NEWS

Liste des news & brèves (affichage)

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Le studio français Bobby Prod (Les Kassos, Monsieur Flap) vient d'animer un beau trailer (réalisé par Vincent Verniers) pour la sortie sur consoles du jeu vidéo Dead Cells.
Et ce jeu (qui a déjà rencontré un gros succès en version demat) a lui aussi été créé par un studio français (et bordelais, coucou Gwen !), Motion Twin. A noter d'ailleurs qu'ils ont un fonctionnement de travail bien particulier, puisqu'ils n'ont aucun boss, et que tout le monde est associé de l'entreprise.

Production : Bobby Prod
Producteur : David Alric
Directeur de production : Jérôme Bonnaventurier
Réalisateur : Vincent Verniers
Storyboard : Vincent Verniers, Cédric Herole
Backgrounds Trait : Victor Delorme
Backgrounds Couleur : Victor Delorme, Valérie Bousquié
Animateurs : Balak, Valérie Bousquié, Clément Kubicek, Mandimby Lebon, Vincent Verniers
Colorisation : Gauthier Le Bris
FX : Eric Lefaure
Compositing : Gregoire Peyrot
Le dernier trailer en date du jeu :

SUR LE WEB

Oat The Goat est une belle histoire interactive en partie animée que vous pouvez "lire" en ligne sur le site oatthegoat.co.nz.
Il s'agit d'une commande du Ministère de l'Education de Nouvelle-Zélande à destination des jeunes enfants, afin de les sensibiliser à la tolérance et à la prise de conscience vis à vis du harcèlement.
Produit par l'agence FCB New Zealand avec le studio Assembly.
>> Oat The Goat <<
Trailer :

Et si vous avez la flemme de charger le site, une captation vidéo de l'histoire est aussi dispo ici.
Client: Ministry of Education
Agency: FCB New Zealand
Production Company: Assembly
Director: Matt von Trott
Senior Developer: Matt Wilson
Character Designer/Art Director: Josh Fourt-Wells
Digital and Content Producer: Clare Bone
Composer: Tane Upjohn-Beatson
Conductor: Hamish McKeitsch
Recording and Mix Engineer: Graham Kennedy
Music: New Zealand Symphony Orchestra - Alistair Fraser
Sound Studio: Liquid Studios
Sound Design and Mixing: James Dean
Narrators: Dave Fane (English)/Piripi Taylor (te reo Maori)

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J'aime bien de temps en temps vous partager des *bandes démo* originales, et aujourd'hui voici celle du studio Genesis Motion Design (Singapour) qui comme son nom l'indique est plutôt spécialisé motion design.
Et pour vendre leur savoir faire, ils ont récemment réalisé non pas une bande démo classique avec un montage de boulots déjà réalisés, mais un "manifeste" animé spécialement pour présenter leur façon de travailler.
Voir Genesis Motion Design : Manifesto :

Last year, we wrote a company manifesto to talk about our beliefs, culture, and approach to work. It was also a chance for us to be our own client, and display our skillsets. Initially, it was a mess, a mixture of 2D, 3D, realistic and artistic.
A fresh new start this year got us thinking about what we were really good at, and with this, we've re-aligned our direction with an even sharper focus on bettering ourselves day by day, project by project.
Presenting to you, our Manifesto.
Credits:
Produced by: Genesis Motion Design
Conceptualisation: Rachael Lum, Rohan Lorenz, Sarah Wang, Joanne Lin, Bryan Sim, Natalie Ang, Darren Shieh, Benjamin Ang
Director: Benjamin Ang
Art Direction: Rachael Lum, Benjamin Ang
Producer: Darren Shieh
Designers: Rachael Lum, Rohan Lorenz, Sarah Wang, Joanne Lin, Bryan Sim, Natalie Ang
Animators: Rachael Lum, Rohan Lorenz, Sarah Wang, Joanne Lin, Bryan Sim, Natalie Ang, Jay Septimo
Music: GRYD
Special Thanks: James Lee

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Joli clip réalisé par Olivier Lescot (dont j'avais déjà parlé par le passé) pour la chanson Another You de Breakbot. Produit par Eddy, Nightshift et Brunch Studio (les trois studios étant liés).
Breakbot and Ruckazoid merge, creating Breakazoid, a cosmic pimp, who distributes his love to humans by taking them across the galaxy on the planet love.

