plus passif. Mais c'est dans cette sauvagerie qu'à été conçu l'argent. En soi, la monnaie est déjà une dette, hérité de ce passé douloureux : la dette des dominants sur les dominés. Les billets que nous avons entre les mains sont du sang de dominés. Ce que nous appelons dette aujourd'hui, est donc en réalité la dette d'une dette. La véritable dette de l'Etat est infiniment plus grande que celle dont on nous parle. Mais tout cela n'a pas grande importance, ce qui compte c'est la production de richesse réels, l'argent ne doit servir qu'à cela, par tous les moyens. Le développement des moyens technologiques nous permettant de produire énormément (par la production à la chaîne notamment) a créé la société de surabondance dans laquelle nous sommes. La véritable peur, n'est pas aujourd'hui que l'on puisse arriver à manquer de nourriture pour tout le monde (dans les pays développés, l'ancrage médiatique sur la pauvreté des pays en développement est un moyen de nous détourner des faits), mais que cette abondance, donne l'illusion au prolétaire qu'il n'y a plus besoin de travailler et s'auto-détruit comme on a pu le voir après les trente glorieuses, avec les dérives de la société de consommation. On a compris alors que pour que les classes inférieures travaillent, il valait mieux ne pas trop les payer. Une expérience de psychologie dont j'ai oublié le nom prouvait que plus on donne un salaire important à quelqu'un, moins il s'investit dans son travail. Pour mieux maîtriser les salaires, la hausse de la dette public a alors été provoqué volontairement en supprimant le pouvoir qu'avait l'Etat d'emprunter à la banque centrale par l'article 123 du traité de Lisbonne. Les moyens d'augmenter les salaires ne manquent pas, mais grâce à la crise et à la dette, on peut prétexter que non. La crise économique n'est aujourd'hui qu'un moyen médiatique pour mettre la pression sur le peuple pour qu'il travaille. Elle constitue le fouet pour faire bosser le fainéant qu'est advenu l'Homme occidental en devenant un consommateur. Et malheureusement, parfois, certains coup de fouet se perdent. L'économie est ce qui permet de gérer les productions nécessaires à nos besoins. Mais quand la capacité de production dépasse ce dont on a besoin, ce n'est plus économiser qui garantit la survie de la société, mais le gaspillage.Snowcrash a écrit :On devrait enchainer avec la crise économique actuelle.
Qui sait ce monsieur aura peut-être la solution à nos problèmes