Directed and designed by : Olivier Lescot
Art Director: Leïla Courtillon
Produced by: Eddy / Brunch Studio
Label : Ed Banger / Because
Lead Compositing: Mathieu Bétard
Lead Animation: Olivier Lescot
Animation: Vic Chhun, Léo Schweitzer, Leyla Kaddoura, Martin Richard, Mathilde Loubes
Additional Animation and FX: Antoine Carré (stage), Constance Bertoux (stage), Basile Cortale (stage), Claire Launay (stage), Keith Rowsell
Animation Clean: Keith Rowsell, Antoine Carré, Basile Cortale, Claire Launay, Hadrien Bonnet Colorist: Caroline Laine, Michelle Chan, Antoine Carré, Constance Bertoux, Basile Cortale, Claire Launay
Compositing: Maxime Bousquet
Compositing (camera): Olivier Kimyon
Additional Design: Morgan le Henry, Maxime Dupuy, Antoine Carré
3D Layout: Maxime Granger, Jean Charles Kerninon
Grading: Gabriel Porier
Conform: Maël Gaumont
Post Producers: Rodrigo Pomarico, Elodie Doritch
Animation: Brunch Studio
Post Production: Nightshift

COURT-MÉTRAGES

En cette période estivale et caniculaire, je vous propose d'aller à la plage avec ce tout petit film nommé Beach Bods, par le studio américain Foreign Fauna.
Don’t let the sea of muscles and waves of sunblock confuse you, there is more than one way to have the perfect beach bod.


LONG-MÉTRAGES

Une sortie cinéma à soutenir par le distributeur français Eurozoom qui propose depuis hier en salles le long-métrage d'animation taïwanais Happiness Road de Hsin Yin Sung.
Un film sur l'enfance où la réalisatrice partage ses souvenirs de petite fille à la fin des années 80 dans un quartier pauvre de son pays (Taïwan donc), qui sortait à peine de la dictature.
Hsin Yin Sung a étudié la théorie du cinéma à l'université de Kyoto, puis a obtenu une maîtrise en cinéma au Columbia College de Chicago.
Pour plus d'infos, rdv sur la page Facebook officielle.
Tchi vit aux USA où elle s’est installée, à la poursuite du « rêve américain », après ses études à Taiwan. Sa grand-mère adorée vient à mourir et la voilà de retour dans sa ville natale, où elle retrouve sa famille, ses souvenirs d’enfants et son quartier Happiness Road. Tout se bouscule dans son esprit : ses souvenirs d’enfants, la petite et la grande histoire, l’amertume de l’exil, ses espoirs de carrière, son fiancé américain et sa famille aux traditions un peu ringardes… Et si finalement le rêve américain n’en était pas un ? Tchi finira-t-elle par se retrouver alors qu’elle ignorait s’être perdue ?


LONG-MÉTRAGES

Penguin Highway est le premier long-métrage d'animation du Studio Colorido, réalisé par Hiroyasu Ishida, et prévu en salles au Japon le 17 août.
J'ai pu le voir en avant-première au festival Fantasia (Montréal) où je me suis rendu le mois dernier, et où le film a remporté le Satoshi Kon Award du meilleur film d'animation. Voici ma review (sans gros spoilers).

À la base, il s'agit d'un livre de Tomihiko Morimi, connu des anime fans comme étant aussi l'auteur des romans d'origine de Tatami Galaxy et The Eccentric Family.
L'histoire se concentre dans une petite ville japonaise avec comme personnage principal Aoyama, un jeune garçon d'une dizaine d'années, qui se présente comme très intelligent, et féru de sciences. Mais dans ce film la technologie moderne est très peu présente, il s'agit plus de logique, d'observation, et de réflexion. Et Aoyama réfléchit beaucoup. Surtout à son avenir, et à la personne qu'il sera enfin une fois adulte, dans 3888 jours très exactement au début du film (car oui, il compte les jours restants).
Il est volontairement difficile de s'identifier au personnage d'Aoyama au départ, tant il assène ses ambitions, ses certitudes, étant à la fois concerné par les autres, mais prenant aussi des décisions à leur place. Son assurance reste cependant stupéfiante, et permets aussi de déjouer de manière assez atypique des scènes de harcèlement scolaire par exemple. Très vite aussi, Aoyama nous déclare qu'il sait déjà avec qui il se mariera, les filles de sa classe et de son âge ne semblent pas l'intéresser, il est fasciné par une jeune femme plus âgée qui travaille au cabinet dentaire où il se rends. Cette femme, on ne connaîtra jamais son nom, on l'appelle "The Lady", et Aoyama est notamment obsédé par sa forte poitrine. Ce tic des jeunes garçons attirés par les seins, assez fréquent dans les anime, est ici fortement appuyé. Mais heureusement, The Lady va rapidement devenir l'épicentre du film pour d'autres raisons.


Des pingouins surgissent en ville de façon inexpliquée, mais seuls les enfants semblent vouloir élucider leur présence. Aoyama et son ami Uchida se lancent dans une enquête buissonnière, qui amènera rapidement à découvrir que The Lady est fortement liée à la présence des pingouins, puisque c'est elle qui les fait apparaître (sans qu'elle se l'explique vraiment). Un secret qu'Aoyama gardera durant une grande partie du film, car The Lady s'en remets complètement à lui (et uniquement à lui) pour résoudre son mystère.
Dans le même temps Suzuki, une camarade de classe qui semble intéressée par Aoyama, mène aussi secrètement des investigations et expérimentations au sujet d'une mystérieuse sphère qu'elle a découvert dans la forêt. Elle proposera aux deux garçons de la rejoindre dans cette enquête qui se révélera aussi liée à The Lady.


À ce stade je n'en dirai pas plus sur l'histoire même, pour vous laisser la surprise (le film ne sortira en France que l'an prochain).
Le film évoque le passage (anticipé) à l'âge adulte via un triangle amoureux atypique voire improbable. Un garçon obsédé par son futur d'adulte, une jeune femme nostalgique et parfois un peu immature (j'associe ses pingouins avec elle), et une camarade de classe qui refuse l'aide des adultes.
Aoyama sera confronté à ses limites car malgré son intelligence, il semble incapable de voir certaines relations évidentes parmi les jeunes de son âge, et s'étonne de certaines faiblesses et peurs d'adultes, notamment celles de The Lady.
Un agréable mélange de sérieux et d'insouciance chez les adultes comme chez les enfants, qui change un peu des habitudes.
D'autres figures d'adultes étant aussi intéressantes dans leurs différences, comme les pères d'Aoyama et Suzuki.

J'aime ce film dans la mesure où il nous présente une aventure dans univers du quotidien assez banal, mélangé avec une dose de fantastique assez inexpliquée, laissant de l'espace à l'interprétation du spectateur. Aoyama semble d'ailleurs refuser de livrer ses conclusions à la fin, et c'est tant mieux. Il a encore beaucoup à apprendre, comme tout enfant de 10 ans à qui on enseigne déjà les sciences et la logique, mais pas encore l'amour. Et le film fait forcément résonner un vécu collectif en terme de quête de soi.
Esthétiquement, le film est magnifique, et je n'en attendais pas moins du Studio Colorido, qui sait délivrer de fabuleux décors, d'autant plus que la nature a aussi son importance dans le film. Ils ont aussi acquis une solide expérience en terme de mariage 2D/3D. Côté character-design on y retrouve aussi la patte du studio, avec des personnages subtilement dessinés et animés. L'alliance encore une fois du character-designer Yojiro Arai et du réalisateur Hiroyasu Ishida, deux amis dont l'objectif était de travailler (et donc se dévouer) chez Ghibli, avant de décider de fonder leur propre studio. Je peux d'ailleurs sentir dans leur travail un soin et une ambition sans aucun doute inspirés de Ghibli, mais avec leur propre esthétique, leur propre sensibilité, et c'est ce genre d'héritage qui pour moi est important de pointer pour espérer un "après Ghibli".

Penguin Highway est donc une subtile réussite, qui prends son temps (2h) pour tenter de laisser Aoyama se projeter jusqu'au bord de sa jeunesse.
[Critique par Marc Aguesse / Catsuka]
Penguin Highway sortira en France au printemps 2019 via All The Anime
Bande annonce 1 (VOSTF) :
Bande annonce 2 (VO) :


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Ca bouge toujours du côté de l'Argentine, avec le studio Le Cube qui vient de produire un chouette film promo OK K.O.! Let's Be Heroes basé sur la série du même nom, et commandé par Cartoon Network LATAM (Latin America).
A noter que c'est le même studio qui avait produit ce clip que j'avais relayé pour les 25 ans de Cartoon Network.

Et un peu de making of :

COURT-MÉTRAGES

Alexandre Louvenaz continue d'expérimenter des trucs WTF et un peu uncanny valley.
Sa dernière vidéo se nomme Fantastic 3d Creation Compilation, et comme son nom l'indique il s'agit d'une compil de petites séquences tout à fait non-sensiques.

Et sachant que l'été dernier la chaîne américaine Adult Swim lui a commandé un ident tout aussi libre :

COURT-MÉTRAGES

Le studio Buck a réalisé un joli petit hommage à la série Twin Peaks avec cette boucle animée intitulée This Must Be Where Pies Go When They Die :

Directed by BUCK
Executive Creative Director: Orion Tait
Creative Director: Gareth O'Brien
Executive Producers: Anne Skopas, Erica Ford
Art Director: Lucas Brooking
Producers: Fiona Patterson, Emily Nelson, Kitty Dillard
Lead Design: Lara Lee
Design: Lucas Brooking, Josh Edwards, Saiman Chow, Thomas Schmid
Previs: Lara Lee, Mathijs Luijten, Josh Edwards, Greg Sharp, Alex Grigg, Ivan Dixon, Mark Russell
Animation: Lara Lee, Josh Edwards, Mathijs Luijten, Olivia Blanc, Harry Teitelman, Joe Sparkes, Mateo Mazzini, Rasmus Bak, William Trebution, Jaedoo Lee, Jose Fuentes, Amelia Giller, Tim Beckhart
Music and Sound Design: Antfood

COURT-MÉTRAGES

L'artiste Paraic Mc Gloughlin (plutôt spécialisé dans l'illustration et la photo) a réalisé un hypnotique court-métrage en pixilation nommé Arena.
Pour ce film, il n'a utilisé que des prises de vues aériennes issues de Google Earth.

A brief look at the earth from above, based on the shapes we make, the game of life, our playing ground - Arena.

COURT-MÉTRAGES

En attendant que David Oreilly refasse un court, un autre réalisateur s'amuse depuis quelques temps à déconstruire la 3D, il s'agit de Nikita Diakur avec son projet Ugly (déjà évoqué ici et là), dont le court-métrage principal est enfin en ligne.
Simulé via le moteur physique Cinema 4D, ce film au rendu 3D pas-fini procure des sensations assez uniques, avec ses personnages et son univers brisés.
L'histoire évoque un chat défiguré qui erre un monde en décrépitude, et qui se lie d'amitié avec un étrange gourou. Le tout étant inspiré d'une histoire des internets baptisée "Ugly the Cat".

A broken simulated short film about kindness and coexistence.
A noter que dans le projet "Ugly" figurent d'autres expérimentations du même auteur, dont Fest que j'avais aussi posté.
Revoir le trailer :

Revoir le teaser :

Revoir Fest :

www.ugly-film.com

COURT-MÉTRAGES

Et voici les 2 nouveaux *épisodes* de STZAP, cette toujours aussi sympathique série de zappings de diverses séquences animées WTF imaginées par les membres du collectif français Souviens Ten Zan.
STZAP #8 :

STZAP #9 :

Voir les précédents épisodes

COURT-MÉTRAGES

Si comme moi vous n'êtes pas réellement emballés par tous les reboots successifs en séries et films de Dragon Ball, jetez donc un oeil sur cette animation de fan intitulée Legend - A Dragon Ball Tale, qui se veut être un fake trailer d'un film de la fameuse saga d'Akira Toriyama.
Un joli petit morceau de bravoure nostalgique, animé par Naseer Pasha (studio Stray Dog).


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Caleb Wood est un animateur dont j'adore le boulot et dont je vous parle depuis de nombreuses années. Il a un univers assez particulier, à la fois organique et abstrait, qu'il vient de décliner dans un très beau et très long clip de 10min pour la chanson River of Death / On the Ground de Richard Reed Parry (et son album Quiet River of Dust).
Ce qui me touche aussi, c'est la belle brochette d'artistes qui l'ont aidé à l'animation et aux décors : Charles Huettner, Jonathan Djob Nkondo, Masanobu Hiraoka, Sonnye Lim ...

CREDITS
Directed by Caleb Wood
Animation : Caleb Wood, Charles Huettner, Brian Smee, Jonathan Djob Nkondo, Masanobu Hiraoka, Sonnye Lim, Tatsuhiro Ariyoshi
Backgrounds : Caleb Wood, Charles Huettner
Post Production by Caleb Wood
"Sai No Kawara (River of Death) / On the Ground"
Written and Performed by QUIET RIVER OF DUST (Richard Reed Parry, Laurel Sprengelmeyer, Stefan Schneider)
Enfin, j'en profite aussi pour pointer l'intro de "Dungeons & Dragons - Dice, Camera, Action!" animée par Caleb :
DIVERS

Le studio canadien Giant Ant a mis en ligne un très beau trailer pour un jeu vidéo qui ne sortira jamais, et dont l'identité n'est donc pas révélée.
Il n'y a donc plus qu'à se consoler avec cette vidéo intitulée The Game That Never Was, et imaginer ce qu'aurait pu être cette belle aventure vidéo-ludique.

We had a the great pleasure of working with an un-named (and wonderful) game studio on the design for a new release. The game was ultimately shelved, but [most of] the trailer we made lives on! But only right here on our website.
CREDITS
Client: Shhhhh
Directed by Giant Ant
Producer: Ant Baena + Liam Hogan
Creative Direction: Jay Grandin, Eric Pautz
Art Direction: Eric Pautz
Storyboard: Eric Pautz, Jay Grandin
Design and Illustration: Eric Pautz, Rafael Mayani, Marion Bordeyne, Whitney Lam Compositing Lead: Diego Maclean
2D 3D & Cel Animation: Diego Maclean, Conor Whelan, Chris Anderson, Shawn Hight, Matt James, Henrique Barone, Nicholas Ferreira
Main Character Animation: Anthony Vincent, The Sequence Group
Rigging: The Sequence Group
Music & SFX: Ross Wariner, Cody Uhler

LONG-MÉTRAGES

Découvrez la première bande-annonce d'Astérix : Le Secret de la potion magique, le second long-métrage d'animation 3D adapté de la fameuse BD par le duo de réalisateurs Louis Clichy et Alexandre Astier, avec le studio français Mikros Animation (qui avaient déjà signé Le Domaine des Dieux).
A noter qu'il s'agit ici d'un scénario orgiginal, qui n'est pas basé sur un album existant de Goscinny & Uderzo. Le film est attendu dans les salles françaises le 5 décembre 2018.
À la suite d’une chute lors de la cueillette du gui, le druide Panoramix décide qu’il est temps d’assurer l’avenir du village. Accompagné d’Astérix et Obélix, il entreprend de parcourir le monde gaulois à la recherche d’un jeune druide talentueux à qui transmettre le Secret de la Potion Magique…
Et pour patienter jusqu'à la sortie, je vous propose de revoir mon interview de Louis Clichy lors de la sortie du précédent film d'Asterix "Le Domaine des Dieux".



EVÉNEMENTS

Ce week-end je m'envole pour le Canada où je vais me rendre pour la première fois au festival Fantasia (Montréal) dont la programmation me stimule depuis longtemps.
En effet, même si cet événement n'est pas à proprement parler dédié à l'animation, une belle place lui est toujours consacrée, comme souvent dans les festivals de cinéma de genre, plus ouverts que d'autres.
Et à Fantasia c'est essentiellement la programmation "Axis" qui fait la part belle au cinéma d'animation, avec de nombreux long-métrages et court-métrages, souvent en avant premières. Ils remettent même chaque année un prix très particulier et prestigieux : le prix Satoshi Kon.
Cette année seront notamment projetés des films comme Penguin Highway (d'Hiroyasu Ishida / Studio Colorido), Maquia (de Mari Okada), Cinderella the Cat (des italiens de Mad Entertainment), Crisis Jung (du studio Bobbypills), Dahufa (de Busifan), Aragne (de Saku Sakamoto), Chuck Steel (de Mike Mort), Fireworks (d'Akiyuki Shinbo et Nobuyuki Takeuchi), ou encore Violence Voyager (d'Ujicha).
Et aussi de nombreux court-métrages dont certains déjà repérés dans mes colonnes, comme The Ricochet Splendid (du studio 2veinte) et One Small Step (du studio Taiko), ou encore Space Between Stars (de Samuel Bradley) et Walking Meat (de Shinya Sugai).

Le festival Fantasia se tient du 12 juillet au 2 août, pour plus d'informations rendez-vous sur leur site fantasiafestival.com (et la totalité de leur programmation animation).


EVÉNEMENTS

À la fin de l'année vous pourrez découvrir dans la grande Halle de La Villette (Paris) une exposition originale intitulée Manga<->Tokyo, qui se voudra être "une plongée dans Tokyo entre fiction et réalité", en abordant la façon dont la pop-culture manga s'est façonnée et répandue avec l'influence de la capitale nippone.
L'exposition (du 29 novembre au 30 décembre) présentera des scènes et extraits d'animes, des dessins originaux, lithogravures, photos, affiches, produits dérivés et accessoires ... le tout géographiquement positionné dans l'agglomération grâce une une maquette géante de Tokyo.
Des mises en scène seront donc proposées, basées sur d'authentiques quartiers et paysages que l'on voit dans diverses oeuvres populaires, de Godzilla (1954) à Your name (2016). On pourra ainsi se balader dans Akihabara ou l'Otome Road (Ikebukuro) ... parcourir aussi différentes époques de la vie Tokyoïte, de la période Edo jusqu'à aujourd'hui, en passant par l'après guerre ... pour finir sur des lieux emblématiques du quotidien tels que les konbinis ou les salles de pachinko.
Le commissaire de l'exposition est Kaichiro Morikawa, professeur agrégé (Faculté des études globales du Japon, Université Meiji).
Et il se trouve que l'affiche est signée Yoh Yoshinari (Little Witch Academia), comme je l'avais deviné en dénichant l'affiche il y a quelques jours ;-]

Source : La Villette
© Crypton Future Media, INC. www.piapro.net / © khara / © Naoko Takeuchi/PNP, Toei Animation / © Osamu Akimoto, Atelier Beedama/SHUEISHA / © SOTSU, SUNRISE / © TOHO CO., LTD.



LONG-MÉTRAGES

Et voici la première bande annonce pour le 1er omnibus cinéma (programme de court-métrages) proposé par le Studio Ponoc (Mary's Flower), fondé par d'anciens de Ghibli.
Ce programme qui sortira le 24 août en salles au Japon se nomme Modest Heroes (Chiisana Eiyu - Kani to Tamago to Toumei Ningen), et se compose de 3 segments réalisés par différents artistes :
- "Kanini & Kanino" par Hiromasa Yonebayashi (Arrietty, Marnie, Mary's Flower)
- "Life Ain't Gonna Lose" par Yoshiyuki Momose (vétéran de films/pubs/clips Ghibli)
- "Invisible Man" par Akihiko Yamashita (directeur de l'animation sur Arrietty, Howl...)
En sous-titre ce projet est estampillé Ponoc Short Films Theater, du coup si le succès est au rendez-vous j'imagine que le studio pourra réitérer ce format omnibus.

1st trailer of Studio Ponoc’s new movie/omnibus “Modest Heroes”, with 3 films by Hiromasa Yonebayashi, Yoshiyuki Momose, and Akihiko Yamashita (former Ghibli artists).










Source : ANN

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P3 (Pierrick le poulpe Puissant)
